Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !
S’il y a un point positif que l’on peut mettre au crédit des plateformes de streaming, c’est bien la multiplication des séries de science-fiction à gros budget, autrefois apanage de la chaîne Syfy… Ainsi, rien que cette semaine, nous assistons à un superbe duel entre HBO/Max et Apple TV+. Sur la première, Dune : Prophecy nous conte les débuts du Bene Gesserit, un décamillénaire avant les événements de Dune ; tandis que sur la seconde, Rebecca Ferguson continue d’explorer le monde post-apocalyptique de Silo (sans prononcer un seul « Okey Dokey ! »). Bien sûr, impossible de ne pas mentionner que Ferguson est… Dame Jessica dans les films Dune, donc membre du Bene Gesserit (#ToutEstLié) ! Alors, de quoi est/sera fait votre programme en ces froids jours de novembre ? A vos claviers et très belle semaine à tous !
Dix mille ans avant Paul Atréides, une puissante communauté redouble d’efforts pour emmener en secret l’univers dans une direction bien précise.
﹡﹡﹡﹡﹡
﹡﹡﹡﹡﹡
La série Dune : Prophecy est diffusée chaque lundi sur HBO/Max, avec Emily Watson (Valya Harkonnen), Olivia Williams (Tula Harkonnen), Jodhi May (Impératrice Natalya), Mark Strong (Empereur Javicco Corrino), Sarah-Sofie Boussnina (Princesse Ynez), Shalom Brune-Franklin (Mikaela) et Travis Fimmel (Desmond Hart).
Je n’ai vu que quelques minutes des 2 films Dune qui ne m’ont guère passionné. J’ai regardé le premier épisode et je ne me suis pas senti concerné. Un peu comme si je regardais un épisode de Fondation ou le préquel de Game of thrones. C’est joli (quoique…) mais cela est réservé aux fans de l’Univers Dune, donc je ne continuerai pas. Je passe mon tour donc.
Je crois que je n’ai jamais été passionné par un film avec seulement quelques minutes regardés, donc pas étonnant qu’avec ces quelques minutes tu sois passés à côté ces films géniaux. Dommage, après chacun son truc.
Ouais, « quelques minutes » c’est un peu flou, on parle de 4/5 minutes ou de 50 minutes ? Je trouve dommage de ne pas tenter un peu plus (1 épisode complet pour une série ou bien 1h pour un film) avant de lâcher définitivement mais en effet, chacun son truc ^^
J’ai vu Dune de Lynch en 1985 à la première séance du film le jour de sa sortie. J’ai vu à peu près 70% des deux films et le premier épisode de la série en entier. Alors certes c’était juste après avoir vu « Yellowstone » et « Landman » cette nuit sur Paramount alors peut être que je n’étais plus très frais, mais bon je confirme malgré tout que j’ai du mal à être intéressé…Malgré tout je préfère le Dune de 1985…Un pote de lycée avait tenté de me faire lire le bouquin en pocket, mais j’avais du mal à lire parce qu’il n y avait pas beaucoup d’images….Voilà j’ai tout essayé. Mais vous noterez que je ne dis pas que la mini série n’intéressera pas les fans de Dune.
Donc on passe de « Je n’ai vu que quelques minutes des 2 films Dune »
à « J’ai vu à peu près 70% des deux films »
Tu nous expliques ?
les films de Villeneuve font 2mn36 en moyenne (hors génériques) ? ^^
Faudrait peut-être comprendre que tout le monde ne fonctionne pas comme toi. Perso ça m’est déjà arrivé pas mal de fois d’être happé par un film ou une série dès les premières minutes. Mais je pense surtout que Box Office a utilisé le mot « passionné » ici en voulant dire « intéressé ».
Le dernier en date que j’ai en tête c’est The Thing. Je zappe dessus à la télévision, je me dis je regarde un petit peu avant de passer à autre chose, et finalement je suis resté tout du long + je me suis fait le début que j’avais raté juste après.
Quelques minutes suffisent largement pour certains films !
On peut être passionné par un film au bout de quelques minutes seulement je crois.
A l’inverse, dommage de ne pas laisser sa chance à un programme et de l’arrêter au bout de quelques minutes. Parfois il faut plus que ça pour saisir la portée d’une œuvre.
Oui mais c’est rare d’être passionné en quelques minutes je trouve. La dernière fois que cela m’est arrivé je ne m’en souviens plus trop, je parle bien sur d’un épisode 1 et pas d’une suite sinon là forcément c’est de la triche. Passionné c’est un mort fort, on ne parle pas d’être intrigué-intéressé.
Avec HBO au moins, il y aura une sortie Blu-ray, on attend toujours les Anneaux de pouvoir en Blu-ray
Cobra Kai binch watché , qu’est ce que c est con mais j adore
Très bon goût clairement, c’est tellement fun et d’un autre temps aussi mais ca fout la banane…
yes mais il faut attendre encore pour avoir les derniers épisodes après ce cliffhanger de la mort (c’est le cas de le dire !!!)
Pour tous les amateurs d’animation et même les autres, jetez vous sur DanDaDan. L’épisode 7 diffusé récemment est bouleversant. Une histoire magnifique.
Ah ça tout le monde en a entendu parler de DanDaDan chez les fans de mangas ou animation, logique c’est un neketsu à succès et l’anime sublime le manga. Je conseille donc des titres légèrement plus obscur qui sont diffusés actuellement, Trillion Game(génialissime et cela monte en puissance à chaque épisode) et Chi – Chikyû no Undou ni Tsuite(le mouvement de la terre) qui nous fait nous rappeler le sort réservé à ceux qui tentaient de comprendre le monde qui les entoure.
@Ayorsaint: J’aime beaucoup Dan Da Dan pour son côté loufoque, frais et pour l’histoire d’amour mignonne entre les deux protagonistes mais alors l’épisode 7 m’a laissé sur le cul. J’étais pas prêt. A deux doigts de verser une petite larme.
J’adore.
@Garyus
Ouais j’étais pas loin de la larmichette. On a éteint la TV et j’ai plus rien dit pendant quelques minutes, la gorge serrée. Ce qui est fort, c’est tout ce qui est suggéré dans l’épisode ou non dit comme le sort de la fillette. Ça pousse le curseur des émotions encore plus loin. Et put… la réalisation !!! Une claque.
De façon générale la relation entre Momo et Okarun est une pure réussite c’est clair. Ca vient flirter avec le Shojo classieux.
Et que dire de cet opening que je repasse en boucle dans la bagnole.
Oh oui cette réalisation.
Et cette musique pendant cette fameuse scène! Une masterclass de tristesse et d’émotion.
https://youtu.be/23rYsjzjJnA?si=x2_X8Eqcfm–Zb6m
Je me plains souvent des séries américaines incapables de se renouveler mais je trouve ça normal quand je vois les japonais capables de te produire tous les deux trois ans des œuvres aussi originales et variées que Dan Da Dan, l’Attaque des Titans, Death Note, Full Metal Alchemist, Evangelion ou encore Berserk. Et je ne parle que des séries et pas des films.
J’aimerais ressentir un jour dans une des séries super-héroïques américaines, l’émotion que j’ai eu dans cet épisode de Dan Da Dan.
Je me dis sans cesse la même chose. Mais je pensais que c’était car je suis un kikoo Jap 🤣
Non sérieusement il y a un train d’avance… Dans les dernières productions je rajouterais Chainsaw Man qui est un OVNI aussi. Vinland Saga dans un genre plus sérieux proche de Berserk. Et Jujutsu Kaisen qui après une première saison très réussie mais à base de déjà vu shonen nekketsu a mis une claque monstre en saison 2 et il paraît que c’est pas fini… Je le conseille vraiment mais alors VRAIMENT !!!
