Le bar de Galactus #192 : The Power ~ Riverdale ~ Tetris

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Cette semaine, il y en a pour tous les goûts… Vendredi, Prime Video proposera les trois premiers épisodes – sur neuf – de The Power, une série dans laquelle des adolescentes développent des super-pouvoirs de nature électrique. Si le pitch vous dit quelque chose, c’est parce qu’il s’agit de l’adaptation d’un roman sorti en 2016, Le Pouvoir de Naomi Alderman. Pendant ce temps, à partir de mercredi, les éternels lycéens de Riverdale voyageront dans le passé au cours d’une saison 7 qui est présentée comme la dernière. Et deux jours plus tard sur Apple TV+, Taron Edgerton arborera sa plus belle moustache pour nous conter l’incroyable histoire du jeu vidéo Tetris. Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu ces derniers jours ? Une pépite cachée sur Netflix ou un John Wick énervé au cinéma ? Dans tous les cas, à vos claviers et très belle semaine nuageuse à tous !

Le Pouvoir est un thriller mondial tiré du roman primé de Naomi Alderman. Ce monde est le nôtre, à une différence près. Les adolescentes développent soudainement le pouvoir d’électrocuter autrui à volonté. En suivant des personnages extraordinaires de Londres à Seattle, Le Pouvoir passe d’une torsion dans la clavicule des adolescentes à une inversion totale de l’équilibre du pouvoir.

39 COMMENTAIRES

  1. J’ai revu la trilogie Monde De Narnia et les 2 films Percy Jackson et c’est exactement pareil que quand j’étais petit, j’ai surkiffé et hâte de voir la série Percy Jackson et dég’ que la série Narnia n’a plus donné de nouvelles depuis x années
    J’ai aussi revu le film Speedy Racer que j’avais en DVD et..bordel j’ai adoré, c’est coloré, l’histoire est cool, c’est fun

  2. Encore une grosse semaine dans le feuilleton « streaming VS cinéma »

    Outre Apple qui compte investir 1 milliard pour diffuser ses films dans les salles

    Côté super-héroïsme, c’est Ant-Man and the Wasp Quantumania qui entérine la fin des fameux 45 jours seulement entre la salle et Disney Plus

    Alors que déjà Thor avait mis plus de temps, et que surtout Black Panther Wakanda Forever avait mis plus de 3 mois

    Beaucoup étaient septiques et pendaient a une exception pour BP dans un me tentive d’approcher au max le milliard

    Mais l’Homme-Fourmi non plus n’aura pas sa sortie Disney Plus a 45 jours, malgré ses résultats décevants au BO

    Côté France, vous vous souvenez quand je vous disais que la bisbille sur la chronologie des médias était bel et bien plus sur la fenêtre d’exclusivités des chaînes gratuites que sur le délai entre salles et SVOD ?

    Et bah je vous ferait remarquer que :

    Black Widow as atteint le délai légal de 17 mois en décembre 2022

    Et que Shang-Chi as atteint se délai en février 2023

    Et aucun de ces deux films n’as encore été mis en ligne sur Disney Plus

    Non seulement le raccourcicement du délai n’était pas un enjeu majeur (même si évidemment ils voulaient le réduire un peu, mais comme je disais c’était plus 12 mois… Éventuellement 6 si vraiment ça pouvait tomber mais voilà)

    Mais maintenant on est carrément dans un stade où même le délai actuel n’est tellement plus un sujet qu’ils ne se donnent même pas la peine de mettre les films en ligne dès que c’est possible.

    Bref, le fameux narratif du tout puissant modèle SVOD qui devait tout tuer as vécu…

  3. Cette semaine c’est surtout le retour de deux claques. Yellowjaket et la dernière saison de Succession. Je les ai pas encore commencé faute de temps mais j’ai hâte.
    Sinon je me suis fait l’animé Ranking of kings. Très sympa très mignon et une animation génial. Peut-être que sur la fin ça devient trop gentillet pour porter a fond son message. Mais j’ai passé un très bon moment devant.

