
Le plus intéressant reste la discussion autour du relief. L’ajout de la 3D aurait coûté 30 millions ; 30% relève de la post-conversion, 70% de l’utilisation de caméras spéciales, mais d’après Cameron la différence est indiscernable ; Michael Bay a été obligé d’adapter sa façon de filmer, en tournant moins rapidement, avec une réalisation plus posée, ce qui se traduirait à l’écran, selon les échos, par des scènes d’action plus lisibles. J’ai toujours trouvé aberrant de dire « Je n’arrive pas à suivre les Transformers, ça va trop vite, on ne comprend pas l’action. », mais apparemment, c’est le cas d’une partie du public (ou seulement des critiques ?). L’équipe qui travaille sur la 3D de Transformers est la même que celle d’Avatar, d’où la présence de Cameron : l’opus final de la trilogie est donc entre de bonnes mains, et les réactions sont enthousiastes. Oui, avec Transformers 3, écrire les mots « enthousiasme » et « 3D » dans la même phrase, c’est possible !