Le bar de Galactus #315 : Mercredi ~ Evanouis ~ Freaky Friday 2

11

Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Les étoiles sont alignées pour une très grosse année du côté de Netflix… Après Squid Game et avant Stranger Things, voici donc le retour de Mercredi ! Comme il se doit, la saison 2 débarquera mercredi sur la plateforme de streaming, avec un méchant twist : comme The Sandman le mois dernier, ce n’est que la ‘Partie 1’ qui sera disponible (4 épisodes). Pour la suite, il faudra attendre le 3 septembre (4 épisodes). Au cinéma, deux propositions très différentes sont au programme, accompagnées de critiques dithyrambiques. D’un côté, notre Surfeuse d’Argent – Julia Garner – sera plongée dans un mystère horrifique où elle donnera la réplique à Thanos, Wong et Ezekiel Stane (Evanouis). De l’autre, Jamie Lee Curtis et Lindsay Lohan réanimeront un sous-genre cinématographique qui ne manque jamais de divertir, le ‘body swap movie’ (Freaky Friday 2 : Encore dans la peau de ma mère). Alors, de quoi sera fait votre vu/lu/bu en ces premiers jours d’août ? A vos claviers et très belle semaine à tous !

Mercredi Addams revient rôder dans les couloirs gothiques de la Nevermore Academy, où de nouveaux ennemis et malheurs l’attendent. Cette saison, Mercredi doit affronter famille, amis et anciens adversaires, la propulsant dans une nouvelle année de chaos délicieusement sombre et loufoque. Forte de son humour acéré et de son charme pince-sans-rire, Mercredi est également plongée dans un nouveau mystère surnaturel à glacer le sang.

11 COMMENTAIRES

  1. Clair obscur : Très belle découverte, et pourtant je ne suis pas un adepte de ce type de jeu. Tout a été dit dessus je ne vais pas en rajouter.

    J’ai essayé de le platiner, malheureusement, je crains ne pas pouvoir y arriver… sans spoiler, le boss secret ultime a une difficulté trop abusée… c’est au dessus de mes forces…

    Si des améliorations étaient demandés, je dirais d’ajouter des informations de progression sur chaque zone de la carte. Plus d’une fois, je me demandais si je suis déjà allé sur telle zone, d’y avoir tout fait ou tout récupéré…

    • Pour Clair Obscur et le boss secret ultime je te conseille d’opter pour une stratégie qui consiste à utiliser des persos et des pictos qui vont buffer ton perso qui infligera max de dégât. J’ai testé une dizaine de combinaisons avant de trouver la bonne.

      ******SPOILERS*********

      Concrètement, il faut privilégier le fait de faire de gros dégâts le plus de fois possible, et le plus rapidement possible, car le boss t’efface du combat à un moment donné, donc il faut que sa barre de vie s’enlève assez vite.
      Je l’ai battu en utilisant les picto Seconde Vie et Attaque prio comme ça quand tu respawn, tu attaque en priorité et tu laisse pas le boss prendre un tour. Ensuite évidemment le picto attaque 2x. Et la stratégie c’était d’utiliser les buff de Sciel sur Maëlle. J’ai utilisé les cartes de Sciel pour augmenter l’attaque de Maëlle et la carte aussi pour la faire jouer en priorité comme ça tu laisse pas jouer le boss une fois de plus. Ensuite, Maëlle bien buffée, en virtuose tout de suite avec son arme, peut infliger un max de dégat avec Stendhal, et aussi le Gradiant 3 qui est atomique.
      Y a d’autre stratégies comme le picto suicide qui buff tes aliés restant au combat. A toi de tester 😉

      ******SPOILERS*********

      • Ok j’essaierai. Parce que les combos de 12 coups frénétiques qui te one shot en un coup après avoir passé la 1ère phase à évité d’être effacé… c’est démotivant…

        • Ahaha il m’a donné du fil a retordre celui ci. Le only parade, ce fut un torture. Je sais pas combien de try j’ai fait. Mais une belle quantité.

  2. Mercredi j’ai tellement hâte ! J’me suis refait la saison 1 ce week end 🙂

    Evanouis et Y a t’il un flic pour sauver le monde me disent bien aussi.

