Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !
Cette nuit, ce ne sont pas les araignées attendues qui ont fait le plus parler d’elles aux Oscars… Favori des bookmakers, Spider-Man : Across the Spider-Verse s’est incliné face au Garçon et le Héron dans la catégorie Meilleur film d’animation. Mais le Spider-Verse s’est retrouvé à la ‘fête’ avec… deux mentions de Madame Web ! Dans son monologue d’ouverture, Jimmy Kimmel a d’abord déclaré : « Cette soirée est pleine d’incroyables talents et d’un potentiel incalculable… tout comme l’était Madame Web. » Et avant de remettre l’Oscar du Meilleur son, John Mulaney s’est moqué de LA réplique culte : « Pendant des années, les films n’avaient pas de son, puis ils ont compris. Sans le son, nous n’aurions pas pu entendre des répliques classiques comme : ‘He was in the Amazon with my mom when she was researching spiders just before she died.' » Plus sérieusement, il y a eu très beau moment avec ce passage de témoin parfait entre Steven Spielberg et Christopher Nolan, le premier remettant l’Oscar du Meilleur réalisateur au second. Alors, êtes-vous satisfait du palmarès (liste complète sur le forum) ? Et comme le veut la tradition, qu’avez-vous vu/lu/bu dernièrement/prochainement ? Peut-être La demoiselle et le dragon, un film Netflix avec Millie Bobby Brown ? Ou Invincible, de retour jeudi sur Prime Video ? Dans tous les cas, à vos claviers et très belle semaine à tous !
Une jeune femme docile accepte d’épouser un beau prince et réalise que la famille royale a choisi de la sacrifier en remboursement d’une dette ancienne. Jetée dans une grotte abritant un dragon cracheur de feu, elle ne pourra compter que sur son intelligence et sur son courage pour survivre…
Palmarès sans aucune surprises et c’est tant mieux. J’ai l’impression que ça faisait une éternité qu’on n’avait pas assisté à une remise des Oscars aussi justes et pertinentes. Les meilleurs ont remporté les statuettes et voilà. Un peu déçu pour Scorsese mais c’est le jeu ! Nolan était clairement le favori cette année.
Comment entraîner son dragon pour gagner un Oscar… 😄
Le triomphe de films trop carrés, trop timorés, et pas toujours bien joués : « Oppenheimer » et les sfx de « Godzilla Minus One » – ça, c’est pour les papas (mais De Niro aurait pu représenter « Killers… » à lui tout seul, tellement sa performance est démente).
Un petit quelque chose pour les mamans insolites – Stone, Triet…
Et le reste pour quelques autres intellos.
Vu et revu :
– Encore Henri Verneuil, au moment où émergent les films les plus cultes, les plus maîtrisés…
– Début de la mini-série « La Peste »…
Intéressante modernisation.
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Spécial Audrey Diwan, réalisatrice (parce-qu’elle est aussi écrivaine, éditrice, journaliste, scénariste, elle sait tout faire).
En tout cas pour ses deux premiers films, elle traite très bien d’une même thématique, dans des contextes diamétralement opposés. Et ça marche sacrément, elle est douée… bientôt elle va faire pilote de course ? 😉
– « Mais vous êtes fous »…
Basé sur une histoire vraie, Audrey Diwan nous décrit le bouleversement d’un personnage à cause de la présence d’un corps étranger, symbiotiquement attaché à son organisme mais toutefois largement accepté par l’intéressé… jusqu’à ce que l’expulsion de cet élément créé des problèmes plus graves.
Toute sa vie est publiquement sens dessus dessous, sa famille menace d’imploser complètement, pendant qu’a lieu en parallèle une enquête sur la contamination.
Mais pendant les deux tiers du film, il s’agira de trouver aussi un moyen de poursuivre sa vie le plus normalement possible, en entrant en résistance contre les regards moralisateurs, contre un ordre établi, dans la clandestinité… bien que les services sociaux y soient montrés avec plus d’optimisme qu’on ne l’aurait cru (même assise derrière un bureau, Valérie Donzelli est une sacrée pro).
Un film contemporain assez ample et stylisé (de belles couleurs vives, une bonne énergie en mouvement)), malgré un max de scènes en huis-clos…
Et c’est une comédie dramatique qui traite de la mécanique du couple, de l’intimité et des non-dits par un biais cauchemardesque, qui perdure dans le dernier tiers du film alors que l’intrigue semblait bouclée…
Alors Diwan relance la machine, et pousse le récit vers l’amertume.
Comme toujours Pio Marmaï est fou (!), mais c’est sa contenance qui lui donne une belle gravité.
Mais il ne serait rien sans Céline Sallette, qui a toujours une belle tête (et un corps itou), héroïne romantique qui risque de s’abîmer pour réussir à faire tenir sa famille coûte que coûte. Sans se douter qu’il existe des cicatrices, trop profondes pour empêcher un sacrifice (certes, peut-être pas définitif).
Et mine de rien, c’est un long-métrage qui a construit sa narration a contrario du roman L’Événement de Annie Ernaux (qui est aussi cité dans le film). Tout ce qui suivra était ainsi déjà annoncé dans ce premier film.
– « L’Événement »…
Adapté donc du roman autobiographique de Annie Ernaux, sorti en 2000 dans une relative indifférence (tout le contraire des années 2020, c’est de circonstance), mais résonnant alors personnellement avec la jeune Audrey Diwan…
Laquelle, des années plus tard, nous décrit encore le bouleversement d’un personnage à cause de la présence d’un corps inattendu, symbiotiquement attaché à son organisme mais pas du tout accepté par l’intéressée, pas à l’instant T… jusqu’à ce que l’idée de l’expulsion de cet élément créé des problèmes très graves.
Toute sa vie est secrètement sens dessus dessous, sa famille ne se doute de rien, pendant qu’a lieu en parallèle sa quête pour faire aboutir son avortement (paronyme du mot « événement », bien sûr).
Mais pendant les deux tiers du film, il s’agira de trouver aussi un moyen de poursuivre sa vie d’étudiante prometteuse le plus normalement possible, en entrant en résistance contre les regards moralisateurs, contre un ordre établi, dans la clandestinité… et avec des services sociaux inexistants, pas le moindre soutien (surtout pas médical), .
Un film d’époque au dispositif de mise en scène redoutable : brut mais stylisé avec une gamme de couleurs limitée au bleu (avec un peu de coloris chair).
Et surtout un max de scènes filmées en plan-séquence et sans contrechamp, créant une sensation d’enfermement, voir même de danger, grâce au hors-champ – ce qui évite aussi d’être distrait par la reconstitution des années 60 (peu de détails, bonne économie de moyens), et permet au film de gagner son intemporalité. Mais cette mise en scène offre aussi métaphoriquement à la protagoniste principale l’accompagnement dont elle est privé – c’est nous qui sommes ainsi à ses côtés, sans se mettre dans ses pas pour autant, sans non plus la juger…
Et c’est un peu un thriller qui traite de la mécanique de l’émancipation, de l’intime et des non-dits par un biais angoissant (on ne sait jamais à l’avance qui sont ceux qui vont finalement apparaître comme des alliés ou comme des menaces). Ce qui s’accentue dans le dernier tiers du film alors que l’intrigue entame les derniers instants d’un compte à rebours, figuré tout le long-métrage par l’annonce régulière de chaque semaine de grossesse…
Alors Diwan emballe la machine, et pousse le récit quasiment vers l’horrifique le plus crû… avant la redescente, plus sereine.