  4. Un film sur Tetris ….
    Je en peux rater ça 🙂

    Sinon pour ceux qui n’ont pas encore vu John Wick 4… Je rejoins les youtubeurs : FONCEZ
    Ca faisait tellement longtemps que je n’avait regardé un film sans regarder l’heure

    Et surtout, bonne semaine à tous 🙂

    • D’habitude sur les films d’action, j’suis assez bon publique, la preuve j’préfère les nouveaux Fast & Furious que les anciens, le côté boom boom, Fuck la logique ça me plaît mais les Wick, j’me suis forcé à finir le premier, j’ai vraiment pas accroché mais chacun ses goûts 😅

        • Après j’compte pas le regarder, mais j’vais pas le descendre en flèche parce que j’ai pas aimé. J’crache que sur Marvel, j’suis un hater avec des principes (c’est une blague hein😅)

          • Le premier Wick est le moins bon. La saga ne trouve son style et son élégance qu’avec le second.

            Sinon j’adore le principe d’haters à principe ^^

          • C’est d’l’humour après, j’suis un fan de super-héros, donc même si ça fait depuis la fin d’la phase 2 que j’aime plus trop c’que le MCU fait, j’continue de regarder mais j’critique moyen 😅

          • Perso, j’ai beaucoup aimé le 1, pas mal aimé le 2,mais alors le 3…. Mauvais surtout la 2e moitié du film. Ça part trop loin dans le too much, et cette fin écrite par un enfant de 9ans…
            Donc si le 4 est la même veine que le 3, je vais faire l’impasse.
            Quelqu’un peut me dire comment il se situe par rapport au 3 ?

          • Black bolt, pour ce qui est de mon ressenti, et ça vaut ce que ça vaut, mais j’ai ADORÉ le 1er, le 2 et 3 je ne saurais te dire, j’ai direct oublié après visionage(je me rapelle juste que je l’avais trouvé pire que le 2), et le 4 les surpasse tous que ce soit au niveau action ou du lore (en attendant la série sur le continental) .
            Perso je sais que je vais me le refaire dans un mois et il m’a même donné envie de me refaire la trilo avant .

            Bon j’espère ne pas te le survendre, mais j’ai passé un tellement bon moment devant que je me dois d’en faire un peu la promo 🙂

            Bref JW4>1>2>3

          • Wow super Captsubasa.
            Ton avis m’est très utile, d’autant que comme moi, tu as préféré le 1.
            Donc ça m’intrigue que tu mette le 4 au-dessus de tous.

  5. J’ai revu la 1ère saison de Daredevil et mon dieu. Quelle est puissante cette série la meilleure série de super-héros depuis Smallville.

    Sinon dans l’attente de Super Mario Bros the movie

  6. J ai vu  » We have a ghost  » avec Anthony Mackie et Harbour, très drôle et emouvant.
    Avec ma copine on a vu le 1er Scary Movie qu elle n avait jamais vu x)

  7. J’ai découvert la série Upload sur Amazon Prime, j’aime bien, il y a de bonnes idées.
    C’est le cousin de Stephen Amell qui a le premier rôle. C’est bizarre, il lui ressemble énormément au point de croire voir une version rajeunie, sauf qu’il sait jouer alors que l’autre, non, mon cerveau a bugué plus d’une fois.
    Le seul truc qui m’a dérangé dans cette série : il est beau gosse, elle est belle gosse, ils vont tomber amoureux…

    Sinon j’ai trouvé moyen la 4e saison de Mrs Maisel, comme pour la 3e, j’ai mis du temps à la finir. Dommage, j’aimais beaucoup les 2 premières.

    J’ai vu qu’il y avait du monde qui regarde des animes ici, je vais recommander une de mes séries animées préférées: Chihayafuru

  8. En Avant :
    1er Pixar injustement impacté par le covid (sorti peu avant le confinement)…

    Enfin pu le découvrir sur Disney+ 3 ans après (je croyais que la chronologie des médias avait été raccourci ? Le changement ne s’applique qu’aux films sortis après cette décision ou quoi ?)

    On retrouve ce qui fait la force du studio : un concept original, un film qui parait full humoristique voire parodique mais qui cache en fait un enjeu à la fois très personnel, émotionnel et bouleversant. Les personnages se révèlent plus profond au fur et à mesure de l’histoire tout en apportant des moments drôles bien menés.

    Une vrai surprise qui le place parmi les (nombreux) très bons films de Pixar.

