Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !
Noël, la période du Solstice d’Hiver… et de la Conjonction des Sphères ! Netflix vient de mettre en ligne l’intégralité de The Witcher : Blood Origin, le spin-off de The Witcher qui se déroule un millénaire avant les ‘F***’ et les ‘Hmmm’ de Geralt de Riv. Sur le papier, cela ressemble à de l’heroic fantasy lambda qui fait pâle figure face aux autres préquelles du moment – House of the Dragon et Les Anneaux de Pouvoir -, mais à défaut de rassurer après le départ annoncé de Henry Cavill, le format mini-série en quatre épisodes a de quoi intriguer (ft. Bear McCreary à la musique). On signalera également la sortie mercredi de M3gan, ou comment quelques pas de danse ont permis de créer du buzz à moindres frais (#Wednesday). Enfin et surtout… j’espère que vous avez passé d’agréables fêtes, partie 1. Par le plus grand des hasards, le Père Noël a-t-il déposé des comics au pied de votre sapin ?
Se déroulant à l’ère elfique, 1 200 ans avant l’arrivée de Geralt de Riv, Yennefer et Ciri, The Witcher : L’héritage du sang raconte l’histoire de sept guerriers bannis qui s’unissent contre un empire invincible. Bien qu’issus de clans ennemis, Éile et Fjall doivent apprendre à se faire confiance s’ils veulent espérer mener à bien leur quête et renverser les oppresseurs du Continent. Mais lorsque des portails vers d’autres mondes s’ouvrent et qu’un sage avide de pouvoir libère une nouvelle arme, les sept guerriers réalisent qu’ils vont devoir créer un monstre pour en anéantir un autre…
📚 On attaque la suite de la trilogie Padmé avec Le péril de la reine, alias le roman qui permet de distinguer Sabé, Cordé, Eirtaé, Saché, Rabé et Yané ! (Le tome 3 sort en août) #StarWars 📚
Merci @PocketImaginair pour cet exemplaire ! 🚀
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— Les Toiles Héroïques (@ToilesHeroiques) December 26, 2022
Les notes de Blood Origin ça fait peur:
– Rotten Tomatoes 38% critiques/8% public
– Ecran Large 0,5/5
Déjà que je suis pas fan de la série originale 😂
J’allais le dire! A un moment donné, il va falloir qu’Hollywood et dans le cas présent, Netflix, arrête de prendre des licences connues et aimées des fans pour en faire un truc cringe et gavée d’idéologies tout en crachant sur le matériel d’origine.
Les résultats de Netflix sont catastrophiques, les mecs ont été obligés de rembourser les publicitaires sur leur offre payante, et annoncent supprimer le partage de compte début 2023.
Ils s’accrochent aux branches mais ne voient pas une des grosses raisons de leur échec.
https://www.forbes.com/sites/paultassi/2022/12/26/the-witcher-blood-origin-has-netflixs-worst-audience-scores-of-all-time/?sh=7331f38b12f0
Et ça continue à descendre. 7% maintenant… 🤣🤣🤣
Si un magazine financier et sérieux comme Forbes s’y met, Netflix va vraiment être dans la panade, son action va probablement chuter.
Vu ce week end: Alice in Borderland saison 2.
Vraiment sympa ! Dans la lignée de la saison 1. Parfois qq longueurs inutiles (alors qu’il n’y a que 8 épisodes), une fin (explication) un poil décevante qd même (pour ma part) mais les premiers épisodes sont plutôt cool !!