Mais elle ne serait rien sans Anamaria Vartolomei (et inversement), dans une sorte de variation extrême de son rôle dans « La Bonne Épouse » :
Mélange de contenance et de révolte, elle est celle qui donne sa force motrice au film, au risque de s’abîmer pour réussir à atteindre une plénitude personnelle. En sachant très bien quelles cicatrices et quel sacrifice elle consent (a priori, pas du tout définitif).
Plus qu’un événement, une claque.
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– Début de la mini-série « L’affaire Jacob Barber »…
Entre celle-ci et « Broadchurch », ça fait beaucoup d’affaires de meurtres d’enfants, déclencheurs de révélations en cascade…
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Spécial homonymes…
– Début de la série « Poker Face » (P-p-p-po)…
On voit bien les grosses ficelles du Rian Johnson post « À Couteaux tirés ». Mais ça a son charme (son actrice principale, ses acteurs invités) et des trucs intéressants à raconter.
– « Poker Face »…
Russell Crowe réalise son deuxième long-métrage en se la jouant très roublard (mais pas très dynamique). Moyennement en forme mais encore un peu intimidant, il raconte un récit de règlement de compte en huis-clos – des exemples comme ça, le Cinéma en a des tas à revendre.
Tout ça sur fond d’amitiés au long cours (des flashbacks au début nous projettent dans une ambiance à la Stephen King/ »Stand by me »). Mais en Australie, chez les riches, où se mélangent des considérations sur la beauté du Monde et celle de l’Art Pictural. Et où le chemin vers la résilience est perturbé par une sous-intrigue criminelle, sorte de fantôme du Passé qui revient vous hanter pour mettre à l’épreuve votre honnêteté.
Un grand bordel, où Crowe part sur plusieures pistes : le drame (autour du Deuil et de la Mort, ça l’intéresse beaucoup), la comédie de mœurs, le thriller, et en plus sur fond de « film de Poker » – trompeur, on ne verra que deux parties vite fait, dont l’issue est censée être symbolique.
Mais nous avons là un auteur qui n’a peur de rien, qui pense savoir ce qu’il fait et n’a pas peur du ridicule, surtout avec un quasi budget de téléfilm : si son film – américain – doit être typiquement australien (les paysages, même urbains, sont très reconnaissables), y compris sans avoir de grandes stars, sans des acteurs aussi charismatiques que lui, avec un RZA totalement transparent… et bien il va aller jusqu’au bout. Même s’il faut maquiller Liam Hemsworth (un des rares connus, avec aussi la présence de sa belle-sœur Elsa) pour lui ajouter 26 ans de plus – il pourrait être son fils.
En attendant Crowe sait faire de beaux plans, qui sont souvent capables de raconter de jolies choses pendant les premières minutes du film… et pour le reste, il nous rappelle qu’il est aussi un grand cœur d’artichaut en faisant encore du Mélo, démolissant de manière inattendue la mécanique du Thriller pour préférer célébrer l’optimisme, la philanthropie, la bienveillance, le triomphe du Bien contre l’avidité stupide… Que des trucs pas assez cinématographiques, diablement mous, de mauvais goût etc. Là vraiment, on est à la limite du cucul la praline.
La promesse d’une meilleure maîtrise n’est pas encore tenue.
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– Début de la cinquième saison de « The Rookie »…
Toujours l’allure d’une grosse production, un peu lourde dans ses effets…
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– « Maison de retraite »…
Le réalisateur Thomas Gilou a toujours été une sorte de paradoxe : petit-fils du poète Blaise Cendrars, sa carrière n’est composée que de comédies communautaires sans génie, mais suffisamment fonctionnelles et solides pour cartonner (les « La Vérité si je mens ! » par exemple). Rebelote ici, mais avec les vieux qui s’amusent à cabotiner, un genre à part entière qui n’a rien de nouveau mais n’est pas exempt d’œuvres bien jolies là aussi – « La Fin du jour » par exemple.
Mais c’est aussi un « film de Kev Adams » (co-scénariste), qui lui-même ne fait que de films qui se ressemblent à chaque fois – un jeune homme égoïste et glandeur va devenir un peu plus adulte au contact de certaines personnes… Philippe Lacheau, Malik Bentalha etc, eux aussi jouent tout le temps ça. Il y a même eu le film « Sales Gosses » qui racontait la même chose dans un environnement gériatrique, déjà avec Liliane Rovère et un paquet d’acteurs connus du troisième âge.
Cet opus là possède néanmoins comme qualité de mixer harmonieusement son sujet avec sa mise en scène – puisque le héros doit apprendre à prendre son temps et écouter, les scènes font de même et évitent ainsi toute hystérisation bardée de musique, malgré la présence de personnages prétextes (les autres employés de l’établissement), et une résolution expédiée et tirée par les cheveux (bleus).
C’est toujours sans génie, bizarrement produit (Stan Wawrinka ? avec en plus un caméo ??!), correctement filmé sans être moche – un petit plan-séquence dans un coin hop ! Ça a le goût du Classique, avec ses pay off à faire aboutir et be beaux petits moments de sagesse bourrue et d’émotions… la comédie typique du Dimanche soir.
Il y a aussi eu le contexte de sortie du film, post pandémie et scandales dans les ehpads, qui en font un film de circonstance. Pas trop cafardeux bien sûr, tout est fait pour exorciser le malheur. Mais pas non plus naïf quant au traitement de la solitude et la fin de vie… qui mérite évidemment plus de dignité.
Pas la même que celle des bons acteurs, qui n’auront jamais ni peur ni mépris pour le ridicule, eux.
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Lu :
– Destiny of X 26 – 27, qui continue à mettre bien plus à l’honneur les salauds. Pas toujours avec cohérence d’un auteur à l’autre – Gillen et Duggan auraient pu mieux se consulter pour les Sinistres (et l’album aurait dû mettre les histoires dans le bon ordre).
– Daredevil fait une dernière valse avec Elektra.
– Monica Rameau : Photon…
Ça ressemblerait presque à la suite de la scène post générique de « The Marvels », mais c’est bien confus.
– Fin du troisième tome du Ghost Rider de Ed Brisson, avec une machination à la Arme X qui tourne court trop vite.
Fin du nouveau tome du Cosmic Ghost Rider (Crise d’identité) de Stephanie Phillips… Déception, cette histoire tourne court elle aussi, pas très rehaussée par le dessin une fois parti Juann Cabal.
– Fin du Punisher de Jason Aaron…
Au delà de la controverse, due à des choix scénaristiques faits pour faire exploser le concept du Punisher, ainsi qu’à quelques scènes répétitives, peu subtiles, déjà vues (l’intervention des héros) et à la chronologie incohérente (par rapport aux aventures de Daredevil, ça se passe quand ?)…
Il s’agit quand-même d’une histoire (actualisée) bien brutale dans ses scènes d’action, et surtout très touchante dans sa partie intimiste. Qui trouve son intérêt à un moment donné en donnant une voix à Maria Castle, pour mieux nous raconter un drame conjugal .
Même Garth Ennis et Rick Remender n’avaient pas touché à la famille Castle à ce point (et pourtant, ils en ont fait voir à leurs cadavres). Tenter de « craquer le code du Punisher », en remontant à cet endroit précis, c’était une idée risquée…
Mais courageuse.
– Fin du quatrième tome du Moon Knight de Jed MacKay…
Étrange numéro final, très classique – des vilains qui balancent des illusions pour que le héros fasse face à ses fantômes, c’est du classique.