Je suis autant un kikoo jap qu’un kikoo comics. Commencé avec Goldorak et les X-Men 2e génération (Tornade, Wolverine, Colossus, etc..).
Si j’ai autant d’attachement pour les deux univers, force est de constater que les japs ont effectivement un train (voire dix) d’avance en terme de diversité et d’émotions.
La preuve c’est qui ni toi ni moi ne pouvons donner une liste exhaustive des animes excellents alors que pour les séries super héroïques, ça se compte au pire sur les doigts d’une main au mieux sur deux mains 😅
PS: Evidemment les animes que tu cites sont supers mais je voulais surtout mettre l’accent sur la diversité en évitant les shonen justement.
@Ayorsaint
Concernant JJK, l’arc du drame de Shibuya était effectivement assez phénoménal. Malheureusement ce qui suit l’est beaucoup moins je trouve. Il y a bien un combat en particulier qui est vraiment haletant (je me souviens l’avoir lu d’une traite, jusque tard dans la nuit parce que je me disais continuellement « allez, encore un chapitre avant d’aller dormir 😂) mais honnêtement tout le reste est d’un brouillon… C’est un maxi-bordel, ça ne raconte vraiment pas grand chose (bon après JJK est assez creux de base, mais là c’est pire) et le combat final est d’une lonnnnnngueur… Une longueur absolument pas justifiée selon moi.
Bref, n’attends pas trop de la suite. Tu risquerais d’être très déçu. Il y a quelques trucs stylés par-ci par-là mais dans l’ensemble ça casse pas trois pattes à un canard.
Bon tu viens de me refroidir pour JJK. Pourtant j’ai plutôt entendu dire que le drame de Shibuya c’était énorme mais qu’on était pas prêts pour la suite… Je sais qu’il faut se méfier avec les emballements de nos jours alors je verrai par moi-même. Souvent je pense à acheter les mangas tellement j’ai envie de savoir la suite puis je me dis que l’animé est tellement bien réalisé que je préfère le découvrir sous ce format.
@Ayorsaint
Je préfère refroidir tes ardeurs, quitte à ce que tu me dises ensuite qu’en fait c’était mieux que ce que je t’avais laissé imaginer. Mais pour moi Shibuya c’était vraiment le pic de JJK. Après ça comme je t’ai dit il y a un combat particulièrement exaltant et quelques passages sympas, mais globalement c’est bourrin, c’est la surenchère de pouvoir expliqués à l’arrache dont on captera finalement pas grand chose, et surtout – mais ça c’est un problème qui n’existera pas dans l’anime – les dessins sont globalement bien dégueulasses. A chaque chapitre comportant de la baston il y a des cases dont on ne capte pas les mouvements des persos.
Bref, tu me diras ce que tu auras pensé de tout ça, que tu le visionnes en manga on bien en anime.
Alors je ne pense pas qu’on puisse classer DanDaDan dans la catégorie des nekketsu mais je chipote un peu. Je vais me renseigner sur les deux titres que tu cites.
@Angyo Trillion game me faisait de l’oeil, je le regarderai sûrement ! Je connais quelqu’un qui lit ´Du mouvement de la Terre’, il parait que c’est très bien mais quand elle m’a décrit des scènes violentes, j’ai été un peu calmé 😅 mais je tenterai peut-être quand même.
@Garyus & @Ayorsaint J’ai eu un peu de mal avec Dandadan en regardant 6 épisodes, je trouvais ça un peu bizarroïde – à mon goût -, le duo est tout de même attachant. Puis, j’ai vu que le 7e ep avait fait le buzz, je l’ai donc regardé et wow… et f*** ah ouais c’est chaud mais comme vous dites, la réalisation est impeccable. D’après les lecteurs du manga, l’anime a été plus subtil en allant plus dans la suggestion.
D’accord avec vous pour le fait que moi aussi, je me détache de + en + des séries occidentales et que je m’oriente plus vers les médias asiatiques (Arcane restera la grosse exception et pas encore vu HotD); et aussi sur à peu près 90% des oeuvres que vous avez citées.
D’ailleurs, en ce moment, je regarde Vinland saga. J’ai mis un an pour regarder 5 épisodes tellement j’ai eu du mal à me plonger dedans 😅 mais ensuite quand le MC se fait enrôlé et que la guerre éclate entre les Anglais et les Danois, ça devient prenant. Je n’ai pas encore fini la S1 mais j’aime beaucoup.
SPOIL episode 7 de Dandadan
Je suis allé voir les réseaux sociaux pour savoir si les lecteurs connaissaient le sort de la petite. Donc c’est à vos risques et périls si vous continuez.
/
/
/
/
Elle n’est plus mentionnée 😐 soit elle est morte ou a eu un sort sordide (et les éditeurs ne peuvent pas montrer ça), soit l’auteur la garde pour plus tard mais c’est peu probable car le manga a déjà 3 ans…
Comment bien commencer la journée… voili voilà…
J’ai toujours été plus intéressé par les productions asiatiques, faut dire qu’un anime peut facilement adapter des ouvres fantastiques-sf là ou une série ou un film il faut un gros budjet pour rendre crédible les effets spéciaux. Hors mon truc à moi ce sont justement des univers d’heroic fantasy, sf ou alors de l’historique. Je cherche majoritairement du dépaysement, même si je sais apprécié quand cela n’est pas le cas mais cela reste la vitrine d’entrée en ce qui me concerne.
Puis en ce qui me concerne les asiatiques, enfin le Japon surtout a complètement écrasé la concurrence sur les bd-comics ou leurs adaptations, c’est plus diversifié, c’est plus vivant et impressionnant. Je lis beaucoup plus de mangas que je ne regarde d’animes à présent, achetant un tas de titres obscures pour ceux ne s’intéressant pas au genre https://www.manga-sanctuary.com/collection.php?id=145487&page=liste J’ai tendance à vite lâcher les neketsus en même temps. Bref aujourd’hui je m’intéresse plus à des mangas comme Dans le sens du vent, Dédale, Blue Giant, Dead Dead Demon’s Dededede destruction, Trillion Game,
Isabella Bird, Le Chef de Nobunaga(une belle surprise qui est réimprimé, dernière chance pour l’acheter), le bateau de thésée etc qu’a des titres plus shonen-action connus, même si je leur laisse une chance et parfois j’aime bien voir beaucoup, comme des One Punch Man, Kindergarten Wars, Kingdom.
Tout ça pour dire que depuis longtemps je ne suis plus facilement impressionné, c’est pour ça d’ailleurs que la première saison de SNK j’avais trouvé ça moyen à l’époque. La fin de l’épisode n’avait rien provoqué, je savais déjà que cela allait arriver et plein de trucs par la suite dans cette saison c’était du gros cliché pour moi. Mais j’avais ensuite adoré la saison 2 et 3, faudrait que je retente un jour même si la dernière saison quelle catastrophe.
@Ayorsaint
Clairement, je mate Vinland pour les intrigues. Je mate la 2e dès ce soir.
Si j’ai eu du mal avec les 5 premiers épisodes, c’est parce qu’en lisant le synopsis, on savait déjà où tout ça nous emmenait. J’avais le sentiment que ça n’avançait pas et que c’était inutile de plantait autant le décor.
Mais dès que la trame principale commence, là, ça devient prenant/addictif.
@le spectateur lambda
oui c’est ainsi que j’avais perçu le drame de la petite fille. Pas de suite à donner à ça, juste ne pas montrer l’horreur qu’elle a dû subir, et c’est presque pire en un certain sens.