Vu également: Black Adam. Je vais éviter d’en rajouter mais je l’ai trouvé très mauvais ! Sauf Dr Fate et l’apparition de Cavill, tout le reste est a jeter. Entre le « jeu d’acteur » de The Rock, le méchant nul, les 2 side kicks inutiles, l’utilisation de ralenti a outrance, les FX (souvent) la fin entre les 14 habitants et l’armée des morts, etc … j’ai bien fait de ne pas être allé au ciné. Entre Thor 4 et celui, je me demande lequel décroche le « film de SH le plus nul de cette année » 😛
Witcher Blood Origin pffff tout est naze. le jeu d’acteur, la mise en scène, les décors sont passables mais vraiment pas diversifiés. Le scénar est vraiment aux fraises y’a que Michelle Yeoh qui relève un poil le truc par sa prestance mais en tant que fan des livres je suis mortifié. 2 persos en particulier m’ont déçu d’une force impressionnante (je vais pas dire qui pour le spoil). Même les chansons sont horribles. On a trainé l’oeuvre de Sapkowsky dans la boue et craché à la face des fans en prime. Merci Cavill d’avoir quitté cette franchise commerciale pourrie. Hâte que CD Projekt nous face oublier ça avec les prochains jeux
J’attends beaucoup de M3gan auquel j’ai tout de suite accroché. J’adore Wan, et j’espère que la bande-annonce est trompeuse et n’en révèle pas trop. Vu mon intérêt pour tout ce qui concerne l’I.A. et les robots, c’est exactement le type de film que j’ai envie de voir. Je sais à peu près comment on apprend à un robot à faire tout ça, et je peux vous dire que ce n’est pas que de la SF. C’est juste qu’on n’en est pas encore à une IA qui se reprogrammerait elle-même et deviendrait autonome. Je ne sais pas si c’est possible, et ça n’est clairement pas souhaitable. Une certaine autonomie me semble toutefois possible dans le cadre d’une programmation qui l’amènerait à prendre des décisions au cours de son évolution dans un environnement donné, ce qui est le cas de M3gan. On appelle ça « apprentissage par renforcement » et ça marche terriblement bien. Bref, ce film est pour moi ! 🙂
Pas très convaincu par ce trailer, sa musique, ses clichés et ses FX. Tu nous diras ce que tu en as pensé!
@ Garyus : J’avoue avoir quelques peurs. Je trouve ça très convenu moi aussi…
@ Garyus (and those who might be interested) : Je relisais les quelques mots que nous avions échangé sur M3gan. Juste te dire que j’ai posté ma review sur un autre Bar de Galactus, à cette adresse-ci :
http://lestoilesheroiques.fr/2023/01/le-bar-de-galactus-182-the-last-of-us.html
Je ne sais si tu l’avais vu.
Vu la saison 2 de Alice in the borderland. Qui fait plus allure de partie 2 de la première saison. Très bonne avec une conclusion de la série très satisfaisante.
Après avoir enchainé multiples déceptions personnelles avec Thor 4, She Hulk, GoW4, Wakanda 4ever, Alice in Borderland S2, qui me font vraiment questionner si je suis devenu bien trop exigeant ou trop vieux et con.
Je finis l’année en beauté sur un roman (j’en lis 1 par an) sans prétention, qui m’a valut des engueulades par ma compagne de matelas parce que je rigolais comme un âne à 2h du mat’.
Si vous aimez vous bidonner sur des thèmes aisés et rudimentaires à l’égal de: « bon il va la gérer cette bonnasse au gros tarpé ou pas? »; Je recommande « L’amour c’est surcoté ».
Le Père Noël a déposé quelques comics sous mon sapin cette année :
-Superman – up in the Sky
– Fantastic Four: Full Circle
– Fantastic Four : Life Story
– Marvel Dark Ages
En espérant que les fêtes se passent bien pour toi Boss (et joyeuses fêtes à toute la communauté également)
Tu pourras nous dire ce que vaut dark ages stp? (je me tâte à le prendre)
Vu :
– Duvivier, toujours…
Des œuvres dont la qualité narrative n’a fait que croître, avec plaisir des sens même (la charge féroce de « Panique », la toile du Destin de « Sous le ciel de Paris », les futurs nouveaux capitalistes libérés de « Pot-Bouille », la désintégration d’un certain machisme dans « La Femme et le Pantin »…).
Avec notamment la présence d’un opus incroyable, « Marianne de ma jeunesse ».
Il y a du « Peter Ibbetson » dans ce film, c’est à dire du Romantisme onirique absolument terrassant. Mais c’est peut-être plus du côté de « La Fête à Henriette » du même Duvivier qu’il faut chercher, le côté Méta en moins. Car il s’agit là aussi d’un film traitant du pouvoir de la narration, et de la croyance qui devient plus forte que la raison, jusqu’à la supplanter dès lors qu’on a choisi quelle histoire l’on va préférer vivre..
Tout ça dans un récit de passage à l’âge adulte, en forme de conte, et où peuvent se lier les mythes grecs (Oedipe, le Styx, Cerbère, Ondine etc) mais aussi modernes (Dracula) en passant par la Bible (Dieu le Père), en une harmonie incroyable.
De plus, non seulement il utilise à foison les doubles (deux jeunes hommes centraux, deux paires de chiens, deux jeunes filles blondes), mais ce film est également doublé puisque une version allemande a simultanément été tournée, gardant en commun son actrice principale. Encore entre deux mondes.