    Jumanji Next Level : ça fait se regarde mais c’est dommage que le film n’exploite pas le côté buggé/cassé du jeu car seule la sélection des personnages est au final concernée. Ça aurait apporté du neuf (et expliqué pourquoi ce nouveau comportement dans la scène post-générique qui fait plus envie que le film lui-même). De même on retrouve la même situation du tout le monde n’a plus qu’une vie sur la fin. Ça fait redite.

    • Moi et ma fille de 7 ans ont adoré En Avant! Depuis le temps que je voulais le voir j’avais kiffé la bande annonce
      Un dessin animé avec plein d’humour et des sujets abordés plus sérieux qui nous ont vraiment plu.
      Vraiment plaisant, ma fille veut le revoir!

  9. Le Pouvoir de Riverdale fait que T’es triste ? 😁

    Vu :

    – Spécial « JW »…
    Avec quelques-uns des premiers westerns que John Wayne a tourné pour la maison de production Lone Star. Le style est énergique, mené par des séquences d’action très cool, pas trop découpées (sacrées bastons au corps-à-corps), peu doublées à part quand Wayne saute sur les chevaux.
    Au milieu de tout ça, des histoires de vengeance et de coupables à confondre, bien fichues tout de même.
    Une cinquantaine de minutes, hyper concis avec de bons sentiments, sans gras.

    Des décennies plus tard, presque la même chose avec l’autre JW… John Wick.
    Revu le 3 qui, après un générique moche, met peu de temps à briser ses propres règles (de jeu vidéo) avec un géant russe qui ne veut pas attendre l’heure d’excommunication de Wick pour le buter – trop bête pour penser aux sanctions ? ça ne sera pas le cas du Docteur. Même si la suite reste bien amusante, toujours en mode jeu vidéo et avec un Mark Dacascos rigolo en fan tueur (et ses ninjas).
    Tout ça pour préciser que, si la saga est encore exemplaire pour ses scènes d’action, aussi frappantes et peu découpées qu’à l’époque de Wayne, les intrigues qui s’y intercalent sont un peu plus poussives et pèchent par ambition. Au point d’avoir des durées beaucoup trop longues.
    Et le quatrième ne fait que le confirmer – analyse dans le Bar précédent consacré, le #191.

    – « Comme mon fils »…
    Tomer Sisley joue à Kevin Costner dans « Un monde parfait », dans un charmant téléfilm/road movie pourtant tiré d’une histoire vraie… se passant à la même époque que la sortie salle de « Un monde parfait ».
    On n’en fait pas grand chose (même pas de »tiens ce film là, on dirait notre histoire »… non ?). Mais l’ensemble reste sympathique et légèrement émouvant.

    – « Le bonheur des uns »…
    On pourrait croire à un de ces films de groupe français, avec des petits bourgeois qui ont plus de problèmes relationnels que de fin de mois (ce qui n’est pas non plus très intéressant à voir)… mais le programme va un peu dévier de cette structure comique ultra rebattue.
    Déjà le début au restaurant ressemble trait pour trait à un sketch à la Muriel Robin (et avec son sosie vocal, Florence Foresti). Une commande de dessert qui n’en peut plus de tergiverser à cause du manque de poigne d’une des convives.
    Sauf que c’est justement la caractérisation de ce personnage, soumis à des dominateurs, qui permet de mettre en place la logique du récit : et si c’était cette éternelle bonne patte qui prenait socialement l’ascendant sur tout le monde, grâce à un talent insoupçonné et peu croyable, alors qu’elle n’avait rien demandé… qu’est-ce que ça nous donnerait ?
    Et bien, se reposant sur certains traits de personnalité connus de ces quatre acteurs (pas un de plus, tant mieux), d’une part on se retrouve avec deux parangons d’égocentrisme – Vincent Cassel en colosse aux pieds d’argile, finalement attiré par une jeunette, Foresti en casse-pied cassante hyperactive, masquant un gros manque de confiance en soi. Sans être complètement détestables.
    Et leurs conjoints respectifs, deux monstres d’humilité et de simplicité – François Damiens dans l’une de ses partitions de doux dingue, ici en mode nounours… et surtout Bérénice Bejo, qui arrive à tenir tout le film en grande fille modeste, imperturbable et imperméable à la moindre mesquinerie. Gentiment énervante, forcément. Ahurissante, donc.
    Ailleurs, c’est à dire dans une comédie potache et bardée de musique en rythme, ils seraient des archétypes grotesques. Ici, on est dans une comédie légèrement dramatique (et légèrement comique aussi) qui laisse la gentillesse et le fiel se distiller tout en douceur. À peine perturbé par les brèves interventions décalées d’un cinquième larron joué par le réalisateur Daniel Cohen lui-même (sosie vocal de José Luccioni), en patron aux objectifs professionnels lunaires.
    Le tout ressemble à du Foenkinos grinçant.
    Curieusement original.