  3. Pugsley a pris 20cm, Mercredi a pris 20 ans. Faut voir cette saison 2 dans la première tous les personnages secondaires etaient plus interessant à découvrir que Mercredi, le perso etant plus antipathique que caustique.

  4. Mercredi, un flic va s’évanouir – précisons que Neeson était aussi bien drôle dans « L’Agence Tout risques », « Albert à l’Ouest », et dans son caméo pour « Anchorman 2 ».

    Vu – toujours ces séries AMC, toujours dans l’ombre de HBO :

    – « Mad Men »…
    Après une saison 2 qui aurait pu être une bonne conclusion apocalyptique – il suffisait de tordre l’Histoire – puis une troisième qui brise tout pour mieux se reconstruire autrement, voilà la quatrième… et les erreurs d’autrefois prêtes à être refaites ?
    _

    – Suite des adaptations DC/Vertigo…
    Fin de la série « Preacher »…

    À la base, une série comics polardo-religieuse iconoclaste de Garth Ennis et Steve Dillon, qui reste un produit typique des années 90. Et pas seulement dans son look, sa Tulip qui a la tête de Kathleen Wilhoite, son vampire pré Spike de « Buffy »…
    Car c’était aussi l’époque de la brève renaissance au Cinéma d’un sous-genre du Road-movie, celui des amants criminels en fuite… De « Sailor et Lula » à « Kalifornia » en passant par le doublé Tarantinesque (au scénario), « True Romance » et « Tueurs Nés », lesquels seront peut-être la meilleure inspiration d’une série qui va loin dans la provoc’… mais dont certaines idées ne fonctionnent plus aussi bien dans les années 2010.
    Mais n’oublions pas qu’à cette époque il y a eu, toujours dans la foulée de Tarantino, l’émergence d’un cinéma aussi bavard et avide de Pop Culture que le sien, reposant plus sur la glande… celui de Kevin Smith.
    Les personnages des comics d’origine passant autant de temps à parler de tout et de rien qu’à se retrouver dans des situations absurdes, quoi de mieux pour les producteurs Seth Rogen et Evan Goldberg, dont le cinéma repose beaucoup sur de la Bromance. Des mecs qui stagnent en fumant et rigolant, ayant peurs de s’engager avec les filles (surtout s’ils convoitent la même) et à qui il faut de réguliers coups de pieds aux fesses – mais seulement parce que le reste de l’histoire est traitée à l’économie, financièrement parlant.
    On retrouve cela dans la fabrication de cette série foutraque et blasphématoire, le showrunner Sam Catlin (ex de « Breaking Bad ») décidant que chaque saison se concentrera sur un lieu des aventures de Jesse Custer, Tulip O’Hare et l’irlandais Cassidy, ne se contentant pas d’en faire de simples étapes dans leur odyssée dégénérée…

    – Saison 1 :
    C’est ainsi qu’en commençant la série à Annville, au lieu de vite l’éjecter comme dans les comics, lui laissant le temps de vivre, avec tous ses habitants pittoresques, la rendant plus attachante et accentuant alors l’impact final.
    Diluant le périple initiateur de Custer sur 10 épisodes, on permet alors de le voir vraiment mieux en prêcheur, jusqu’à en faire l’héritier de son père, ainsi que prendre le temps de tester le pouvoir de Genesis, l’hybride angelo-démoniaque qui pourrait bien le corrompre – quand on a la possibilité de faire faire tout ce qu’on veut à n’importe qui…
    Et si sa relation avec Tulip y est renforcée en en faisant des amis d’enfance, leur réunion (et celle avec Cassidy) se fait plus naturellement, avec plusieurs concours de circonstances plutôt que grâce à des hasards trop providentiels.
    Quand à la ville elle-même, si on pourrait penser à un équivalent de « Twin Peaks » à cause du côté mystérieux ou chtarbé de certains de ses habitants au moment où on les découvre… c’est bien à un remake live des « Simpson » (grande influence pour Rogen) qu’on assiste. L’inclusion du personnage de Odin Quincannon, arrivant bien plus tard dans les comics, permet d’avoir un pur Monsieur Burns, et on aura même une espèce de Homer Simpson et sa centrale, ou bien des mascottes antagonistes…