– Prologue de Star Wars : Dark Droïds…
C’est surtout à la fin qu’on les voit. Avant ça, on n’a juste une série d’alliances brèves entre les personnages de diverses séries.
Le nombre de nominations de Barbie est juste ahurissant. Que l’académie reconnaisse un succès public soit mais America Ferrera nominée comme meilleure actrice dans un second rôle? Si on nomine les gens en fonction de leur origine ethnique maintenant… et qu’on vienne pas me dire que c’est pour sa prestation: J’ai vu Barbie et je ne me rappelais même pas d’elle. 326 films américains en 2023 et sa perf serait telle qu’on la placerait dans le top 5?
Quelle indignité.
Sinon très content pour RDJ. Je l’avais trouvé excellent dans Endgame et je trouvais injuste qu’il soit raillé parce que c’était du MCU. Voilà un Oscar qui remettra l’église au centre du village (pour ce que valent les Oscars).
Et il serait temps que je voie Oppenheimer…mais 3H putain….
J’allais dire RDJ dans Oppenheimer est excellent, récompense largement mérité, ça va (te) changer de son rôle dans le MCU justement ^^
Je n’ai pas vu le temps passer. Le film est un grand 8 lancé a toute allure. C’est pas un hasard s’il a remporté l’oscar du meilleur montage. 3h d’Histoire avec des allers retours dans le temps et une foule de personnages mais le film parvient à rester fluide et compréhensible. C’est un vrai tour de force, un grand film de cinéma pour moi.
Merci de vos avis. Ca donne envie!
America Ferrera c’est car son discours féministe lol, le problème étant que cette scène est peut-être la pire du film et peut-être même le cœur même du problème de ce film. Elle n’a pas gagnée et n’avait aucune chance.
Je me ne m’en rappelle plus et c’est pas bien grave car elle n’a pas gagné. Dire que certaines personnes croient que ce genre de discours aide la cause féminine, c’en est pathétique.
Après il y en as bien qui croient que le fait qu’il y ait un tel discours dans un film va provoquer l’effondrement de la civilisation occidentale
Ce qui fait du 1 partout au grand match du pathétique
Ah bon? Qui croit ça?
Retour sur Batman Arkham Asylum (playstation), après Hogwart Legacy, Jedi Survivor et Tears of the Kingdom, je dois avouer que je commence à saturer des jeux en mondes ouverts truffés de quêtes anecdotiques par tous ceux que tu croises… cette aventure linéaire en semi-ouvert m’a fait du bien
Les mondes ouverts avec leurs quêtes annexes bidon sont devenus une plaie dans le jeu video. C’est juste un moyen d’étirer artificiellement la durée de vie d’un jeu. Et moi, les JV c’est comme les films: Si c’est trop long, ça me freine.
Si seulement ce n’était que les mondes ouvertes qui étaient truffés de quêtes ou missions annexes à rallonge… Idem overdose total, j’ai plus 14 ans et de toutes manières contrairement à quand j’avais 14 ans il y a bien trop de choses intéressantes à faire et voir aujourd’hui pour le perdre sur des quêtes inutiles !
Ahah moi j’en peux plus des jeux avec 36 cinématiques. Ou au final tu passes ton temps a poser la manette. Et merci Zelda pour ça d’ailleurs.
Mais du coup. J’apprécie plus mes p’tits jeux indé, ou mes parties en ligne avec les potes que les gros AAA. J’en peux plus.
Vive deep rock galactique survivor d’ailleurs.
Ahah! Ma femme a trouvé le jeu qui associe ces deux défauts: Final Fantasy XVI, des cinématiques hyper longues tout le temps et des quêtes annexes toutes plus nazes les unes que les autres.
Je voulais m’y mettre mais ça m’a découragé.
En ce moment, je finis Baldur’s Gate 3 et je me suis mis à Marvel Ultimate Alliance 3 et j’avoue que j’aime beaucoup.
the Damsel, était vraiment très plaisant…
Mais bon, j’avoue, comme pour Enola Holmes, je cède facilement devant MillyBB.
The Damsel était éclaté au sol. Je vais passer vite fait sur l’agenda à peine caché de Netflix et sa diversité forcée mais les FX horribles, les acteurs qui semblent être là par dépit plus que par envie, l’intrigue cousue de fil blanc avec absolument aucune surprise nan vraiment… J’ai vu des direct-to-DVD bien mieux ficelés, c’est honteux qu’une telle plateforme continue à servir de la soupe aussi dégueulasse et tout le monde continue de la boire avec plaisir.
Et on retrouve le même problème que dans pas mal de films/séries de fantasy blindés de fonds verts et de FX en tout genre : tout est tellement LISSE. C’est plat, pas texturé, l’héroïne qui vient de passer dans 12 grottes, se faire cramer, nager etc… Son maquillage est toujours au top, c’est dingue. Retrouvera-t-on un jour un aspect plus « poisseux » mais réaliste à la Seigneur des anneaux ou GoT ? Si seulement… Il m’a saoulé ce film sérieux. Quand je repense à une série comme Marco Polo qui s’est faite annuler pour au final pondre des bouses comme ça des années plus tard franchement ça fait pitié.
Donner le meilleur film à Oppenheimer c’est un peu fort je trouve. C’est quand même très académique… A ba oui en fait tout s’explique, les Oscars n’aiment pas trop le risque et il coche toute les cases pour rafler de la statuette.
En ce moment pas trop le temps d’avancer sur mes lectures, mes séries et mes films mais
Lu:
Reckless de Brubaker et Philipps. C’est vraiment très très fort à quel point ces deux là maitrise l’art du polar sur le bout des doigts. Très envie de lire la suite, c’est super.
Shaolin Cowboy: pour une poignée de beaufs: Geoff Darrow n’arrêtera jamais d’être le dessinateur le plus fou de l’industrie. Tout déborde dans cet über tome des pérégrinations de notre moine cowboy pref (en tout cas le mien) des pages ultra-chargées à l’histoire sans sens et sans excuse. C’est parfait.
Je me refait tous les Hellboy en Deluxe en profitant de ma fièvre acheteuse. Mignola est un des tout meilleurs conteurs actuel et devrait être plus souvent cité. Mignola est le plus grand illustrateur vivant (en tout cas pour moi).
Vu:
Je regarde « From » sur Paramount+, c’est assez efficace comme série d’horreur même si ça coche toutes les cases de ce qui me fait le plus flipper en série: avoir de bonnes idées mais ne pas savoir où on va avec (cf. Lost) et des rebondissements un peu trop réguliers et parfois artificiels.
Je regarde aussi « Food wars », j’ai du mal avec les séries d’animations japonaises que je trouve souvent très chronophages. Mais là c’est tellement con et hilarant, j’adore. Un shonen « classique » avec des affrontements, des tournois etc… mais de cuisine. C’est comme si TopChef avait été boosté à la coke, ça braille dans tous les sens et les personnages se font dessus de plaisir en bouffant des nouilles. Excellent à mater en faisant à manger ou la vaisselle.
Spider-Verse ne méritait juste pas de gagner, face à un véritable chef-d’oeuvre la comparaison faisait pâle figure, et tous ceux qui prétendent le contraire n’ont soient pas vus Le Garçon et le Héron, soient ne sont pas objectifs vis-à-vis du personnage de Miles Morales.
En tout cas Shameik Moore est très mauvais perdant, et ça résume sûrement assez bien l’esprit de la communauté de ce film.
Est quoi le délire autour de la réplique de Madame Web ? J’ai cru comprendre que y’avait une vanne autour de cette réplique qui d’ailleurs ne me semble pas être dans le final cut mais j’ai toujours pas capté la vanne ?