    – « Pink Floyd : The Wall »…
    Peu importe l’histoire derrière cette œuvre, c’est à dire les ressentiments que pouvait avoir Roger Waters à l’époque… Le fait qu’on a là un objet cinématographique pur, ne se limitant pas qu’à être un long clip illustrant le double album des Floyd.
    Certes l’histoire qui a été plaquée dessus, avec cette rockstar en mal de père, de mère, de repère et dans une logique de guerre, n’est pas nécessairement très renversante… il s’agit avant tout de se libérer de quelque chose.
    C’est la forme qui compte le plus, enchaînant des plans virtuoses, dont des séquences animées (allant du surréalisme à la caricature horrifique) intégrées de la façon la plus homogène qui ait jamais existé – au moins, jusqu’à « …Roger Rabbit ».
    À partir de là, on peut y extrapoler aisément une radiographie de cette époque, allant du Thatcherisme aux dérapages de Bowie et Clapton dans certaines déclarations quelques années plus tôt, jusqu’à l’autre mur, pas loin, à Berlin.
    Quoiqu’il en soit, c’est impressionnant, peu hautain et pourquoi pas magistral ?

    – « Johnny Hallyday symphonique »…
    Comment on sait que Johnny est bien un mythe ? On a déjà fait beaucoup de variations autour de lui, mais rarement mis en tête les qualités orchestrales de ses chansons.
    C’est l’objectif de ce concert, et le résultat arrive à être surprenant en reprenant certaines de ses chansons (et celles qu’il a reprise d’autres artistes) ayant un rythme plus lent, moins Rock ou bande FM, et montant progressivement en gamme. Et d’adapter sur cette orchestration des extraits de sa voix qui soient adéquats.
    Résultat : Johnny est là, mais ce sont les musiciens (et son compositeur Yvan Cassar) qui son mis en avant dans un concert étonnant. Surtout quand on essaie de deviner à quelle chanson revisitée correspondent chaque premières notes.
    Même l’insertion du « Time » de Hans Zimmer apparaît moins comme du remplissage que comme une façon de nous préparer à la reprise de « Allumer le feu », centrée à fond sur les percussions (on s’y limite alors juste au refrain, pas à toute la chanson).
    Accessoirement, ça donne aussi envie d’entendre d’autres réappropriations de Johnny. Comme celles de Patrick Sébastien – le « Corridor » est hilarant.
    https://youtu.be/Fv5T_Q0pOQI

    – « Miss »…
    Le film a une forme qu’on ne peut comprendre qu’en arrivant à la fin. Parce-que la première partie, menant à une élection, se suffit déjà à elle-même dans cette histoire d’imposture menant à une acceptation de soi (ou l’inverse ?).
    Il devrait alors être clair que la suite est un trop gros morceau pour pouvoir être mené jusqu’au bout. Sauf que aucun des personnages ne pensent à remettre suffisamment en question cette épopée.
    Ni son protagoniste principal, utilisant l’institution Miss France pour mieux apprendre à mieux dompter ses doutes, mieux composer sa féminité et sa force – Alexandre Wetter y est si immédiatement touchant qu’il fait passer même les maladresses.
    Ni sa famille de cœur, sorte de Tuche de banlieue d’où surnage un puissant Thibault de Montalembert.
    Ni ses alliés internes, dont les motivations vont de l’incompréhension (aurait-on coupé dans l’arc narratif de Stefi Celma ?) au pressentiment d’un coup de pied dans la fourmilière pour Pascale Arbillot.
    Avec la complicité d’une institution concrètement montrée en perte de vitesse, présentée même comme si on était dans une comédie parodique. Ce qui devient malicieux lorsque Sylvie Tellier et Vaimalama Chaves y prêtent leur participation… et que le film s’en trouve diffusé sur France 2.
    Une fois arrivé au bout du chemin, aux rebondissements inoffensifs, malgré un petit quart d’heure flirtant avec le pessimisme glauque… On a la confirmation qu’il est juste question de courage, de dompter la peur.
    Un conte de fait, un !