    Mais plusieurs de ces éléments sont aussi disséminés tout au long de la saison sans qu’on ne comprenne tout de suite leur importance pour la fin. Une des raisons qui font que la série prendra un malin plaisir à nous faire ronger notre frein, en tournant tout le temps en rond plutôt qu’en avançant en ligne droite, en piochant tels quels des éléments des comics ou bien pour les mettre à leur sauce (la technologie divine), et faisant trop de teasings, y compris pour ce qui ne sera développé qu’à partir des saisons 2 et 3…
    Et en nous gardant éveillé grâce à la dynamique entre les acteurs principaux – un Dominic Cooper, plus boudeur et jeunot que son modèle, une Ruth Negga continuellement rentre-dedans, et Joseph Gilgun en flamboyante troisième roue du carrosse… même s’ils vont passer leur temps à se séparer/remettre ensemble pendant toute la série.
    Aussi grâce à une bonne dose de gore jouissif, dont une explosion de Tom Cruise, gag récurrent et prescient (dans l’espace)…
    Un générique très accrocheur (avec une variation instrumentale à chaque fois)… Ainsi que des scènes d’action souvent sur de la bonne BO, en partie en plans-séquences, parmi les premières à rebondir sur le style John Wick, quitte à transformer les héros en super experts (ce ne sont pourtant que des braqueurs/escrocs, et pourtant ils sont multitâches). Certaines utilisant le contexte Surnaturel pour créer des instants très originaux – les résurrections des anges, où s’empilent les cadavres dans une chambre d’hôtel.

    Puis, quand on assistera à une mascarade, typique de l’Americana, et que la folie sera totale, on en viendra même à plaindre le sort de certaines ordures.
    Et à ce moment-là, le road movie commencera enfin, avec sa recherche de Dieu plus concrète que métaphorique… une promesse qui ne changera pas du tout le fonctionnement de la série.

    – Saison 2 :
    Malgré une entame explosive avec le Terminator de service de la série (purée, toute la saison précédente pour raconter les origines du Saint des tueurs !), une dose d’ironie cruelle reposant sur le hors-champ – la série utilise aussi très bien les arrière-plans (le gag du combat sur les écrans de surveillance au strip club), et un joli épisode d’adieux à Las Vegas… la série va retomber dans ses travers stagnants, peut-être même en pire – 13 épisodes, dont une bonne partie dans une chambre d’hôtel miteuse, c’est trop.
    Avec quelques facilités, par exemple en faisant du Méta bon marché : Paul Ben-Victor joue un mafieux nommé Viktor (son évolution reste surprenante)…
    Noah Taylor reprend le rôle de Adolf Hitler qu’il jouait (jeune) dans le film « Max », mais bascule alors dans la pantalonnade sans y trouver la même subtilité qu’avant – là on sent plus les producteurs d’origine juive qui veulent s’amuser avec cette opportunité, plus qu’avec la religion chrétienne (ce qui est forcément différent d’un irlandais catholique comme Garth Ennis)…
    Mark Harelik dans son propre rôle mais aussi en Dieu, mon aussi avec un jeu de mot God/Dog – pourquoi se compliquer la vie ?..

    Et surtout, une excuse un peu bidon : le Tout Puissant aime le Jazz, donc faut forcément aller à la Nouvelle Orléans… qu’on ne verra pas suffisamment, au tant pour le dépaysement et l’atmosphère.
    Bref les héros ne vont pas bien loin, Jesse jouant sa partition habituelle de mauvais ami (on connait déjà les raisons de sa culpabilité), toujours à la limite d’être corrompu par son pouvoir… Tulip trépignant, bonne poire alors qu’elle reste plus dégourdie que les autres… Et Cassidy repoussant à perpétuité la sort du personnage de Dennis (alors que tous les spectateurs doivent s’en douter).
    Quant aux scènes en Enfer, ici en mode « centre de réhabilitation », elles représentent un autre huis-clos centré sur le candide Eugene (et toujours avec de la « technologie surnaturelle »), et l’organisation du Graal prend ses quartiers pour longtemps, avec un Herr Starr plus british que teuton.