Quelqun m’explique ?
Je prends aussi une explication parce que j’avoue que je ne vois absolument pas où est le délire
@ Apola & @ El Gringo : Personnellement, je ne trouve pas ça drôle, mais je pense que c’est juste l’astuce de chercher une araignée et de se rendre compte en étant piqué et en mourant quelques secondes après que l’araignée t’a trouvé en premier. Donc, elle était en Amazonie, à rechercher des araignées, juste avant de mourir… C’est de l’humour américain, c’est normal que ça vous fasse bizarre…
Il pourrait y avoir une autre astuce, plus subtile, liée au talent potentiel de Sydney Sweeney : sur le tournage de Not Ayone But You, elle s’est réellement fait mordre ou piquer par une araignée, lors de la scène dans laquelle le personnage de Glen Powell se retrouve avec une araignée dans ses vêtements et se déshabille devant tout le monde. La petite bête avait d’abord été placée sur l’avant-bras de Sydney, et elle devait sauter sur Glen, mais elle a préféré mordre la jeune femme et lui a conféré des super-pouvoirs ! LOL
Sydney l’a raconté chez Jimmy Fallon.
https://www.youtube.com/watch?v=wmMPZFFDAPY
Dans les deux cas, ce n’est pas très drôle, tel qu’amené à la cérémonie.
C’est juste pour surfer sur la vague de haine du film. Ca fait « cool » de cracher sur Madame Web, que ce soit fait avec talent ou pas.
Oui, bien entendu, en effet. Néanmoins, il est vrai que la réplique peut sonner comme une blague. Pas drôle, du coup.
On ne peut pas faire un It’s morbin’ time à chaque fois….
Intéressant ce que tu racontes The Ghost. Dans l’attente d’une réponse, j’ai revu la bande annonce et mis à part que la réplique soit ridiculement explicative, pas du tout naturelle. Elle est prononcé sans conviction comme si on avait fait lire un prompteur à l’actrice au dernier moment devant les images en une seule prise. Je trouve ça plus désespérant qu’hilarant. Choux blanc donc
Mérité pour Oppenheimer, mais un peu déçu que Killers of the Flower Moon n’est rien eut.
J’ai trouvé un peu abusé qu’Oppenheimer rafle tout. C’est un bon film, mais c’est extrêmement académique. Voir même assez plat par moment.
Néanmoins content pour Godzilla, Anatomie d’une chute et American Fiction ! Poor Things je suis moins fan mais Emma Stone le méritait.
Vu The damsel. Dieu que c’était médiocre … Du création Netflix original pur jus. Je ne recommande pas du tout …
« Du création Netflix original pur jus ». C’est laaaargement suffisant pour me faire fuir. 20€ pour ça, non merci.
20€ ?
C’est de plus en plus cher la France ….
si vous aviez le même bancaire que nous, ça serait le paradis 🤣
Ah mais c’était pas un point positif hein ! ^^ bien au contraire
Pendant ce temps là en Inde :
https://www.youtube.com/watch?v=m5gMVsxRtlE
C’est dommage qu’on ne distribue pas ces films en Europe. Parce que ça fait envie. Et au moins si le MCU avait ça en face ils seraient obligés de faire du lourd.
Je ne suis vraiment pas d’accord avec toi. Je trouve que ça a 15 ans de retard, au moins. C’est du déjà vu, et la façon dont s’est mis en scène (angles de vues, tout ça), franchement, c’est pas ouf… Enfin, disons que ce n’est pas très innovant. Donc, non, je ne crois pas que ça trouverait facilement un large public en Europe. Vraiment pas.
J’en ai repéré un qui me semble peut-être plus intéressant, au moins dans son idée de base :
https://www.youtube.com/watch?v=JaRLlh8Pw5A
Alienoid est déjà sorti en dvd ou blu-ray; bizarroide et j’ai décroché au bout de 5 minutes…les gouts et les couleurs
Hritik Roshan 🤩
J’espère que je pourrais aller le voir au ciné. J’ai beaucoup aimé Fighter, ça promet de belles scènes d’action.
Alors oui, parfois pour les effets spéciaux, on est au niveau de la majorité des blockbusters d’Hollywood de 2023 mais les films indiens sont tellement plus généreux, dramatiques et tout simplement funs que je pardonne.
Et puis le côté fin du monde, j’ai toujours kiffé.
Eternals aurait pu avoir ce côté mais ils ont préféré se concentrer sur autre chose.
Pour Alienoid, ça me botte bien aussi. Les coréens sont mille km au dessus de ce que peuvent faire les américains en ce moment donc je n’hésiterais pas à essayer.
Et je relance de un.
https://www.youtube.com/watch?v=OusNHJC5G_s
@ Fabien : Alors, pour moi, c’est un grand OUI !!!! 😀
« Blue Giant »… (pas le cousin du Géant Vert 😁 )
Réalisé par Yuzuru Tachikawa (dont le « Détective Conan : Le Sous-marin noir » était sorti en France plus tôt), un Animé adapté d’un manga Seinen dans le milieu du Jazz tokyoïte, avec une bonne touche de Shōnen et de Nekketsu – bref, les connaisseurs feront le tri :
À la fois un récit de passage à l’âge adulte et dans la grande ville, avec les petits boulots, les études en parallèle, mais zéro questionnements sexuels (on parle un peu des filles, mais on reste tout le temps entre garçons furieusement asexués)…
Et histoire d’un petit génie un peu hurluberlu et casse-pied, qui veut à tout prix devenir le meilleur dans sa catégorie (on connaît ça, de footballeur à super-guerrier, toutes les vocations y sont passés dans les mangas). Accompagné d’archétypes très usités eux aussi – le bûcheur trop sérieux au visage allongé, et le « faible » qui va réussir à être utile au groupe.
Narrativement, le scénario suit le déroulé du manga (classique : apprentissage, montée graduelle en puissance, chutes puis retour en force) de façon hyper condensée, sans sacrifier à l’évolution des personnages qui va du prévisible à l’inattendu. Ainsi si Dai Miyamoto, le héros saxophoniste, reste pour l’instant indéboulonnable – quoique obsessionnel et intransigeant pour ce qui est de véhiculer des émotions par son jeu… ses camarades ont droit à de brutales remises en question, et plusieurs personnages révèlent au fur et à mesure une épaisseur touchante. Entrecoupé de flashforwards en forme d’interviews télé, révélant en partie le destin des protagonistes (conclusion grandiose ou funeste, on ne sait pas encore).
Le tout à un rythme rapide plein de soubresauts, qui nous force aussi à croire que l’on peut vraiment faire du bon Jazz en étant de presque autodidactes… Rythme de circonstance, vu le contexte.
Bien sûr l’intérêt d’une adaptation, c’est d’en faire du grand Cinéma, une féérie visuel et, surtout dans ce cas précis, auditif. D’autant plus que l’intimité contrariée des salles obscures est similaire à celles des salles des salles de concert.
Et là, il y a certaines techniques utilisées qui peuvent ne pas convaincre des puristes – qu’ils n’aient pas peur de faire le tri :
Pas facile de reproduire des mouvements de Jazz, et à divers instants la 3D vient en renfort en se calant sur de vrais musiciens, cassant l’homogénéité 2D avec une gestuelle moins fluide. Pas une grande idée ça, mais peut-être pas le choix pour boucler le film dans les délais ?