– Du plaisir à avoir revu « Astérix – Le Domaine des dieux »…
L’arme fatale de ce film, c’est le fait qu’il embrasse complètement un style énergique et même hollywoodien (avec un focus sur une petite famille romaine ordinaire, dont on suit aussi les péripéties), quitte à laisser de côté les habituels calembours anachroniques de Goscinny et Uderzo. L’absence de la culte réplique « Il ne faut jamais parler sèchement à un Numide » est assez représentative du parti pris de Astier et Clichy, qui suivent assez scrupuleusement la trame (parfaite) de l’album avant d’aller plus loin, et de faire sacrément péter les coutures.
Quelques incohérences tout de même, avec l’usage de la potion magique, qui semble illimitée pendant un temps, jusqu’au moment scénaristique où elle ne doit plus l’être. Et aussi le fait que les villageois deviennent bien trop rapidement gallo-romains.
Sinon, l’animation est claire et sans reproche, le rythme est puissant, la réinvention de Obélix en créature mythique est formidable, les comédiens (dont la troupe d’Astier) sont savoureux, et Roger Carel sera parti à la retraite sur une réussite.
– Et encore plus de plaisir pour « … le Secret de la Potion Magique », non adapté d’un album particulier mais dérivé de plusieurs bouts d’épisodes (du Combat des chefs au Ciel lui est tombé sur la tête, en passant par des références au Tour de Gaule, au Devin etc), comme l’était jadis « Les 12 Travaux… ».
Avec là aussi l’intention de faire exploser les cadres, avec encore moins de limites, tout en questionnant les codes établis il y a des décennies et jamais remis en question.
Parlant du rapport à la Création Artistique, entre ce qui doit avoir absolument une utilité pratique, et ce qui est juste très beau, en apparence… Rien d’anormal alors à ce que Panoramix soit le héros principal du film (ça arrive souvent dans les albums que Astérix ou même Obélix soient plus en retrait, et deviennent juste des forces motrices).
Quant au personnage de la jeune inventrice Pectine, qui n’est pas écrite selon les standards habituels des enfants surdoués… si on comprend dès le tout début son rôle future, le film a une construction narrative progressive, en forme de Quête et de machinations, qui la met en retrait. Laissant le champ libre à un paquet de personnages rigolards (les druides des Carnutes sont des vieilles barbes tordantes et leurs aspirants sont tous insolites, le duo culte Ordralfabétix/Cétautomatix parasite les scènes de manière explosive même une auto référence à « Kaamelott » est présente…). Pour mieux revenir vers cette enfant à un moment crucial, qui apparaît ainsi comme totalement naturel et inévitable, jamais forcé et faisant réfléchir sur le rapport aux traditions, surtout quand celles-ci sont très misogynes.
Faisant écho avec le fait que personnages de cet univers choisissent de rester dans un autarcie bien régulée (comme le montre le générique du film rythmé sur la chanson « You Spin me Round »). Sans que les villageois envisagent de libérer toute la Gaule avec la Potion, déséquilibrant alors les forces en présence… Ce que souhaite Sulfurix, fascinant vilain aux multiples facettes, et aux envies de vengeances destructrices, voir même anarchiques.
Car les Romains leurs apportent quand même à tous de la Modernité, sujet déjà abordé dans le Domaine des dieux… quitte à ce que certains gallo-romains se renient avec honte.
Entre ce film et le précédent, on se retrouve au final avec un diptyque très cohérent.
Et puis, finir en mode Heroic Fantasy et Japan’im (un petit côté Saroumane contre Gandalf, un monstre élémentaire géant, un quasi robot mécha), quel plaisir !
Les Astérix n’ont jamais été contre les références anachroniques ou méta. Et là non seulement c’est bien fichu, mais en plus c’est ultra cinématographique, avec climax sur climax, digne des meilleurs blockbusters jamais faits.
Même si les réalisateurs embrassent beaucoup de directions ambitieuses, et en laissent de côté quelques unes (le renoncement d’Astérix, le village au commande des femmes – mais des albums ont déjà traité de ça), ils gardent le cap jusqu’au bout et donnent tout ce qu’ils ont pour accoucher de leur « Astérix » ultime.
Puissant Magique !