    Lu :

    – Les Éternels : Une histoire écrite dans le sang…
    Une série d’épisodes spéciaux à propos de leurs origines, avec quelques déficits de cohérence en ce qui concerne l’apparence de certains (Ajak, Uranos). Quand-même très bonne écriture.

    – Avengers : Kang War…
    Opportunisme Paniniesque à cause du vilain, ça reste surtout un album réédité, sur la Saga de la Madone Céleste et autres (longs) délires dimensionnels d’une autre époque.

    – Début de Fantastic Four : Reckoning War…
    Dan Slott nous case à nouveau un gros événement circonscrit surtout à une série (comme ça avait été le cas pour la fin de son Tony Stark : Iron Man). Une sorte d’aboutissement d’arcs narratifs, hélas très précipité et avec des vilains bien génériques.
    La der de Carlos Pacheco, et avec un What If bien ironique.

    – Ant-Man : Fourmiversaire…
    Un joli hommage à travers le temps aux laissés pour compte des super-héros (ce que même le cinéma confirme), réglant un problème au passage, mais sans aller non plus trop loin.

    – Thor avec Venom…
    Pas très dans son assiette en ce moment Donny Cates, hélas, c’est de notoriété publique.

  10. Je viens de terminer la série This Is Us :
    et qu’est-ce que j’ai eu du mal à m’en remettre émotionnellement…

    Alors je ne dirais pas que c’est une excellente série (il faut aimer le genre déjà), il y a certains épisodes ou intrigues moins intéressant que d’autres.
    Mais l’ensemble est de qualité, les messages et les relations entre persos sont très bien trouvés et très positifs pour notre quotidien, et la capacité à créer un attachement aux personnages est plutôt efficace. La capacité à jouer sur les temporalités reste aussi une grande force de la série. Sans parler des émotions que le show arrive à nous faire traverser…

    Et surtout cette dernière saison, et les (LE) derniers épisodes sont très réussis. Un petit bijoux d’émotions et de message mêlant mélancolie et espoir.
    A tel point, qu’arrivé au bout du voyage, il est très dur de s’en remettre émotionnellement.
    Pas évident de savoir finir une série, et force est de constater qu’ils ont magnifiquement réussi.

    C’est une série sympathique avec de très beaux messages pour la vie en général, avec une mise en scène agréable et une BO magnifique (si vous ne connaissez pas Siddharta Khosla, allez voir son travail sur YouTube ou autre, c’est superbe).
    Voilà je voulais partager avec vous ce final qui m’aura beaucoup impacté en tant que spectateur et être humain, à tel point que cela m’a donné un point de vue rehaussé concernant le show en général.

    Une série leçon de vie comme on en voit rarement.

    • Ah This is us ! Ou comment Milo Ventimiglia met minables tous les papas et maris du monde.
      En tout cas, ça fait plaisir de lire ça, je vais pouvoir reprendre la série si elle est finie. Je me suis arrêté au season finale où les 2 frères se disputent sévèrement, c’était un crève-cœur.
      Je suis d’accord avec tout ce que tu as dit, la série transmet de bonnes valeurs, chose trop rare aujourd’hui. Même sans être un mari ou un père, beaucoup de moments m’ont touché.
      Oui, l’une des forces du show est comment la narration bascule sur différentes chronologies, c’est fait de façon habile et je pense que ce n’est pas aisé (surtout quand on voit la saison 1 de The Witcher). Même si ça fait des années que je n’ai pas regardé This is Us, la BO est resté gravé dans la tête; il y a 3-4 jours encore, j’ai écouté The closure theme, je compte la jouer au piano.

      PS: hors sujet, si tu n’as pas encore vu The Last of Us, tu peux, c’est beaucoup moins violent que le jeu, beaucoup de scènes ont été filmées hors-champs ou hors-cadre.

      • Ah content de pouvoir parler de this is us ici.
        Oui effectivement, c’est une série que je qualifierais de  »solaire » tant elle nous tiré vers le haut humainement.
        Sympa pour le piano, je débute depuis 1 an 😉

        Et oui Jack Pearson nous donne de véritables leçon, à nous mari (j’entends encore ma femme me dire  »que ferait Jack dans cette situation » ^^). Et comme je suis père depuis 2 ans, je ne te dis pas à quel point là série à aussi pu m’inspirer ou m’impacter.