@Angyo Pour moi, les manga se résumaient aux shonen voire même nekketsu. Je n’ai jamais été emballé par ce dernier (Dragon ball, Naruto, One piece, etc. inclus), à part Death note et SNK, je ne regarderais rien.
Puis c’est en regardant Your name que j’ai été curieux ce que les manga/anime avaient d’autre à offrir, c’est là que j’ai découvert un éventail de choix très large en effet et il y en a pour tous les goûts.
T’as regardé Frieren ? J’aime beaucoup ! J’hésite à me lancer dans la collection manga
@Ayorsaint je te jure, je ne suis pas bien chaque que je repense à cet épisode.
PS: hier soir, j’ai fini la S1 de Vinland saga… mais c’est quoi cette dinguerie ? Les critiques n’étaient pas exagérées. Bon juste un truc quand ça part en anime/manga style. Le MC qui fait des bonds de 14m ou le grand qui « one punch man » un cheval 😅
Si tu préfèresz le côté réaliste et psychologique de Vonland, il se peut que tu aimes beaucoup la saison 2. Certains qui ne jurent que par l’action ne l’ont pas aimée
Générique par Creepy Nuts, que j’ai vu dans un festival il y a quelques années. Un des groupes préférés de la femme.
Ken ou Otarun doublé par Natsuki Hanae, un de mes seiyu préféré, qui double Tanjiro dans Kimetsu no Yaiba.
Un character design assez original, une bonne bande-son, l’histoire originale, la relation entre les 2 personnages…
J’approuve.
J’ai découvert Dune avec les films que j’ai adoré, je verrai donc avec ce spin off dont je n’ai pour le moment aucune attente vu que ce sera presque totalement déconnecté des films en question vu la période. Pour Silo on m’a conseillé de lire les livres plutôt que de regarder la série, donc je n’ai toujours pas commencé cette série mais je pense que finirai par regarder la série avant de lire les livres.
Sont si mignons ces « Okey Dokey »… 🙂
Ah Dune Prophecy, enfin !
Vu Dune prophecy, j’ai adoré le 1 film,un peu moins de 2eme, et la série me fait penser au 1er.
Vu aussi Super/Man, c’est émouvant comme histoire.
Gundam Requiem for Revenge : le Gundam est le méchant !? C’est inattendu. Dommage c’est beaucoup trop court avec une fin succincte et très ouverte…
Elden Riiiiiing !
Encore et encore et toujours 😆
Quasi 100h dessus et je crois n’être qu’a la moitié.
Sinon, avis a tous les gamers, la liste des jeux pour les game awards vient d’arriver ! Et il faut voter Black Myth Wukong pour GOTY 2024 ! 😎😎😜
Je n’ai fait aucun jeu de cette liste et je suis étonné que tu ne votes pas pour le DLC (sic) d’Elden Ring.
J’aurais préféré pour ma part Stellar Blade mais il faut que je me fasse Astro Bot, FF 7 Rebirth et Black Myth Wukong. Pas gagné que je les fasse avant la fin de l’année, vu que j’ai commencé les excellents TLOU 2 et Cyberpunk 2077 (ce jeu me fascine).
Alors, j’adore Elden Ring mais je ne l’aurais JAMAIS fait sans Black Myth Wukong. Et ce dernier est plus orienté action (il est bcp plus nerveux que ER ce qui est normal et n’enlève rien a son propre style), donc preference pour lui.
Je l’ai tellement adoré que je vais acheté sa version physique lorsqu’elle sortira fin decembre. Et j’ai tres tres hate d’avoir des news du DLC. Et je compte meme lire le bouquin dont est « tiré » le jeu: « la pérégrination vers l’ouest » ^^.
Donc vive le roi singe ! Longue vie au roi singe !
Astro Bot est supeeeer cool, tres beau et est bourré de ref, mais c’est juste du fun a l’etat pur+trop facile pour celui qui est un tant soit peu habitué a des jeux d’aventure.
Quant a FF7Rebirth, il est excellent mais il n’egale(ra jamais) sa version de 97. En partie a cause de la découpe en 3 parties/jeux et son manque « de monde ouvert » comme l’etait la version originale.
Rebirth manque de monde ouvert ?
Ce serait bien d’y jouer avant d’en parler quand même, ça pourrait se voir
Junior, junior. Laisse parler les grands !
J’ai fait le jeu, en entier et 2 fois.
Donc shut et va voir ailleurs si on y est 😉
Vraiment ras le bol de tes commentaires a 2 balles
Pour BMW, j’attends la version physique justement. Et son histoire, ses persos sortant de l’ordinaire et son côté nerveux me plait bien.
Vu son succès populaire, il mériterait je pense de gagner. Et ça enverrait un beau message à l’industrie occidentale.
Astro Bot me paraît court et ton histoire de fun à l’état pur me plait beaucoup. Ca pourrait le faire entre deux parties de Cyberpunk et TLOU très sombres dans leur genre.
FF7 Rebirth; il va me falloir du temps. Je n’avais pas fait l’original à l’époque et j’ai adoré FF7 Remake donc la comparaison avec l’ancien ne me dérange pas le moins du monde. C’est plutôt son aspect quêtes annexes chiantes qui me bloque pour l’instant.
@Garyus
J’ai moyennement aimé FF7 Remake et j’ai beaucoup aimé Rebirth. J’avais d’ailleurs fait peu de quêtes annexes sur le Remake, alors que je les ai toutes faites dans Rebirth ^^. Certes, tout n’est pas parfait mais certaines valent le détour 😁
Des jeux que j’ai fait le DLC d’Elden ring serait pour moi le candidat naturel au titre de GOTY mais comme Elden Ring l’a déjà eu et que de plus c’est un DLC, il se contentera de sa nomination je pense. Comme RE4 remake l’an passé qui aurait pu gagner mais un remake qui gagne ça fait tâche.
Le GOTY ira à Astro Bot si on s’en tient à l’avis de la presse et des joueurs et je pense que ça pourrait être rafraichissant après des années de victoires de jeux sérieux voire sombres. Ce sera mon premier achat sur PS5 quand je l’aurai.
Dommage que Mario Odyssey soit sorti la même année que BOTW il l’aurait mérité aussi dans le même genre.
Peu importe si le jeu est facile ou plus familiale. Si le jeu a marqué les esprits pour sa réal, alors il a sa place dans les nominations.
Pour le DLC et le remake, ça peut faire débat, mais si ils diffèrent du jeu de base, alors pourquoi pas.
J’ai regardé les autres années, 2018 était difficile de choisir…
« Peu importe si le jeu est facile ou plus familiale. Si le jeu a marqué les esprits pour sa réal, alors il a sa place dans les nominations »
AstroBot a clairement sa place pour le titre de GOTY, mais de même qu’être fun et/ou familial la réalisation ne fait pas tout. Le jeu reste léger, et il faut compter a peine (10h tout au plus) pour le finir, 5h de plus pour le finir a 100%. Ca peut jouer en sa defaveur.
Oui 2018 c’était Cornélien entre les deux mastodontes. Imaginez si BOTW était sorti cette année là aussi 🤣
J’aurais voté RDR2 pour ma part mais GOW ne l’a pas volé
Ah BOTW pas touché n’ayant pas de console nintendo, bon je pourrai le faire tourner sur pc. Mais bon tout le monde parle d’un open world qui a innové mais dans toutes les vidéos que j’avais vu je n’ai rien vu de spécial comparé aux autres open world. Mais vu son succès il est évident que cela aurait posé problème dans le duel.