– « Coco »…
Comme un dérivé de « La Vérité si je mens », cette extension d’un sketch culte de Gad Elmaleh, tiré de son spectacle « La Vie normale », est plus réussi que ne l’était l’adaptation de « Chouchou ». Pour un premier film comique, avec les quelques facilités du genre, mais aussi des gags bien sentis – « Spielberg ?! Il va rien y comprendre… il est Ashkénaze ».
Il se plante surtout sur la fin, qui a l’air d’être expédiée par manque de budget plus que par un parti pris artistique – frustrer les spectateurs en ne lui montrant pas la réussite étonnamment miraculeuse de la méga bar-mitzvah, pour mieux préférer une scène simple et intime.
Ça ne marche pas car entre-temps, on nous a sacrément aguiché, au point qu’on aurait vraiment aimer voir ce spectacle, quitte à ce qu’il soit écoeurant ou bien qu’il s’effondre de manière apocalyptique. On nous a aussi montré plusieurs personnages ainsi que leurs points de vue, et ils n’ont même pas droit à une conclusion satisfaisante dans leur évolution (quand celle-ci existe). Y compris le rôle titre, bardé de problèmes œdipiens et d’une pathologie cardiaque en forme d’enjeu crucial.
Seule Gladys Cohen arrive à briller jusqu’au bout, dans son rôle de prédilection de mère juive en décalage mais aussi tellement attendrissante et clairvoyante.
– « Anna Karenine »…
Une nouvelle adaptation de l’œuvre de Tolstoï, encore plus passionnée mais alourdie par deux partis pris difficilement compatibles :
L’amour adultérin de Anna, la mettant à un ban auquel les hommes échappent, n’est pas le seul traité. Il y a plusieurs d’autres types de couples qui gravitent autour d’elle, notamment celui de Kitty et Constantin, étant son opposé d’un romantisme chaste.
Mais cela étant mis en scène par un dispositif théâtral, dont les déplacements dans d’autres lieux sont figurés tels des changements de tableaux scénographiques. Tout ça, fait avec grand faste, mais servant bien sûr à figurer l’enfermement, dans les codes et préjugés etc – exception faite de moments brefs dans de grands espaces… Un peu poussive comme idée.
Les comédiens, majoritairement anglais, virevoltent littéralement entre eux, et il est alors dur de prendre le film suffisamment au sérieux.
– « Les Minions »…
Les enfants et les adultes détendus l’auront compris, pas de prises de tête réflexives avec ces films, montagnes russes d’action, de bavardages régressifs et de références Pop sans prétention.
Avantages pour cet opus prequel : les petits êtres jaunes ont la vedette, sans avoir besoin de verbaliser à outrance (donc malgré leurs babillages, ils sont surtout des créatures visuelles). Et cet univers rempli de super vilains parodiques (dont on ne peut que fantasmer le niveau dangereux de nocivité) reste délicieusement amoral.
De bons films de sales gosses.
– « Abominable »…
Le scénario de « E.T. » – les enfants doivent protéger la gentille créature, mi-juvénile mi-sage avec des super-pouvoirs.
Des retournements de situation un peu abruptes pour les vilains.
Des gags hollywoodiens standardisés.
Malgré tout, ce film d’animation gagne son identité en jouant sur la Destinée, les héros trouvant un sens à leur épopée, en rapport avec leurs obsessions personnelles.
Le voyage accompli, et prédéterminé sans qu’aucune explications soient possibles, devient alors aussi bien physique que spirituel.
Les liens se créent et permettent l’union de tous les contraires. Y compris via la restauration d’un objet personnel et artistique lié à un deuil.
Évidemment, ça aurait un meilleur équilibre si le rythme avait été plus oriental qu’americain.
– « Last Christmas »…
Faire un film romantique de Noël, alors qu’il existe des tonnes de téléfilms américains plein de bienveillance et de chansons cultes et sirupeuses, s’autorisant aussi pour certains les mêmes types de codes non conventionnels (anti héroïne gaffeuse, petit mauvais esprit, coup de théâtre surnaturel)… Faut oser. Même en étant à peine délocalisé à Londres.
Mimile Clarke dégaine ses mimiques d’éternelle gamine (dans l’impossibilité d’avoir des rôles forts sur grand écran), tout en laissant un étrange parallèle avec ses problèmes de santé passés. Sans doute le rôle le plus proche de sa personnalité.
Et Emma Thompson porte un script et un second rôle de mère agaçante, lesquels sont faussement sarcastiques et pas très subtils quand ils traitent des immigrés de génération plus ou moins éloignée, personnages majoritaires de tout le film.