Heureusement ces passages sont suffisamment brefs, et les scènes musicales gardent leur ampleur, qui grandit de façon exponentielle (surréaliste et cosmique). Jusqu’à devenir une expérience sensorielle sublime, associée à des instants intimes galvanisants comme on n’en voit même plus dans les blockbusters d’auteurs – quand on arrive à l’ultime set du dernier concert, c’est simple on se croirait d’abord dans un « Rocky ».
2 heures passées à célébrer l’ambition, les rêves, l’entraide, le travail ardu, l’Art Musical, en n’éludant pas les sacrifices… Et avec beaucoup de sueur et de salive.
Ça, c’est du Grand Spectacle !
Ne reste plus qu’à attendre la confirmation de la suite, « Blue Giant Supreme », annoncée dans une scène post-générique.
🎷🎹🥁
Vu Dune 2
Je l’ai trouvé très bon, propre et maitrisé.
Ses scenes de combats, le manque de moment vraiment épique, et le developpement de son antagoniste, le freine un peu selon moi.
Je n’ai pu m’empecher de faire un petit parallele avec le developpement de Paul et celui de Eren de SnK.
Tiens, qu’on donne SnK a adapter a Villeneuve, avec Snyder pour les scenes de combats.
Pas bête du tout ce rapprochement!
Après SnK est trop gore, trop mature et bien sûr pas assez diversifié pour être adapté correctement par les américains. Je prie donc à l’inverse pour qu’ils ne mettent pas leurs sales pattes sur ce chef d’œuvre japonais.
J’ai fait la même remarque à mes amis à la sortie de la salle. Ça m’a paru évident effectivement.
SNK n’a pas fini d’influencer pour les prochaines années je pense. Un chef d’œuvre comme le dit Garyus.
Tu réalises que l’histoire de Paul Atreides précède SNK d’environ un demi siècle ?
ATTENTION !!!
ENORME
SPOILER
SNK
!!!
SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK SPOILER SNK
Frank Herbert était-il un hôte du titan de l’attaque ? Ainsi Eren lui aurait ordonné d’écrire le personnage de Paul pour qu’Isayama puisse s’en inspirer et lui donner naissance 50 ans plus tard 😂
SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER SPOILER
Sauf que l’approche du roman il y a 50 ans est bien différente de la façon dont le film traite tout ça. En particuliers la relation entre Paul et Chani qui fait furieusement penser à celle qui unit Eren et Mikasa. Plutôt que de se moquer…
Je me moquais pas. Je ne faisais que réutiliser le meme selon lequel Eren aurait poussé Isayama à le créer.
Ceci étant dit, le fait que le seul élément de différence que tu cites concerne Chani/Mikasa en dit long, sachant que là où Chani guide Paul dans son monde, Mikasa n’a grosso-modo qu’un rôle de protection envers Eren. Si je fais comme toi je peux dire qu’Avatar a quand même une influence incroyable, parce que la relation entre Paul et Chani fait furieusement penser à celle de Jake et Neytiri.
Je pense que tu sais pertinemment que ce à quoi tu faisais référence à la base – le passage de jeune idéaliste à despote assoiffé de vengeance et ayant connaissance à la fois du passé et du futur – est traité de manière assez similaire dans le roman.
Mais vas-y, je te laisse le bénéfice du doute. Explique moi donc quels éléments du film non-présents dans le livre te semblent avoir été inspirés par SnK, notamment concernant le développement de Paul.
C’est bien dans la personnage de Chani que les différences sont les plus fondamentales. Paul est et reste ce qu’il est dans le roman. En cela, Eren lui ressemble. Mais Mikasa ne ressemble pas à Chani. C’est bien l’inverse qui est vrai.
Le fait que Alia ne soit pas présente dans ce second volet ainsi que l’absence du fils de Chani et Paul sont deux éléments qui tendent à resserrer l’intrigue autour du duo formé par Chani et Paul. En cela aussi, on se rapproche du traitement fait pas l’Attaque des Titans de son couple central.
Enfin, je ne l’ai pas développé dans mon commentaire car je ne voulais pas faire un pavé, mais l’ambiance même de la dernière partie du film est également très ressemblante à celle de SNK. Alors peut-être qu’Isayama avait lu le livre et que l’ambiance lui a paru devoir être retranscrite ainsi une fois dessinée, mais je pense qu’il est plus simple de s’inspirer d’un animé pour aller vers un film. Peut -être aussi que tout ceci n’est qu’une extrapolation et que ni l’un ni l’autre n’ont vu ou lu leurs œuvres respectives.
En tout cas tout ceci importe peu… L’important réside dans le fait que les deux œuvres nous offrent ce qui se fait de mieux dans leur catégorie respective à l’heure actuelle et qu’on peut tracer des parallèles intéressants entre les deux.
yorsaint. Villeneuve ayant annoncé son intention de faire Messiah, l’apparition fugace de -vous savez qui- pour être Alia dans une vision plutôt que l’avoir « enfant » présente aux côté de Paul, laisse supposer qu’il voulait un lien direct avec la suite, où elle sera fatalement plus présente, sans que le néophyte ait à faire le raccord entre cette part 2 et la part 3.
Mais il y a plusieurs choix qui posent en effet questions. Pour une troisième partie, comment Villeneuve va se débrouiller avec Edric, alors que jusque là, il s’est gardé de donner une apparence aux navigateurs de la guilde. Et Là, fatalement, moi, ça me ramène directement aux céphalopodes de Arrival …..
@Ayorsaint
Justement, c’est ce que je disais plus haut : la Chani du film est plus proche de Neytiri que de Mikasa. C’est quoi le couple Chani/Paul dans le film ? C’est le coup classique du « sauveur blanc » qui intègre un monde qui lui est étranger, y rencontre une femme qui le guide dans ce monde, lui apprend leurs méthodes et coutumes et ils finissent par tomber amoureux. Le parallèle avec la relation Jake/Neytiri est évident (et c’est normal puisque c’est une histoire éculée). Mais quel rapport avec la relation entre Eren et Mikasa, qui viennent du même monde et se connaissent depuis l’enfance ? A quel moment Mikasa guide-t-elle Eren dans son univers ?
Je pense effectivement que tu extrapoles, mais j’admettrai volontiers mon erreur si un jour Villeneuve cite SnK dans ses références pour le film.
Vu Shogun episode 4: Toujours une Masterclass. Les imbéciles aux cheveux bleus devraient regarder cette série et voir ce qu’est réellement le patriarcat et ce qu’est une femme forte. Les deux personnages féminins sont juste exceptionnels de force et de retenue.
Et cette fin d’épisode!!! Mama mia! J’en reviens toujours pas de kiffer autant une série sur Disney +
tu as réussi à me donner envie !
Mais bon, le vieux bonhomme que je suis va comme d’habitude attendre que tous les épisodes soient dispo, pour s’y mettre.
Franchement, c’est beau. Il y a certains plans qui m’ont décroché la mâchoire. Ca me change des fonds verts dégoutants des films de SH.
Si on aime la culture japonaise, c’est que du bonheur. Et ce n’est pas que du fanboyisme de la japaniaiserie. Il y a beaucoup de recul par rapport à certaines coutumes ou visions des japonais. Je trouve ça bien vu là où les japonais n’aiment que qu’on montre les bons côtés de leur pays (c’est pas très français le que qu’on).
Merci Garyus je savais pas quoi regarder en ce moment, je vais tenter ça…
Vu hier le premier épisode de Burning Flames, l’adaptation en drama de Wu Gen Ji, un manhua très populaire en Chine. Un peu l’équivalent chinois de Berzerk.