Alors tente le coup toi qui dit que tu aimes les univers dépaysant à base d’héroic fantasy tu pourrais bien accrocher. Quand à la différence avec les autres open world elle va te sauter aux yeux au bout de minutes (l’escalade) puis te les crever avec l’utilasation des quatre pouvoirs et de la paravoile. Personne n’a réussi à s’en rapprocher depuis si ce n’est sa suite
J’ai beaucoup aimé la première saison de Silo, hâte de voir la 2ème.
Ayant lu a peu près tous les bouquins Dune, et ayant beaucoup aimé les 2 films, je pense que je ne passerai pas à côté de la série.
Je ne pensais pas aimer la série, parce que pour moi son concept même n’a pas de sens : il est impossible qu’une civilisation de cette envergure s’étende sur 10 000 ans. Et je me rends compte que c’est justement le propos du projet 🙂
Quelques facilités narratives pour nous expliquer le contexte, mais des choses vraiment sympa dans un pilote qui donne envie d’en voir +. Les enjeux géopolitiques et la manière dont ils sont traités me rappellent mon après-séance de DUNE (2021) : « C’était bien, mais ça marcherait mieux en série sur Max. ».
…et que l’esthétisme de cette civilisation soit exactement la même à 10 000 ans d’écart ?
Parce que ça aussi ça pourrait faire partie du propos.
Prophesilo ?
À noter aussi la sortie du film « Le Choix », remake français de « Locke » – l’un des meilleurs rôles de Tom Hardy, peut-être même le dernier.
Vincent Lindon reprend le volant, et il faut bien ça pour être à la hauteur du concept.
Et il y a également le biopic de Pharell Williams… en Lego !!? Et après ça sera quoi ? Celui de Robbie Williams… avec une tête de chimpanzé – mais pas de quoi susciter des arguments glauques bidons.
Et rappelons aussi la présence en salles du film d’animation « Flow », une expérience cinématographique incroyable – qui réussit là où « Le Robot Sauvage » a échoué (malgré le fait que ce dernier soit plus explicite avec la Mort).
Vu :
– Rattrapage de quelques films de Raoul Walsh, assez surprenants…
_
— Spéciale Cédric Jimenez, scénariste puis réalisateur frondeur et polémiste… du moins c’est ce qu’il essaye d’être, pas toujours avec succès. Et des fois, c’est surtout renforcé par le contexte de sortie de ses films…
– « Aux yeux de tous »…
Pour le premier long-métrage de Cédric Jimenez, sur une idée originale de Arnaud Duprey, scénarisé par lui-même avec sa compagne d’alors Audrey Diwan – qui fait une petite apparition au début… Et dont le concept est risqué.
Ceux qui s’y sont déjà essayés n’étant pas entrés dans les annales du Cinéma – d’ailleurs ce film non plus, globalement peu connu.
Concept qui consiste à représenter tout une action (la traque des responsables d’un attentat) uniquement à travers des caméras de surveillance et des webcams… Mais piratées par un super hacker, qui représentera tour à tour la figure du spectateur/voyeur, du dieu omniscient, du réalisateur/monteur, du joueur de jeux vidéos – on voit très bien que c’est un nerd.
Donc on a la fois le regard (le notre comme le sien) porté sur les nombreux écrans de surveillance… et de réguliers contrechamps sur l’individu qui observe et agit à distance, filmé par petits bouts parce qu’il reste un anonyme – littéralement, c’est son pseudo – jusqu’à ce qu’on arrive à la fin de l’histoire.
Difficile à supporter ? Pas sûr car le résultat est vraiment proche d’un film, le voyeur étant une création cinématographique composée du corps (dos, yeux, mouvements) de Batiste De Oliveira, et la voix très familière de Axel Kiener (beaucoup de doublages VF, tout comme Feodor Atkine, présent ici en grand méchant).
Les vidéos elles sont composées de telle sorte que le réalisateur a tout le temps le contrôle sur la clarté de l’image, filmée de manière nette avec des caméras haut de gamme puis « salie » en post-production pour donner l’impression qu’il s’agit d’engins à la définition plus limitée.
De cette façon la fabrication du film se confond avec son propos (pas encore en vogue lors de sa sortie en 2012), qui va émerger peu à peu : le contrôle de la narration, et les contre-vérités :
Le protagoniste, faussement démiurge, va traquer les responsables tel un justicier ambigu (il ne se présente pas tout de suite comme un lanceur d’alerte, malgré la référence évidente aux Anonymous), en utilisant des moyens hors-normes… c’est d’ailleurs un parti-pris fictionnel que d’avoir un personnage (surdoué – asocial ?) qui craque facilement n’importe quelle système de surveillance ou ordinateur, de la même manière qu’on y cite un pays slave fictif, et que tout l’enjeu repose sur une conspiration grossière.
Mais les moyens à disposition du hacker restent toutefois limités à des enregistrements, du piratage d’informations, et des appels et diffusions d’images à destination des responsables.
Puis le regard va changer sur ces derniers (Olivier Barthélémy, Mélanie Doutey, Francis Renaud) pas seulement parce qu’on va en apprendre plus sur eux, sur leurs implication réelle… mais aussi parce que le danger rejaillit aussi sur eux, en temps réel, la faute aux choix du voyeur. Ce qui déplace le curseur de l’empathie et crée de l’ambiguïté, tandis que le voyeur devient plus net, plus troublé, et ses réactions plus empreintes d’une émotion puérile lorsqu’il tente désespérément de régler les choses. En vain, comme le montre la dernière scène, précurseuse de certains politiciens populistes.
Film qui pâti d’une certaine naïveté (post Sarkozyste), et est malheureusement sorti à proximité des tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban…
Néanmoins son parti-pris stylistique est tenu jusqu’au bout. Et sa critique d’un État tout sécuritaire, dont on peut détourner les instruments (jusqu’à ce que ça soit eux qui vous contrôlent), reste plus que pertinente.
– « La French »…
Passage aux gros budgets pour Cédric Jimenez (et toujours Audrey Diwan en co-scénariste), dans la lignée du renouveau du Polar français post Marchal et Mesrine… surtout ce dernier, pour le casting star, la reconstitution historique et le risque d’avoir un résultat anti cinématographique.
Ce qui est étonnant puisque le film, retraçant les années de grands trafics d’héroïne à Marseille, à la facture formelle bien jolie et lorgnant vers l’époque Belmondo/Delon (l’ancien logo de la Gaumont), se permet de ne pas être bloqué dans sa narration.
Et tord ainsi la réalité pour créer une forme de justification aux comportements de ses protagonistes.
Ici par exemple, le célèbre juge Michel est un accro aux jeux repenti, expliquant par ce biais pourquoi il agit de façon aussi obsessionnelle – éviter à d’autres (dont les plus jeunes) de sombrer dans l’addiction. Alors que lui-même se plonge trop profondément dans le boulot, au delà de ses attributions (ça n’est pas un flic, et pourtant) et en cherchant à tout prix la victoire.
C’est même dit explicitement par sa femme… Trop didactique ça.
D’où un manque d’instinct dans ce film, dans lequel Jimenez (Marseillais lui-même, « avé l’assent ») ne se compare pas à Scorsese – c’est plutôt Scorsese qui traduit les excès des mafieux – et prend plus ou moins « Heat » à revers.
Car avec Jean Dujardin et Gilles Lellouche en tête d’affiche, on aurait pu croire qu’il allait traiter d’un antagonisme à distance, de deux points de vue, les deux faces d’une même pièce. Et puis pas vraiment, Lellouche jouant un Gaëtan Zampa pas toujours crédible en italien, un peu lisse (rasé de près, ça lui va pas), qui a droit à des petites scènes de violence à la De Niro… et une de sniffage de coke forcé, plutôt ridicule et inefficace. Par rapport à un Dujardin plus investi, ça n’est pas très équilibré.