    Alors qu’un triangle amoureux se met en place, voilà qu’un coup de théâtre pousse la série dans une nouvelle direction… plus excitante.

    – Saison 3 :
    Adapter l’arc narratif se passant à Angelville va faire du bien à la série, même en prenant encore trop son temps… Car en confrontant Jesse à sa famille du côté de sa mère, et en montrant de quoi a été composée son adolescence (terrible), il y a une dimension personnelle qui repose sur un mélange d’attachement et de répulsion. Custer est aussi un L’angelle, donc un salaud qui s’y entend pour plumer les gens et être complice de crimes insoutenables.
    Par rapport aux comics, chez qui c’était la foire aux ploucs monstrueux, le clan (ici affublé de quelques capacités surnaturelles) est plus crédible, capable même d’être touchant – la Mémé est bien plus coriace, Jody plus épais, T.C. moins priapique, mais tous sont loin d’être des caricatures.

    Le résultat fait que Tulip est un chouia mise à l’écart par rapport à Jesse (elle pourra néanmoins tirer son épingle du jeu dans plusieurs scènes d’action), et que Cassidy aura l’arc narratif de Eccarius à se mettre sous la dent pour ne pas faire trop tapisserie…
    Parce que la série piétine encore – le Saint qui manque d’efficacité avant le dernier épisode, les interminables scènes dans le bus pour l’Enfer ou avec les vampires, et autres teasings de l’arc Crusaders des comics.

    Mais l’évolution du Graal, aussi grotesque que dans les comics, sera un joli réservoir à gags, que ce soit le duo très Montypythonnesque entre Starr (de plus en plus décalé) et le Haut-Père (pas très bien costumé), le pitoyable Hoover et la garce Featherstone.
    Et surtout la série établie peut-être plus clairement son ambition : parler de la dévotion, qu’elle soit amicale mais aussi familiale ou religieuse. Et se demander si ça vaut vraiment la peine (d’être damné). D’où un dernier acte colérique, mais à décharge de Jesse sa mémé restait très dangereuse rien qu’en étant encore en vie – et puis il y avait toutes ses âmes à délivrer.

    Et enfin, il sera temps de raccorder aux comics, pour une dernière virée sanglante.

    – Saison 4 :
    « On tourne en rond, merde, on tourne en rond, merde, on tourne en rond, merde ! »
    Décidément les saisons paires de « Preacher » sont les moins bien conçues, tout en ayant plus de moyens… C’est seulement qu’ils les utilisent mal, et le fait de tourner toute cette partie en Australie n’empêche pas d’y distinguer de grosses ficelles. Car si ses routes désertiques serviront à figurer le Moyen-Orient, le méga QG de Massada reste juste une grosse montagne, avec deux-trois pièces un peu moins moches, remplie de fonctionnaires décidément très idiots (des fanatiques quoi)… et où on passe le premier tiers de la saison à foirer une évasion plein de fois – notamment par trouille. Avant d’y revenir une ultime fois, sans qu’on ait le massacre jouissif auquel on devait s’attendre.
    Ni sans aller se frotter aux religions du coin (à part une scène avec un bédouin, la prod ne cherche pas les emmerdes). Idem quand le reste de l’intrigue implique une virée des héros en Australie, sans pour autant explorer le côté mystique aborigène, ce qui est un grand gâchis, et le signe d’une obligation de rentabilité – passant beaucoup de temps dans les villes, ils en sont quitte pour un spot de l’offre du tourisme.