        Merci à toi d’avoir pensé à me faire un retour sur last of us. Mais je ne pense pas retourner dans ce genre d’univers 😉

        • Ah cool pour ta 1ère année de piano 👍 sur YouTube, tu trouveras pleins de vidéos pour jouer des trucs sympas.

          « Que ferait Jack Pearson ? » c’est ton prochain T-shirt 😂
          Je suis d’accord avec toi, la série peut inspirer les gens, les personnages même imparfaits (j’inclus Jack) font de leur mieux pour leurs proches. Si ils inspirent (surtout Jack), c’est grâce à l’écriture des personnages, parfois, ils semblent réels.
          Juste un exemple, pendant la dispute entre Jack et Rebecca, je voulais me faire tout petit, même si j’avais conscience que c’était une fiction avec des personnages fictifs, tout cela semblait réel.

          Du coup, j’ai repris la série après avoir lu ton com comme quoi c’était fini, je suis au moment où Kevin appelle Randall et que celui-ci appelle ensuite Hai (l’ex de sa mère biologique). Au début, je trouvais ça too much que sa mère ait survécu, ça faisait presque telenovelas (dans ma tête: « ça va être quoi la saison 6 ? « Kevin et Kate sont jumeaux mais pas du même père ? »). Mais en fait, ça passe tranquille, et la réaction de Hai quand il a Randall au bout du fil… Je sens que le prochain épisode va me faire chialer.

          Je comprends tout à fait pour The Last of Us comme j’ai compris tout ce que tu as dit à Anthony: pourquoi tu ne voulais pas faire le 2e. Pas de soucis 😉 dommage, tu louperas l’incroyable épisode 3 (et pas du tout violente), c’est une histoire inédite et on peut dire indépendante du reste de la série. De toute façon, tout le reste est pareil.

          • « « Que ferait Jack Pearson ? » c’est ton prochain T-shirt 😂 »
            tu m’as tué ^^

            « Juste un exemple, pendant la dispute entre Jack et Rebecca, je voulais me faire tout petit, même si j’avais conscience que c’était une fiction avec des personnages fictifs, tout cela semblait réel. »
            =>
            exactement. Dans la dernière saison, tu as une dispute entre Kate et Toby (dans l’appart), et elle est criante de réalisme.

            Oui j’ai eu le même sentiment pour la mère de Randal, mais par la suite tu comprends que ça permet de faire avancer le perso.
            Des fois la série donne le sentiment de développer des intrigues un peu tirées par les cheveux. Mais quand tu arrives à la fin, le tableau d’ensemble est très satisfaisant je trouve.

            Ce qui est bizarre avec cette série, c’est que je n’ai pas eu d’attachement particulier pour tel ou tel perso. Mais la relation entre eux est tellement bien faite, que la conclusion m’a happé.

            J’apprécie ta compréhension pour last of us. J’avais pas mal apprécié le début de l’épisode 1 => la naissance ce l’épidémie est juste flippante de réalisme (ça m’avait fait pensé à l’incroyable intro de l’armée des morts). Bon après je savais la conclusion pour l’un des persos, donc je n’ai pas été bouleversé comme lors du jeu, forcément.
            Mais alors du coup, moi qui ai une fille depuis moins de 2ans, laisse tombé les pensées que cela peut me créer après :s^^

            raaa tu me tente avec ton épisode 3 :p

          • Il y a aussi le T-shirt « Fais pas ton Kevin (Pearson) » mais tu risques d’avoir des embrouilles avec des fans.