Mais surtout ces deux personnages sont montrés de plus en plus comme n’étant pas maîtres de leur destin, tenu par des corrompus et autres puissances hors d’atteinte – ce qui représente le sujet de prédilection de l’auteur Jimenez.
Après une ellipse au deux tiers du film, ça sera ensuite le début du chemin de l’un vers un martyre, et la déchéance progressive de l’autre, l’histoire se contentant de suivre les faits de façon automatique sans réussir à les transcender – Benoît Magimel (pas assez exploité, alors que Jacky « Le Fou » est un bon élément perturbateur) sort brusquement et définitivement de l’intrigue, Céline Sallette a droit à une scène de détresse un peu artificielle (pas pour l’actrice mais dans sa mise en scène), bref les personnages n’ont pas droit à un arc narratif consistant.
Et le succès d’estime du film se faira au moment où la famille de Pierre Michel se désole de voir se raviver des souvenirs douloureux.
Plus intéressant est la fin du premier tiers du film, avec La scène à la « Heat » où les deux stars se font face à face pour la seule et unique fois… avant de se snober ensuite. L’un prend l’autre en filature, au mépris de toutes les procédures, puis les rôles s’inversent et le dialogue (classique) qui s’ensuivra se fera sur terrain neutre.
Ensuite chacun part de son côté…
Et depuis Dujardin ne cessera jamais de jouer les fonctionnaires au service de la Loi, dont l’obstination peut les rendre obtus.
Tandis que Lellouche aura bientôt de supers rôles complexes et ambigus. Fini pour lui les faire-valoir, les personnages de potes, tout en creusant les mêmes thématiques de protagonistes s’imaginant un avenir meilleur.
Après ça (et un fou rire anthologique à la télé belge), on ne verra plus les comédiens ensemble. Deux talents qui ne peuvent plus du tout exister dans le même cadre ?
– « HHhH »…
Cédric RRrRimenez passe à de la production anglo-saxonne… en partie puisque adaptation (toujours avec Audrey Diwan, et David Farr) du bouquin et prix Goncourt de Laurent Binet… Dont ils ne vont pas (réussir à ?) retranscrire la structure originelle, et sa forme de méta fiction qui en faisait tout l’intérêt.
D’où un résultat finalement classique, le parti-pris un peu audacieux consistant à construire l’intrigue en deux parties :
L’une consacrée au terrible Reinhard Heydrich – le titre c’est pour Himmlers Hirn heißt Heydrich, « le cerveau de Himmler s’appelle Heydrich ». Partie qui crée une de ses caractérisations ambigüe qu’affectionne Jimenez (et d’autres cinéastes plus « sulfureux ») en suivant un monstre idéal pour les Nazis, puisque c’est un bureaucrate contrarié doublé d’un planificateur insatiable. Cela sans jugement extérieur porté sur lui (il est le produit d’une époque, et de diverses frustrations), ni la moindre épiphanie de sa part face à ses actes éminemment inhumains.
Notre moralité ne risque pas d’être remise en question tout le temps que l’on suit le parcours triomphant de cet « homme », aimant la grande musique et très patient avec son fils… mais aussi misogyne qu’il est cruel et xénophobe. On est tout de même loin des « Damnés » de Visconti, le film retranscrivant la période de montée du Reich (La Nuit des longs couteaux n’est pas oubliée) en laissant de côté l’implication bourgeoise pour suivre cette femme de petite noblesse qui va convertir cet officier de marine injustement déchu – l’occasion pour Rosamund Pike et Jason Clarke d’endosser à nouveau des rôles horribles dans leur ordinarité.
La deuxième partie pose bien sûr problème alors qu’elle déroule le récit de deux jeunes soldats, tchèque et slovaque (les deux espoirs Jack O’Connell et Jack Reynor), ainsi que leurs alliés, qui vont mettre en place l’assassinat de Heydrich… En suivant un cursus bien classique, vu et revu au cinéma – amitié, entraînement, entraide, amours naissants respectifs – ils ont du bol… et non, parce que sacrifices aussi, bien moches.
Comme dans « La French » les deux points de vue sont exposés mais pas consolidés, surtout le deuxième (les personnages sont peu construits, n’ont pas le temps de raconter leurs états d’âme avec force nuances). Et quand une partie de la résolution de l’intrigue repose sur une séquence de bataille dans une église, rafraîchissante… autour on aura aussi une série d’exécutions bien pénibles.
Tout au plus la pillule peut passer si on tient des séquences introductives et conclusives du film, tournées vers la fatalité pour l’une, et l’espoir pour l’autre… bien que ça soit plus symbolique qu’autre chose.
Des soucis pour sortir le film (et précédant de peu l’affaire Weinstein, partenaire financier), et une drôle de conclusion qui soutient que la mort de Heydrich n’aura pas seulement servi à susciter plus de résistance – voir l’opération Walkyrie…
Mais aussi que par ricochet, ça a aussi sauvé Paris.
C’est sûr qu’avec Von Choltitz, on y aura gagné au change.
– « BAC Nord »…
Bashe le Sud.
Mais pas trop. D’ailleurs pour se couvrir, le film précise dès le début que, bien qu’inspiré de faits réels, tout ça est une fiction etc… Mais écrit en tout petit, très vite (pas suffisant pour sa co-scénariste Audrey Diwan, qui quittera le navire).
Comme ça, Cédric Jimenez peut y aller franco et faire tout simplement la même chose que dans les meilleurs polars des années 70 (ou « The Shield », référence évidente) : montrer un paquet de flics et de truands être poussés à se comporter comme des brutes excitées, parce-que des hauts pouvoirs les ont tous laissés à l’abandon.
Alors, tout le monde improvise et fait n’importe quoi, et le camp gagnant c’est celui qui bénéficie du plus grand nombre de membres, sachant agir en cohésion et se montrer intimidants.
Demandez donc à des agents de faire pareil, alors qu’ils sont moins nombreux et que ce sont aussi des fonctionnaires. Et pire encore, des dindons de la farce, trop confiants envers leur hiérarchie qu’ils ne pensent même pas à mettre par écrit et signé, un protocole d’action qui assumerait sa part d’illégalité (racketter des clients, mais pour choper une énorme prise).
Trop bons trop cons, comme on nous les chronique dans la première grosse moitié du film : le vétéran (Gilles Lellouche, force tranquille), le chien fou (François Civil, cheveux de Rahan), et le sage qui fait tampon entre les deux (Karim Leklou, toujours bon). Faut faire avec l’accent du Sud et les phrases pas toujours intelligibles, alors il faut bien s’accrocher – et après, on s’y attache.
Et une fois passé le gros morceau du film, c’est à dire l’assaut d’un repaire de dealers, aussi explosif et anxiogène que tout ce qui vient de précéder…
Boum, la deuxième partie, celle que la récupération politique ignora radicalement (dans le cas où ceux-ci regardent vraiment les films) : le pouvoir dépend aussi de la création d’une réalité qui vous arrange le mieux. Sujet que Jimenez a traité dès son premier film.
Vous étiez des flics impuissants avant…
Puis on vous a autorisé à devenir des cowboys…
Puis on a décidé de changer encore d’avis et de faire de vous des vilains – en fait, l’évolution classique d’un héros selon Harvey Dent.
À ce moment là ça n’est ainsi plus du tout un film sur une situation dans des quartiers marseillais, on bascule dans le film de prison, donc aussi une histoire d’injustice et de trahisons.
Le trait a beau être assez gros, il reste implacable.
Il n’y a ainsi plus l’excitation du Thriller.