En l’absence de très grosse misère ou de cynisme en guise de contrepoint, on est loin d’un Capra.
Surtout, le côté ordinaire de cette histoire, qui aide toutefois à faire passer comme une lettre (au Père Noël) à la poste le retournement final, enlève beaucoup de grandeur cinématographique au film… Qui passe donc mieux sur le petit écran, jusqu’à devenir l’un des meilleurs téléfilms romantique de Noël, en fin de compte.
Lu :
– Avengers – Opération Tempête Galactique…
Enfin. L’un de ces longs cross-overs marveliens (20 épisodes, répartis sur 7 séries !), permettant de voir les héros s’interroger sur le recours à la force létale, quand on n’a pas le temps pour une autre solution – mais est-on sûr d’être vraiment à court de temps ?
Mis à part Clint Barton (qui a vite oublié qu’il avait un point de vue très arrêté sur la question, par rapport aux actes de Bobbi Morse), tous vont réagir en fonction de leurs convictions, et même d’événements personnels perturbateurs.
C’est assez prenant – accessoirement, on se rend compte que le Thor de Eric Masterson est une des influences de l’évolution récente de la version de Chris Hemsworth.
– Namor – Le Premier Mutant…
Ça part pas trop trop mal, surtout graphiquement – on aime ou pas le style de Ariel Olivetti. Mais à mesure que l’histoire s’éloigne des contingences liées aux mutants (et aux vampires), la série perd de son élan, utilise des éléments scénaristiques éprouvés, et ressemble bien plus à la série des années 60.
– Premier tome du Hulk de Donny Cates…
Après l’horreur religieuse du précédent, on reste sur une lancée violente, tout en étant plus fun. Et en jouant sur le côté « vaisseau » du monstre.
Dommage que, encore une fois, on ne prenne pas le temps de l’exploration dans quelques épisodes individuels.
À lire d’une traite donc.
– Le deuil de Thor (Al Ewing, invité, récupère sa Loki au passage)…
La sympathie de Miles Morales, la lenteur de Beyond…
La révolte un peu trop rapide à la Strange Academy…
Les one-shots sympas des Aaronvengers.
– Fin de X Lives/Deaths of Wolverine…
Après un début trop bourrin et répétitif pour être honnête, ce gros blockbuster bicéphale a droit à une belle ruée finale explosive. Ça fait du bien quand ça s’arrête.
Puis, le début de Destiny of X part sur de bonnes bases malgré le départ de Hickman (ça ne passait pas trop bien dans le dernier tome de Reign of X, très impersonnel). Bien aidé par le lancement de nouvelles séries portées par les mutants les plus charismatiques – même quand ils sont aussi casse-pieds que ce fieffé Mister Sinistre.
Bon, il va falloir que je regarde Blood Origin mais bon, après House of the Dragon ça commence à être compliqué de regarder de la fantasy sans faire la comparaison.
Ce n’est pas tant une liste de ce que j’ai vu mais de ce que j’ai plutôt à voir prochainement : le Pinocchio de Del Toro, Glass Onion et Balle Perdue 2.
Sinon, revu Les Minions 2 (que j’ai préféré au premier, que j’aime beaucoup aussi) et Hibernatus (De Funès, on ne s’en lasse jamais).
Niveau lecture, je continue ma lancée sur Hellboy, lu hier le tome 6, Le Vers Conquérant, toujours aussi génial visuellement et scénaristiquement, où un gros point de bascule s’opère pour le perso au terme de ce tome, et j’ai toujours l’adaptation en comics de L’Etrange Vie de Nobody Owens de Neil Gaiman à lire.
Et niveau gaming, God of War : Ragnarök et Dark Forces II.
J’ai arrêté Blood Origin à 20 min du premier épisode, d’habitude je regarde au moins les 3 premiers épisodes d’une serie pour me faire une idée et voir si je continue ou pas…mais alors là c’était intenable et d’une laideur à rendre un aveugle myope.
Viens juste de regarder la série Mercredi, dont les 4 premiers épisodes sont réalisés par Tim Burton. Coup de coeur ! J’ai vraiment adoré, enfilé tous les épisodes alors que j’aurais mieux fait de bosser mes examens… Et fasciné par le charisme et l’interprétation de Jenna Ortega. Saisissante !
Et aussi regardé Alice in Borderland saisons 1 et 2, qui a des airs de Squid Game, en plus fantasy.