C’est tout juste énorme. C’est violent. Les méchants sont stylés. Si le premier épisode est aussi intense je suis impatient de voir ce que sera la suite.
Je vous joins le trailer de la série pour vous donner envie.
Avec le trailer ce serait mieux. oups.
https://www.youtube.com/watch?v=AugSR0GDkaA
Ca a l’air sympa tes séries et films mais dur de mettre la main dessus. Je trouve que du streaming pourri en FHD et les sites de streaming, j’ai rarement confiance.
[EDIT] Bon j’en ai trouvé un en VOSTA pour ceux qui veulent « ma tv asiatique », y’a 7 épisodes dispos. C’est pas dégueu mais ça mériterait clairement de la 4K. Je regarde un épisode ce soir parce que j’ai bien aimé le générique ^^
[EDIT 2] Pas ce soir! Le pire film de l’humanité (selon l’avis général) est dispo sur le « web » et je ne peux pas rater ça!!!
Celle là elle est sur Youtube.
Le deuxième épisode c’est une bataille apocalyptique. J’ai jamais vu ça ailleurs.
Vu Madame Web et j’ai trouvé ça sympa et sans ennui.
Qu’est-ce-que je n’aime pas dans les films de super-héros?
– Des fonds verts dégueulasse et des effets spéciaux à la ramasse. Je n’ai pas vu ça dans ce film.
– De l’humour débile toutes les deux secondes. Je n’ai pas vu ça dans ce film.
– Des wookies partout en veux-tu en voilà. Là, je serais plus nuancé. On a de la diversité mais est-ce un problème dans ce film? Je ne pense pas. Même si certains archétypes peuvent paraître plus gênants qu’autre chose.
Quant au girl power… on est à des années lumières de visions débiles à la The Marvels et Barbie. On a juste une histoire concentrée sur des femmes et où l’homme n’est pas présenté comme le mal absolu (Merci Oncle Ben).
Pour le reste? Madame Web est un film qui raconte une histoire, une origin story, certes pleines d’incohérences mais, POUR MOI, intéressante.
La première partie, où Cassandra Web découvre ses pouvoirs, reste pour moi la plus intéressante, voire même touchante (la scène de la mort de son collègue).
Les scènes d’action sont pauvres, le super-vilain est le pire que j’ai jamais vu mais cette histoire d’une jeune femme abandonnée par sa mère qui se découvre une famille, m’a plu.
Alors oui, ce n’est pas un super film mais je suis loin, très loin d’avoir vomi comme dans Ant Man 3, The Marvels, The Flash ou Venom 2.
Ca se laisse regarder et ça mérite un solide 6/10 pour moi. J’ai du mal à comprendre tout ce bashing, en dehors de l’effet de mode.
Quand on a vu le trailer, qu’on connait le perso obscur, on ne peut pas en attendre autant que les films que j’ai cité plus haut.
Eh bé voilà ! Ce foutu ectoplasme avait raison, tu as aimé Madame Web ! Content que tu aies passé globalement un bon moment. Mais je n’en ai jamais douté. Le bashing, c’est de l’influence cognitive. Disney a des gens à sa botte, et ils ont réussi à programmer une partie du public pour servir leurs intérêts en crachant sur tout ce qui ne vient pas de chez eux. Je sais bien que ça sonne comme du complotisme, mais ça n’en est pas. Ça existe en politique, ça existe en géopolitique aussi, ça existe aussi dans l’industrie. Tout n’est que manipulation aujourd’hui, et nos préférences ne sont plus autant les nôtres que ce que nous croyons…
Je suis globalement d’accord avec toi. Pour ma part, je suis globalement plus clément pour une licence que je ne connais pas. Ce Madame Web n’a tellement rien à voir avec sa version papier et Spider-Man que pourquoi pas.
Alors qu’en tant que gros fan de Marvel, je pardonne moins à un Thor 4 ou un The Marvels.
Si on se posait tous en tant que non-fans, ce Madame Web ne serait certainement pas dans le fond du panier.
Vu les notes que le film récolte sur IMDB, Rotten ou Allociné c’est clairement pas un problème de fans. Fans ou pas, globalement les gens ont trouvé le film mauvais.
C’est surtout lié à ce que l’approche cozy du genre super héros ne fonctionne pas pour beaucoup de gens. Deux films avec cette approche, The Marvels et Madame Web, deux échecs. Ça semble assez clair.
Le prends pas mal, mais je crois bien que personne à part toi ne valide l’existence de l’approche « cozy » du film de SH 😅
Ou alors (simple hypothèse de ma part)… le film est juste mauvais, quand bien même vous l’avez apprécié, et ça explique pourquoi la plupart des gens disent qu’il est mauvais ?
Je veux dire, le commentaire de Garyus en dit long : bourré d’incohérences, scènes d’action pauvres, pire super-vilain qu’il ait jamais vu… A côté de ça les points positifs qu’il cite sont tous rapportés (par lui-même !) à ses goûts et préférences personnelles.
En gros « c’est mauvais, mais ça ma plu ». M’est avis que si on retire son affect de l’équation le film n’est plus noté 6/10, mais plutôt 3 ou 4.
« Disney a des gens à sa botte, et ils ont réussi à programmer une partie du public pour servir leurs intérêts en crachant sur tout ce qui ne vient pas de chez eux. »
Par quels moyens ? Quels sont les processus cognitifs impliqués dans ce matrixage du public et comment Disney les a appliqués ?
Le film est plein de défauts. Après si je l’ai apprécié c’est surtout pour l’immense potentiel de son principe (une excellente idée, même dans un film médiocre, ça reste plaisant)
Je suis d’accord WeaponX. Ca m’arrive souvent de sortir d’un film en me disant « c’était vraiment mauvais » mais d’être satisfait car j’y ai vu de bonnes idées.
Je dis juste qu’il ne faut pas laisser ça nous aveugler. Surtout pas pour dire ensuite que ce sont les autres qui sont aveugles sur la vraie valeur du film. ^^
Oui… ou pire encore et de crier au complot (complot sexiste, complot de Disney, etc)
Après The_Ghost n’a pas tort quand il parle de mécanismes d’influence dans certains milieux. Les complots ça existe, mais je reste méfiant vis-à-vis de ces théories. J’attends de voir quels sont les arguments avancés par The_Ghost pour me faire un avis sur celle-ci. ^^
Que Disney ait réussi à convaincre un moment l’opinion que tous les super-héros héros Marvel devaient leur revenir pour être correctement adapté c’est vrai :
Alors même que la Fox avait bien servi les x-men pendant des années et Sony Spider-Man, beaucoup réclamaient leur « retour » à Disney. Franchement j’hallucinais et je trouve que la trilogie Home Holland me donne raison.
(Ça blaguait même de rendre DC à Disney à cette époque)
Maintenant l’échec de Madame Web n’a aucun rapport avec Disney. Venom 1 avait d’ailleurs marché, mais depuis les films spider man sans Spidey patinent. Le public ne voit pas l’intérêt en terme de saga vu qu’il n’y a pas de liens pour l’instant, et le contenu lui déplaît en majorité.
Je suis plutôt de ton avis WeaponX, mais j’attends de lire ses arguments.