Juste l’amertume d’un film dramatique, où on voit les hommes (disons, un sur trois) se faire broyer et réduits à presque rien.
Tragique.
– « Novembre »…
Cédric Jimenez prend cette fois en main un film dont il n’est pas le scénariste (c’est Olivier Demangel)… Et, même si le projet est moins personnel, il retrouve l’état d’urgence de « Aux yeux de tous », sur un sujet d’ailleurs similaire.
Avec par contre une utilisation inverse du casting, très large, peuplé de stars ou d’acteurs connus, tous uniquement là au service de la traque des terroristes du 13 novembre 2015.
Contexte dans lequel la réactivité de François Hollande, avant même que les policiers de l’anti-terrorisme ne soient sur les dents, reste ahurissante : comment faire pour rattraper un retard terrible, d’ailleurs renforcé par la scène introductive à Athènes ? Où en gros, c’est comme si le personnage de Fred était le responsable principal, pour avoir échoué à ce moment là (culpabilité indirecte qui ne sera toutefois jamais traitée dans le film) ?
Ben en faisant juste le boulot, en restant dans les clous, en suivant consciencieusement les pistes tout en respectant les procédures pour ne pas tout faire foirer. Ce qui en devient forcément ennuyeux, à peine bousculé par le personnage de Anaïs Demoustier qui prend un risque à une ou deux reprises, et qui sort ainsi du lot.
On comprend alors que ce film se présente comme l’anti « BAC Nord », et pas seulement parce que la récupération politique d’alors avait bien irrité… « Novembre » a beau être présenté par Jimenez comme Action et Apolitique, le résultat penche moins vers l’un que l’autre, puisque de grosse scène d’action il n’y aura que le raid à la fin, filmé en quasi temps réel et sans beaucoup de dramaturgie ajoutée (pas trop spectaculaire en fait). Et surtout pas le Bataclan, restant hors-champ par pudeur et bienséance.
Le reste ça sera de la traque et beaucoup de fausses pistes, nerveuses mais même pas mises en scène de façon originale – la filature de Hasna en burqa au marché… à votre avis comment ils vont perdre sa trace ? (oui oui, c’est ça).
Ce qui reste peut donc effectivement être politisé, à savoir montrer des individus anonymes car tous réduits à un simple prénom, et devenant les rouages impersonnels d’un système avançant en soupesant énormément chacun de ses actes – là où dans le précédent film, les policiers étaient encouragés à l’improvisation, pour un résultat pas mieux.
Jean Dujardin se distingue à peine des autres par son emploi habituel de fonctionnaire zélé, qui doit lui aussi ralentir pour le bien de la mission. Sandrine Kiberlain joue toujours bien l’inquiétude. Les autres restent dans leurs rôles (pas une fois Raphaël Quenard ne fait « son » numéro).
Et l’enjeu principal (la raison d’être de tout le film ?) se trouve dans la relation de confiance périlleuse qui se noue entre Demoustier et le personnage réel (légèrement fictionnalisé, la production l’assume) que joue Lyna Khoudri. Montrant ce que c’est que le devoir citoyen, mais aussi que ça peut surgir là où on ne s’y attend pas – par contre aucun protocole de prévu dans ce cas précis.
La chaleur de Marseille contre la froideur à Paris…
Un chef borderline contre un autre maniaque du contrôle…
Une narration au long cours pour l’un contre une très resserrée pour l’autre…
C’est peut-être le principal défaut de « Novembre » : il ne trouve sa pertinence qu’en n’étant pas dissocié de « BAC Nord », voir même de toute la filmographie de Cédric Jimenez… Sinon ça passe juste pour un véhicule à stars, qui fait lui aussi son devoir citoyen, mais sans être assez excitant et cinématographique.
_
– Début de la série « Les Espions de la terreur »…
Après « Novembre »… ben l’après Novembre en fait.
_
– Fin de la série « Dans l’ombre »…
Peut-être parce qu’il y a eu quelques fictions politiques qui donnait le mauvais rôle à la Gauche française (« Baron Noir » et « En place »), la Droite a droit à son propre opus adapté d’un livre cosigné par Édouard Philippe … À la sensibilité très « de Droite » :
Des personnages un peu coincés, des goûts très sophistiqués – La Jeune Fille et la Mort de Schubert comme leitmotiv ?..
Et des rebondissements qui ne sont pas construits, à tel point que leur côté mécanique vient se confondre avec l’omniprésence de la technologie dans tous les coins de l’histoire : logiciels de votes, voiture avec IA intégrée, drone espion dans une fin sibylline. Sans compter les hommes-machines comme Baptiste Carrion-Weiss, couteau suisse qui remonte les pistes de données et fait du kung-fu (!)… avec accessoirement un faux air de Bernard Tapie. C’est trop gros pour être un hasard ?
Melvil Poupaud fait un bon équivalent de Édouard Philippe (remplaçant son alopécie par d’autres handicaps), Swann Arlaud sa bonne âme damnée et Karin Viard (fidèle à elle-même) préfigure même le sort de Kamala Harris.
Amusant d’extrapoler à partir d’un résultat aussi premier degré.
_
– Début de la série « Cat’s Eyes »…
Et ben ça démarre très bien, c’est bien construit, les filles ont une de ces pêches et les scènes de casse/poursuites sont trépidantes, pas précipitées.
_
– « Whitney Houston: I Wanna Dance with Somebody »…
Classique biopic musical, réalisé par la peu connue Kasi Lemmons (25 ans de carrière pourtant)… ce sont les années 2020, et ce genre cinématographique est complètement une norme prompte à rapporter des Oscars à leurs acteurs (ça n’arrive toutefois pas souvent, et avec celui-ci, pas plus). Des films d’acteurs donc, pas de mise en scène – c’est rare – mais tant qu’il y a un tant soit peu d’énergie, bien aidé par les standards de la chanson…
Même sorti un peu en catimini, la direction technique est plus que correcte, le résultat reste suffisamment enthousiasmant.
Et avec une personnalité comme Whitney Houston, encore plus.
Film tiraillé entre deux voies, celle du succès éclatant de la star, avec beaucoup de scènes amusantes, voir comiques (la sollicitation de Kevin Costner). Bref une icône, montée tellement haut que tout le monde aurait pû s’arrêter là…
Et celle de sa déchéance qui n’est pas seulement le signe d’un gâchis énorme… C’est aussi très glauque, digne d’une malédiction. On se demande alors si la fin, qu’on connait bien sûr à l’avance et dont on a quelque peu l’explication (mais le documentaire de Kevin Macdonald avait déjà parlé de son homosexualité réprimée finissant en mariage toxique, de son épuisement à tenir son rythme de performeuse, ainsi que d’abus d’enfance qui n’ont pas été cité ici)… on se demande donc si le film ira jusqu’à montrer son échec final, ainsi que celui de sa fille de Bobbi Kristina.
Oui, et non… la mise en scène s’arrêtera avant le moment fatidique, d’une énorme tristesse, préférant revenir en arrière pour se souvenir d’un des instants les plus grandiose de sa carrière.
C’est un peu l’anti « Tina » : pas beaucoup de calvaire (on en a fait une « princesse » mais elle n’a jamais été vraiment en sécurité), pas de réinventions significatives, pas de réappropriation de sa vie, impossibilité de se canaliser toute seule, sans personne sur son dos (et avec l’aide relative de quelques proches).
Touchante, Naomi Ackie n’y récolte peut-être pas le rôle d’une vie, qui lui collerait à la peau pendant longtemps…
Signe que l’actrice a plus de chance de se réinventer un jour, elle.
_
Lu :
– Intégrales Flash Gordon de 1944 à 51…
Kang (!), Zin, méchantes rousses, et même « Tor et Loke ». Et les dessins superbes de Mac Raboy.