    Le scénario a aussi trop d’avance sur les personnages – les machinations de Dieu, grand vilain en chef, ou l’apparition des parents de Genesis…
    Ne renouvelle plus son casting, quitte à sur utiliser certains – trop de Humperdoo (est-ce qu’il n’aurait pas mieux valu un vrai comédien handicapé ?), Jésus et Hitler présents surtout pour un combat anthologique…
    Un peu de facilité à voir Starr se transformer en Trump invincible, mais après avoir vécu un calvaire à la Job on s’est bien attaché à Pip Torrens, sorte de néo John Cleese à l’abnégation totale…
    Toujours du fan service qui sert de remplissage (la partie Jésus de Sade insérée vite fait, la trahison de l’un des trois), où qui n’est même pas exploité (la couleur de cheveux de Cassidy, résultat d’une morsure ?)…
    Pris par le temps (10 épisodes un peu plus courts, sauf le dernier), la série cravache comme elle peut, perd un peu en pertinence, s’amuse avec sa mise en scène souvent en vain – il y a quand-même une super baston au milieu, consciente de l’artificialité de son plan séquence.
    Mais Dominic Cooper, Ruth Negga et Joseph Gilgun donnent tout ce qu’ils ont, on réussit encore à s’accrocher grâce à eux alors que leur âme est de plus en plus en peine (surtout Gilgun, meilleur pote à vie).

    Et quand viendra l’heure des comptes, bien brutale (mais pas pour tous), ceux-ci seront trop prévisibles même pour qui n’a pas lu les comics.
    Ainsi le long épilogue a moins de force la faute à une série ayant un rythme trop erratique, même si c’était aussi une volonté de se marrer en voulant tout le temps nous prendre par surprise.
    Toutefois la dernière séquence, malgré une incohérence (une date de naissance ne colle pas), quelques questions en suspens (est-ce peut-être sa fille ?), un parti-pris casse-gueule et trop roublard (une autre actrice aurait suffit), suffit à rallumer une émotion qui était trop souvent étouffée par la comédie potache trash.
    Il suffit du jeu subtil de Joseph Gilgun, de la déchirante chanson Sweet Thing de l’irlandais Van Morrison, d’une des plus belles utilisation de l’arrière-plan qu’ait eu cette série, et là les larmes viennent automatiquement.
    Résultat honorable…

    En bref, ils vont nous manquer ces cons là.
    _

    Lu :

    – Les Vengeurs oublient un instant d’être rentre-dedans.
    Et ceux à vestes dégagent vite fait, après une poignée d’adversaires moyens…

    – Les X-Men continuent de se chercher, mais c’est avec leurs meilleurs leaders qu’on a les histoires les plus palpitantes, entre un Xavier contrôlant son destin de martyr (ce qui reste de la sale manipulation, même s’il est dédouané de ses pires crimes), un Scott qui n’a plus une once de patience pour les idiots, et une Ororo encore plus impériale…

    – Les Ghost Riders suivent des quêtes qui devraient normalement les rassembler à un moment donné…

    – Du Moon Knight au Présent, au Futur (potentiel) et hors continuité (Manga !?).

    – Début de Wolverine : Vengeance…
    Histoire alternative donc.

  5. Pourquoi je vois la date de sortie pour Y’a-t-il un Flic pour sauver le monde au 13 et non au 06 sur Allocine, les bandes annonces et d’autre site mais sur Google et certains site c’est bien au 06 ? 🤔

    [EDIT LTH : C’est effectivement le 13, je corrige.]

  6. Pas grand chose de neuf de mon côté. Du Dexter Resurrection, du Warrior saison 1 (avec un excellent épisode en mode western), j’ai quasiment abandonné Death Stranding à cause de son interface imbuvable. Comme j’adore Hideo Kojima, je pense que je me contenterais d’un Let’s Play sur Youtube pour suivre l’histoire qui s’avère passionnante tout de même.

    Sinon, Dan da dan, toujours aussi bon, testé le sympathique mais peu original Tougen Anki.

    Et niveau jeu, je me suis mis à Split Fiction avec ma femme aujourd’hui et c’est une pépite. C’est dingue comment certains petits studios arrivent à faire tellement mieux que les gros. Si seulement ça pouvait être le cas au cinéma.
    Ah et demain, je vais revoir Superman. Est-ce que je vais autant kiffer ou est-ce- que je serais plus critique au deuxième visionnage? Comme dit Benj’, on s’attache souvent bien plus aux défauts au deuxième visionnage.

  7. Netflix qui nous la fait de plus en plus régulièrement le coup de la série divisée en deux, une partie chaque mois….et puis bientôt un épisode par semaine pour les grosses séries genre à la Amazon ou Apple ??

Répondre à box office story Annuler la réponse

Please enter your comment!
Please enter your name here