@ Archer & Weapon X : deux choses, les garçons, trois en fait :
1/ Je m’engage à vous apporter des éléments sur la fameuse influence cognitive, mais je ne pourrai pas le faire aujourd’hui, car ça va me demander un travail de synthèse, et là, je n’ai pas le temps. Vous pouvez prendre connaissance de la deuxième réponse que j’ai faite à Pirail sur l’article consacré à la campagne de com sur Teen Titans, et dans laquelle je fais allusion à Evolve Media LLC, c’est un début de réponse. Je n’oublierai pas que je vous dois une explication plus détaillée du processus. C’est quelque chose que je dois de toute façon étudier dans le cadre d’une recherche personnelle sur les technologies de la guerre… Sachez que c’est en relation avec les technologies numériques, mais que ça n’a rien d’une théorie complotiste analogue à celles circulant sur HAARP par exemple. Ce n’est pas mon genre d’aller par là. À suivre donc. Donc, c’est pas une histoire d’ondes EM ou je sais pas quoi. C’est une histoire de transmission d’information, de captation de la réaction, d’analyse statistique, de second bombardement d’information, puis d’étude de la réponse, et ainsi de suite, avec l’ajout de « voix » ici et là, et à tel moment, qui vont dire que, et qui seront suivies.
2/ Je ne suis pas en total désaccord avec Archer quand il dit que Garyus (et moi) aimons ce film par rapport à des critères personnels. J’ai pour ma part bien précisé ici pourquoi j’aimais ce film. Mais je ne conteste pas les chiffres, d’une part, et surtout, je me pose moi-même la question suivante : pourquoi lorsque tu es censé faire un produit grand public, tu fais un film qui va parler de chamanisme et qui va faire le parallèle entre le lien entre les générations, et l’espace-temps ? Pourquoi faire un truc aussi intellectuel ou aussi perché (selon les interprétations), et imaginer un instant que ça va passer auprès de la masse ! Pardon, mais c’est bien de masse qu’il s’agit ! Dans une certaine mesure, le studio ne peut s’en prendre qu’à lui-même, surtout qu’il n’y a eu aucune promo sur ce que moi, je viens de te dire ici ! Donc, la réaction spontanée du public, c’est « wtf is this ? » Et c’est normal ! Donc, dans ce sens là, vous avez raison, Mes Petits Lapins, ce n’est pas un bon film, voire, c’est un mauvais ! Je ne suis donc pas en total désaccord avec vous.
3/ Et je rajouterai que l’influence cognitive dont je vous parle, à mon sens, ne concerne que le bashing, et non l’appréciation de la qualité du film, ce sont deux choses bien différentes. Même si nos « goûts » sont orientés, mais avoir un goût orienté ne te pousse pas à cracher sur les autres produits, ou sur les gens qui les apprécient.
À suivre, donc.
@The_Ghost
« pourquoi lorsque tu es censé faire un produit grand public, tu fais un film qui va parler de chamanisme et qui va faire le parallèle entre le lien entre les générations, et l’espace-temps ? Pourquoi faire un truc aussi intellectuel ou aussi perché (selon les interprétations), et imaginer un instant que ça va passer auprès de la masse ! »
Christopher Nolan te salue ! ^^
Bon allez, j’admets que c’était une réponse un peu facile, voire de très mauvaise fois de ma part ! 😆
Ceci étant-dit Endgame a cartonné alors qu’il aborde des concepts farfelus lui aussi. Alors évidemment ce film partait sur une base extrêmement solide pour cartonner au box office, mais en même temps il montre que le grand public peut être réceptif à de gros concepts de (S)F.
Ok pour le reste. Curieux de lire tout ça.
@ Archer : À mon sens, Madame Web ne présente pas de concept farfelu, contrairement à Endgame. Sauf si tu considères nécessairement la spiritualité comme quelque chose de farfelu, ce qui est compréhensible.
Ce que je veux dire, c’est qu’une croyance, une religion peut être cohérente, et pas farfelue, reposer sur une logique, ce qui de mon point de vue n’était pas le cas du voyage dans le temps de Endgame. Et Madame Web utilise un symbolisme qui peut ne pas être évident pour tout le monde (l’eau qui fait lien), et du coup provoquer l’ennui du spectateur.
SPOILER
Grâce au venin de l’araignée (chamanisme) c’est le corps astral de Cassandra qui voyage dans le temps et l’espace, et fait le lien entre chaque point de ce dernier. Et l’eau est le symbole du lien entre passé, présent, futur, entre les générations différentes, et entre les personnes. L’eau de la rivière Hudson, l’eau de l’Amazone, l’eau du ventre de maman, trois eaux vues à chaque fois du point de vue de Cassandra. L’eau est le point commun à tout et à tous. Madame Web parle de ça, en fait. Du lien entre tout. À l’instar du temps qui est commun aussi. Ou de l’espace-temps d’ailleurs… C’est pas farfelu, mais c’est clairement perché. Ou carrément brillant.
FIN DU SPOILER
Côté DC, rien à voir non plus avec Endgame. Black Adam, maîtrise des champs électriques et magnétiques. The Flash, Relativité Restreinte et… Dilatation du temps si mes souvenirs sont bons, mais là, c’est de la science, pas de la spiritualité.
Nolan me salue ? Bof… tu fais allusion à Inception, je suppose ? Faudrait que je le revoie, mais j’en ai surtout retenu un délire visuel. Je pense que c’est surtout ça qui plait aux gens, du grand spectacle (et c’est légitime), même s’ils ne comprennent rien au fond.
Ou alors, tu veux me parler de Tennent ? Pas vu du tout, pas intéressé.
Interstellar, c’était de lui, aussi ? Yes. Rien de farfelu non plus, en effet, bien au contraire. Mais montré sans explication et chiant au possible. Donc un spectacle pour les bobos snobinards qui s’éclatent à regarder un truc avec de belles images, mais qu’ils ne comprennent pas. Moi je comprenais très bien, et je me suis ennuyé pendant deux heures. Mate-toi deux heures, justement, de conférence de Roland Lehoucq, tu t’amuseras davantage et tu en apprendras beaucoup plus.
@The_Ghost
J’hésitais à mettre farfelu entre parenthèse et puis je me suis dis que t’allais quand même comprendre. J’aurais sûrement dû, mais parfois je me demande si tu lis vraiment avant de répondre…
« Pourquoi faire un truc aussi intellectuel ou aussi perché (selon les interprétations), et imaginer un instant que ça va passer auprès de la masse ! »
Je cite Nolan car ses films sont considérés (à juste titre) comme intellectuels ou perchés (selon les interprétations) et qu’ils fonctionnent généralement très bien auprès de la masse. Et oui, on peut y inclure notamment Inception, Interstellar ou Tennet.
PS : Interstellar montre les choses sans les expliquer ? WTF dude ? Tu l’as vraiment vu ce film ? 😅 Il faut vraiment que tu arrêtes de penser que tu es le seul ici à avoir des bagages en sciences. Crois-moi quand je te dis que t’es pas le seul à creuser sérieusement les sujets qui sont abordés dans ces films. xD
ah ben bravo …. tu peux être fier de toi !
maintenant je cherche une séance encore possible à 40km à la ronde !!?
c’est du propre !
@Lovehater: 😅
Après je dis pas que c’est un bon film hein, juste que je l’ai aimé et que je trouve qu’il est injustement descendu par rapport aux autres films de genre
Lire comme je l’ai lu partout que c’est le pire film du genre, pour moi, c’est bidon. Les gens ont trop facilement oublié l’angoisse des films de 2023.
@Archer: Zero affect pour moi dans ce film. Je n’aime pas les actrices, je ne connais pas le personnage et je m’en balek de Madame Web comics.
L’affect, c’est pour Captain Marvel. Là oui, je reconnais que le film n’est pas ouf mais que j’ai adoré à cause du combo Captain Marvel/Brie Larson.