« Le Royaume »…
Après un court-métrage (« Confession »), Julien Colonna réalise un premier film s’inspirant à la fois du lien avec sa toute jeune fille, et de celui avec son propre père pendant sa jeunesse. Ce dernier, Jean-Jé Colonna, ayant été un parrain présumé du milieu corse.
C’est donc à une sorte de « Parrain » sur l’île qu’on va assister, dans lequel Vito et Michael Corleone seraient seuls au monde… Et on peut penser aussi au tout début des « Soprano, lorsque Tony suit son devoir de père en faisant faire le tour des futures universités à sa fille… et qui en parallèle va assassiner un témoin protégé qu’il a repéré par hasard, parce que ça aussi c’est son devoir (de chef).
Co-scénarisé par Jeanne Herry (petite trivia : on entend Cœur de rocker à la radio à un moment), le film commence avec quelques clichés tenaces sur la Corse – les accents traitants, les non-dits, et les sangliers – jusqu’à ce que une casquette enlevée dévoile les longs cheveux d’une adolescente, qui va dépecer une carcasse et prendre du sang sur son visage. Signe évident de la tragédie à venir.
Sinon tout semble bien se passer, avec les premiers flirts pendant les grandes vacances… puis la jeune fille est emmenée ailleurs en secret, sans son accord, mais pas de panique : elle va juste retrouver un père qu’elle ne voit pas assez souvent, les vacances continuent toujours.
Il y a juste cette étrange impression d’être devenue une servante, séquestrée dans un coin isolé et surtout entièrement entourée par que des hommes. Inquiétant pour une ado ?
Tout le monde reste pourtant affable, la considérant comme une mascotte. Même ce père au crâne rasé et à la grosse barbe, qui lui donnent un air de terroriste ou même de Barbe Bleue.
Bientôt les informations à la télé vont rendre compte de règlements de compte, des adversaires inconnus s’attaquant au clan du père, sans qu’on ne sache exactement ce qui se passe vraiment, puisque rien n’est jamais énoncé explicitement dans ce groupe. Et les vacances avec papounet de se transformer aussi en une cavale à deux, qui va leur permettre de créer des liens tangibles qui n’auraient peut-être jamais existé s’il n’y avait pas eu l’imminence de la mort.
Quelques scènes de violence (et même de visons oniriques) qui nous prennent régulièrement par surprise…
Un casting composé d’un tas de non-professionnels corses, comme de coutume, dont certaines superbes gueules qu’on commence de plus en plus à connaître (comme Anthony Morganti)…
Ghjuvanna Benedetti dans le rôle de la jeune Lesia, qui combine différents âges en une seule personne : adolescente dans le scénario, un corps également adulte (l’actrice a déjà 20 ans), mais enfantine avec sa petite voix et ses grands yeux qui observent tout ce qui se passe de louche aux alentours… une petite princesse pour son père (d’où le titre), le récit finissant par se focaliser sur lui dans le dernier tiers du film.
Et son interprète Saveriu Santucci (Incroyable !) de dévoiler des nuances inattendues, dont une scène de confession qui pose la question du cycle éternel de la vengeance… peut-il s’arrêter grâce à l’amour de ses proches ? Ou bien s’en nourrir ?
La réponse sera terrassante.
Décidément c’est une année cinématographique où les fictions en Corse, déjà très rafraîchissantes, trouvent un nouveau terrain de jeu narratif…
En se conjuguant aussi au féminin (« Borgo », « À son image »).
(Personne n’en parle dans ce bar)
La suite de la S2 de ARCANE :
énorme, la série enchaîne les moments épiques et cultes, les idées audacieuses, les moments touchants, avec une esthétique et une BO parfaite.
A chaque épisode j’ai envie de me le refaire, pour tout un tas de raisons et de moments.
Seul bémol, les intros de plusieurs épisodes utilisent un montage nerveux, ce qui fait un peu trop répétitif et rend ces début un peu désagréable à force. Mais bon, c’est vraiment pas grand chose comme défaut (et c’est mon avis).
Ps : ah si, autre »défaut » => ah non pas encore ! Déjà dans la S1 j’étais pas content, alors une 2e fois je suis colère ! 😢😉 (cf : la fin de l’épisode 6)
Sublime cet acte II. Pas mal d’échos au premier acte de la S1 qui est mon préféré, donc forcément ça allait me plaire !
Pour la fin de l’épisode 6, si j’ai bien compris à quoi tu fais référence, je pense que le teaser du prochain acte devrait te rassurer. ^^
Hâte de voir la conclusion de tout ça en tout cas. Et surtout hâte de découvrir vers quoi ils vont nous emmener avec les prochaines séries de cet univers.
Le premier acte de la S1 était ffectivement top et en même temps une ptite frustration pour moi, pck j’aurai justement voulu que le show s’y attarde plus 🙁 Donc je te comprends tout à fait.
Ah je ne souhaite pas regarder les teaser des actes suivants pour garder un max de surprise lors du visionnage, mais si toi et moi on parle bien de la même chose tu me rassure :D.
Mais si tu ne parle pas de la même chose j’ai peur d’avoir une fausse joie très dure pour mon petit coeur ce week-end 🙁 ^^
C’est dingue quand même cette saison 2 en terme d’intensité et de générosité niveau scène épique, culte, touchante, belles. Je me dis j’ai envie de revoir cet épisode pour telle chose, et puis je me rend compte qu’il y en a plein d’autres au sein d’un seul et même épisode.
Ils ont vraiment tout donné en sachant que ce serait la dernière saison. Quel kiffe !
Je m’excuse pour le pan du multivers dans lequel je t’ai fait un faux espoir ahah !
Perso j’ai été rassasié par l’acte I (S1), et mon manque venait surtout du passé. Il se trouve que l’acte II (S2) m’a régalé sur ce point. 🤩 Mais si j’aurais voulu en voir plus évidemment.
Je trouve à peine le temps de regarder mes trois épisodes hebdomadaires mais l’envie de tout revoir est bien là. Je pense me refaire toute la série quand la S2 sera terminée.
En tout cas quel plaisir de voir qu’ils s’arrêtent comme prévu à la S2 et qu’ils ne vont pas faire trainer le truc pour profiter du succès de la série. J’attends avec impatience l’annonce des prochains projets. Je veux voir des persos différents, dans des situations différentes, avec des enjeux différents, le tout traité avec autant de sérieux.
@Archer
XD
le pire c’est qu’en lisant une première fois ton msg j’ai cru que tu m’annonçais que tu m’avais bien fait une fausse joie, et puis je me suis rendu compte que pas forcément ^^ Je suis dans le flou total !! XD => Réponse demain !
Ah moi l’acte 1 de la S1 m’avait tellement plus dans l’écriture des persos, et j’avais tellement aimé Vander, et la version enfant de Vi et Powder, que la fin de l’épisode 3 m’avait légèrement frustré. Mais la suite avait été tellement réussie que ça donnait un bel équilibre (et une incroyable profondeur au récit et aux persos).
Idem pour l’acte 2 de la S2, et je pense qu’on en reverra un peu dans l’acte 3 (il y a une image de Vander et Silko avec qui tu sais à ses pieds, sur le pont, j’ai l’impression qu’il reste une étape à raconter/montrer)
Oui c’est frustrant 2 petites saisons, mais en même temps, comme tu dis, ça permet de proposer un contenu sans temps mort et d’une qualité exemplaire.
Oui j’ai beaucoup aimé et aussi le cœur serré que ça se termine ce WE.
Tous les actes se sont terminés en tragédie. J’espère que la conclusion aura un petit happy ending après tout ce que ces personnages ont subi.