De toute façon ton angle d’attaque sur l’objectivité ne sera jamais bon. Personne ne peut dire qu’un film est bon en étant objectif. On a tous notre part de subjectivité.
Dire qu’un film est juste mauvais, c’est donner une importance à son avis qui n’a aucun sens.
Je ne parlais évidemment pas de ton affect envers les actrices ou les personnages, mais uniquement du film. Tu l’as regardé, tu as aimé, c’est un affect.
« Personne ne peut dire qu’un film est bon en étant objectif. »
Bouarf, je vais pas perdre de temps à expliquer ça une énième fois mais c’est évidemment faux.
Si j’ai aimé ce film, c’est parce que je l’ai aimé. Trop fort 😅
Et oui, ne perds pas ton temps. On a déjà eu cette discussion et aucun de nous deux ne changera d’avis.
Je me permets un entre-vous-deux : il y a une part de technique qui relève bien de l’objectivité : les plans, la profondeur de champ, les mouvements de caméras, la photo, etc. Là, où ça apporte une valeur ajoutée, ou alors ça ne fonctionne pas. C’est encore un peu subjectif tout de même, mais pas tant que ça. Une séquence est dynamique, elle est lisible, ou pas. Un dialogue est compréhensible, ou pas, il apporte quelque chose au récit, une information, ou pas. Donc, il y a des éléments objectifs, et moi j’en ai trouvé plein dans ce film. Maintenant, par exemple, j’adore les contre-plongées à ras du sol, et en ce sens, c’est aussi subjectif. Mais ça fait aussi de belles séquences d’action…
Bon, j’arrête, faut vraiment que je bosse… (:
ça doit être un effet de pur hasard, mais depuis hier, on lit les avis -négatifs- de beaucoup de monde, au sujet du film ….
ça ne peut évidemment pas être lié au fait qu’on le trouve depuis hier en … téléchargement illégal ?
T’imagine….
la fanbase bashe le film parce que c’est une production Sony =>le film se ramasse au box office => la masse décrète qu’il est unanimement mauvais malgré le tout petit nombre de personnes qui ont fait l’effort d’aller le voir => un max de monde voit enfin ce film parce qu’il est dispo de la manière la plus honteuse qui soit => la fanbase confirme à quel point il est mauvais et combien l’échec au box office est mérité, alors qu’elle n’a pas lâché un centime pour le voir. 😉
Je me demanderais toujours si le pb à la base, ce ne sont pas ces « fans » ? …. ceux qui s’attendent à voir de grands chefs d’œuvre à chaque film, avec le respect scrupuleux de fascicules vendus massivement pour faire une part belle au divertissement auprès un public cible de gamins et d’ado* (…enfin les comics, au moins, ils les payent … enfin, espérons ^^)
ça me rappelle ces fans qui ont crachés durant presque 10 ans sur chaque films du DCEU pour …. finir par réclamer qu’on ristoure ze snaïlledeurverse, parce que l’ère Snyder est culte.
les mêmes qui ont démoli en ordre de bataille toutes les propositions de la 20th Century Fox pour aujourd’hui se réjouir à la moindre apparition d’un ancien acteur dans Deadpool & Wolverine -enfin , tout du moins, les rumeurs de-.
Est-ce que dans 8 ans, lorsque le deal Sony/Disney proposera le sixième film Spiderman avec Tom Holland, sera annoncé le retour de Sydney Sweeney en SpiderWoman, il y aura cette même fanbase qui se déchainera à l’idée de ce grand retour ?
* = humour
@Lovehater : Mais ces « fans » sont tous allés se faire injecter de l’ARNm codant une protéine toxique, notamment pour pouvoir aller au cinéma…. 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣
Et après, t’as quelques gentils rêveurs qui me demandent de prouver l’existence de l’influence cognitive, ha ha ha… 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣 🤣
Tu as tout dit, en vérité.
On ne peut pas en vouloir ni à Hollywood, ni a Disney, ou aux autres…
Il suffit de voir comment est classé le film Elektra, ici, et lire les avis enthousiastes de retrouver Jennifer Garner dans ce rôle, cet été…
C’est une question d’ADN.
Et ça répond en partie à la question du mais pourquoi Sony s’obstine à faire des films Spiderverse? Entre petits budgets, exploitation du deal avec Disney en parallèle et succès de leurs D.A, c’est un investissement sur le long terme, avec un troupeau qui, haters ou nostalgiques, reste finalement bien fidele….
Parce que lorsqu’on crache sur un film avec ferveur sans l’avoir vu, pour se précipiter dessus J1 lorsqu’on peut le télécharger sans payer, sous le couvert du « c’est pour pas parler sans savoir », c’est que la cible reste dévouée 🤪
« Il suffit de voir comment est classé le film Elektra, ici, et lire les avis enthousiastes de retrouver Jennifer Garner dans ce rôle, cet été… »
C’est oublié premièrement que personne ne trouve Elektra à jeter à cause de son actrice, deuxièmement que cette interprétation du personnage est surtout connue pour le film DD. Lui aussi critiqué, mais nettement moins que le film Elektra.
sur ce site :
Daredevil – 5.6 (alors oui, ça reste meilleur que ….Quantumania ^^)
Elektra – 3.5
« n’essayons pas de sauver ce qui ne peut être sauvé. »
– Quel dénominateur commun entre une plantureuse femme brune grecque et une actrice à la mode à l’époque ? –
et oui, j’aurais dû préciser, l’enthousiasme à la retrouver, ça n’est pas qu’ici.
De là, j’entends volontiers toutes les argumentations possibles. Mais difficile de ne pas se dire que c’est simplement parce que les fans ont la mémoire courte ; et que ça les arrange bien. ^^
Perso je suis plus jeune que toi je pense et le film DD avait été ma première rencontre avec les amants maudits DD et Elektra.
Ça m’avait fait tombé amoureux de ces héros et poussé à les découvrir en comics via d’abord l’incontournable run de Miller.
Le film Daredevil a des énormes défauts mais rien que pour ça j’ai un petit attachement à ce film et à ses versions.
certes, mais ça n’est pas le cas du plus grand nombre.
Perso, j’avais plutôt bien apprécié cette version, vu qu’à l’époque, y avait bien moins à se mettre sous la dent. Après, pour ceux qui n’en ont pas une souvenir très mauvais, je déconseille fortement de le revoir.
Mais même au moment de sa sortie, Garner était vraiment le maillon faible. Pas du tout conforme au perso, et un jeu terriblement plat.
Ne pas oublier que son casting était basé sur le succès d’Alias et … le fait qu’elle soit en couple avec l’acteur principal depuis Pearl Harbor. Pas vraiment un choix de correspondance.
c’est vraiment pas évident de voir qu’elle répond à une attente aujourd’hui.
@The_Ghost
« Et après, t’as quelques gentils rêveurs qui me demandent de prouver l’existence de l’influence cognitive »
Ah parce que c’est ça que je t’ai demandé ? Relis-bien mes questions avant de perdre je-ne-sais-combien de temps à répondre à côté STP.
Sauf erreur, le film « La demoiselle et le dragon » (Damsel) avec Millie Bobby Brown est le remake d’un film russe daté de 2015 et intitulé « Dragon inside me », lui-même étant une adaptation libre du roman « The Ritual » du duo Maryna et Serhiy Dyachenko.
En tous cas, en voyant la bande-annonce (car pas encore vu celui-ci), ça y ressemble énormément (j’avais vu la version russe).