Généralement dans les adaptations de jeux vidéos, les personnages jouables ne meurent pas, là, je ne suis sûr de rien… je ne connais pas LoL aussi…
Je ne sais pas si je dois détester ou avoir pitié de Cait 😅 Pitié parce qu’elle pouvait être facilement manipulable dans cette période de deuil.
Oui je suis deg que ce soit déjà la fin, mais c’est fou de voir comment ils ont su rendre une série culte en 2 petites saisons. Assez incroyable
Je me suis aussi fait cette réflexion concernant la tragédie presque inexorable pour ces persos, surtout lors du fameux plan presque utopique juste avant que tout reparte en cacahuète à la fin. Tu te dis, non mais il n’arriverons jamais à connaitre le vrai bonheur.
Pour Cait, moi qui avait aimé son évolution à la fin de l »ép 3, je suis un peu déçu de ce revirement (presque trop facile) dans cet ép 6. Je trouvais ça plus original qu’elle prenne la tournure du 3 et d’oser aller jusqu’au bout de cette idée. ça aurait été plus stylé selon moi.
SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS SPOILERS
Ils nous ont donné l’espoir et nous l’ont arraché en une poignée de secondes ces sadiques ! 😂
Perso je mise sur une fin ni happy end ni full tragédie. Je vois les persos du jeu partir chacun de leur côté, avec un mood pas forcément très joyeux mais déterminés à continuer leur route. Verdict dans deux jours !
@Blackbolt
Clairement, c’est comme si Caitlyn avait un interrupteur evil/good mode. J’avais ressenti la même chose
@Archer & Blackbolt
Franchement, j’espère qu’il y aura un minimum d’espoir parce que en quelques jours, j’ai vu que des trucs de dépressifs : la fin d’une série KR qui se termine mal, un ep de Vinland où il ne se passe un truc pas joyeux, l’épisode 7 de DandaDan, la fin de l’acte 2 d’Arcane.
Si ça se finit sur un ton dramatique, je me mets à Dora l’exploratrice. Et c’est là qu’il y aura un épisode où son village brûle, elle perd une jambe et devient SDF…
Spoil S2E6 d’Arcane
Sérieusement, quand Jinx a commencé à raconter ce que la petite représentait pour elle, je me suis dit : Aaaaaaah… C’est foutu… et tous les 4 souriaient un peu trop aux yeux du showrunner (sûrement)
SPOIL SPOIL SPOIL
Clairement le bref plan du rassemblement familial, j’y vois un msg (à peine caché) fataliste des scénaristes.
Vu la série je ne pense pas qu’il y aura un happy end, ou ptete la nation de zone mise en place avec les persos principaux à la tête (mais pas tous :s:s:s)
Je ne connais pas LOL, et je suis très content pck je découvre tout avec la série (sauf Warwick que je me suis spoilé à la fin de la S1 => bien dommage pck la révélation à la fin de l’ep 5 est juste parfait, et cette voix… « Powder ? »)
ps : on est d’accord que l’un des moments les plus kiffant de la série c’est « Je T’INTERDIS de toucher à ma fille ! » ? 😀
SPOIL SPOIL SPOIL de nez
😂 nan mais c’est ça pour le plan en question. C’est comme si les scénaristes tendaient une sucette à un enfant « vous avez vu comment ils ont l’air heureux, c’est bien hein ? » puis la retirent.
Nah serieux, je me répète mais j’ai eu mon lot de dépression en matière de série là
Pareil, je suis content de ne pas connaître le jeu donc je découvre tout enfin presque tout. Après la S1, j’ai lu certaines fiches de persos et je me suis spoilé sans faire exprès. Comme pour toi, Warwick par exemple 😑 ou que Vi allait rejoindre les forces de l’ordre… j’aurais voulu découvrir ça dans la série… il manque encore quelques petits trucs mais je ne sais pas si la série va respecter tout le lore. On aura la réponse demain.
Mhhhhh… je préfère le moment précédent que tu as cité, l’épisode qui se termine par « Powder ? »
Si je me souviens bien du tout 1er acte, Vander préférait Violet, en tout cas il était plus proche d’elle que de Powder. Le fait que ce soit ces 2-là qui se retrouvent (Warwick et Jinx), et vu comment s’est terminé l’acte 1, ce moment signifie beaucoup pour moi; surtout comment se déroulent après les événements.
Je ne l’accepte pas et mon cœur reste fermé.
La semaine prochaine, il y aura le 4e acte d’Arcane et dans 3 ans, la 3e saison.
Non c’est terminé.
La suite par Fortiche concernera d’autres personnages de lol sans lien avec ceux-ci et portera un autre titre
Ok on a un Jean premier degré ici xD
merci de ton analyse, Captain Obvious
C’était effectivement obvious, mais visiblement pas pour toi.
Ha penser mieux que les autres et à leur place.
Donc j’avais bien compris le déni excessif du » c’était trop bon et je ne veux pas que ça s’arrête »
Et je réponds par mon » comme c’était très bon, il est mieux que ça s’arrête pour proposer différent car lorsqu’on frise la perfection mieux vaut se tourner vers quelque chose de différent plutôt que persister dans la même direction au risque de nuire au déjà fait. »
Surtout qu’en temps que joueur de lol, je sais qu’il y a beaucoup de choses d’aussi excellent en stock.
Je sais pas ce que tu prends mais ça doit être du lourd. 😆
Tu peux tenter de broder tant que tu veux autour de ton message original pour essayer de lui donner un sens qu’il n’avait pas, mais ça ne trompera pas grand monde je pense.
Bon ben Arcane est une masterclass de A à Z. Epoustouflant sur tous les plans. Un joyau rare que je ne manquerai pas de me remettre régulièrement.
Maintenant je vois que pour ce qui est des prochains projets ça commence à parler de séries live-action et d’expérimenter d’autres mediums qui coûteraient moins cher à produire…
https://gamerant.com/arcane-sequel-riot-future-plans-revealed/
Ouais… Mes ardeurs sont soudainement refroidies. 😑 On verra bien ce qu’ils proposent mais n’ayant aucun attachement à l’univers de LoL si on ne retrouve pas la patte Arcane je ne vais probablement pas suivre. Wait and see…
Rectification : c’est une masterclass de A à J ou K étant donné qu’il reste encore 3 saisons… 😐 … Quoi ?
Hormis le ton de la blague, je suis réellement dégouté que ça soit fini. Même si je m’étais préparé, je ne pensais pas que ça allait créer un tel manque. Toute la semaine, j’avais prévu de recommencer aujourd’hui, mais le coeur n’y est pas du tout, je ne digère toujours pas que ça soit fini.
Je comprends qu’ils prévoient d’économiser pour les prochaines prods étant les thérapies qu’ils vont devoir payer aux téléspectateurs 🤷🏻♂️
Ahah ! Moi ça me va bien qu’on s’arrête là. Je suis très satisfait de ce que j’ai vu, je prendrai plaisir à revoir ça de temps en temps et ça nous évite de passer par la case inévitable de l’essoufflement s’ils avaient continué plus longtemps que prévu.
Maintenant je vais attendre patiemment la prochaine perle qui viendra tutoyer le niveau d’Arcane. 🙂
Arcane saison 2 : bon, très bon mais on est pas dans la perfection de la première saison. Un côté trop surenchère tant dans les intrigues que les combats (trop bourrins parfois à mon goût)
Au global sur les deux saisons, c’est pour moi la révélation série des années 2020. Animation incroyable, un nouvel univers passionnant qui se fait sa place au panthéon du steampunk, des personnages forts et marquants, de très belles intrigues.