            Laisse tomber, j’avais prévu des trucs à faire ce WE mais je n’arrive pas à décoller de la série xD Je suis à la saison 6 – qui est très réussie pour l’instant -, c’est la dernière ligne droite. 🤞
            Je suis à la chanson du mariage de Kate… eeeeeeeet… wtf sérieux… je n’étais pas préparé à ça ! (Des fois, j’ai envie de traiter les scénaristes de tous les noms 😂). Mais c’est pour ça que cette série est marquante, je l’ai vue qu’une seule fois, les 4 saisons d’affilée (j’avais googlé « best feel-good shows to watch » durant le confinement, je suis tombé sur Your Name et This is Us).
            J’ai oublié le nom de tous les personnages sans exception. Pourtant, il y a énormément de moments qui sont restés gravés, comment des personnes ordinaires, qui avec de « petites choses » rendent l’humanité plus belle (ou comment avec avec le citron le plus acide, amère, on peut essayer d’en tirer une limonade). Même si ce n’est qu’une fiction; oui, elle inspire.
            Je sais déjà ce que je ferai après avoir terminé la série, je recommencerai depuis le début parce que j’ai oublié énormément de choses, comme par ex. Madison 😂 j’étais là… « C’est qui ? » alors qu’en fait, je crois qu’elle aussi, a donné une bonne leçon sur les préjugés (enfin je ne me souviens plus vraiment).
            … j’espère que la « wife » n’est pas Sophie… mais bon, on verra bien…

            Oui, au final, je trouvais le retour de la mère de Randall, ainsi que son épisode dédié utiles. C’est écrit sans trop d’excès, il n’y a pas de « ta gueule, c’est magique », tout a un but précis (même les misdirections que la série donne 😅).

            Je me suis attaché à certains personnages parce que j’arrive à identifier certains proches ainsi que moi-même dans certains d’entre eux. Et bien sûr, Jack est un modèle.
            Pour moi, This is Us, c’est un peu « nous tous ».
            Cependant, comme toi, c’est surtout la relation entre les personnages qui m’attraie le plus et non l’individu en lui-même.

            Je ne regarde JAMAIS de dramas, on m’en a recommandé… je finissais rarement le pilote… bref, This is Us est l’exception et j’ai hâte de la revoir.

            Pour The Last of Us, ça serait présomptueux de ma part de dire « oui, je comprends » par rapport à ta fille parce que je ne suis pas père mais je peux essayer de deviner.
            Ma sœur et mon beau-frère ne veulent pas voir certains films depuis qu’ils sont parents comme par exemple un film de Clint Eastwood avec Angelina Jolie sur le kidnapping, que j’ai trouvé très bon. Mais je peux deviner que ce genre de film peut créer de l’anxiété chez certains parents, dans ces cas-là, je n’insiste jamais.
            Par contre, je viens de recevoir un sms d’un pote, il a trouvé l’épisode 3 « inutile » (je ne lui ai pas du tout parlé de cet épisode, rien, nada, il m’a juste envoyé le texto comme ça 😂) je sais que je ne suis pas le seul à l’avoir trouvé sublime mais comme tu vois, les goûts, les couleurs… donc, c’est vraiment comme tu sens 😉

        • @ Black Bolt/Panther : Piano ? Alors j’espère que tu vas pas trop te foutre de ma gueule LOL, mais je te recommande vraiment la chaine Youtube d’André Manoukian. Sans te mentir, je le suis régulièrement alors que je ne joue pas, et ne suis pas du tout musicien, mais c’est une masterclass à chaque fois, et André nous fait vivre la musique, il nous la rend tangible. Puis, bon, le kif de l’avoir pour prof, quoi ! 😀 Franchement, au cas où tu ne suivrais pas encore sa chaîne, va jeter une oreille.

          • Oh merci The_Ghost !
            Je vais jeter une oreille (et un oeil aussi ^^) comme tu dis

            Avec l’achat du piano, j’ai eu accès à des cours enregistrés en ligne, mais la société est en liquidation judicaire, et ces cours ne sont plus accessibles ……. J’en était au 23, et il m’en restait encore beaucoup. Hyper frustrant, pck il y avait toute une progression balisée et cohérente entre les cours. degg

            Du coup, je suis en quête de bons plans pour continuer d’apprendre 😉

          • @ Black Bolt/ Panther : Voici la playlist de ses leçons. Crois-moi, tu ne regretteras pas. Il est complètement perché, mais tu vas avoir l’impression de toucher Dieu plus d’une fois ! 😀

            Je blague, mais tu sais que dans un tas de religions, philosophies orientales, tout ça, le son est base de tout ! « Au début était le verbe », et le « Aum » hindou, tout ça… Ben avec Dédé, tu vas voir le côté vivant du son. C’est tout un univers… je n’ai pas les mots ni le savoir pour l’exprimer. Il y a quelque chose, comme on dit… « ça vient de loin », comme il dit… 😀
            Il va te montrer les notes qui vont ensemble, les relations entre les accords, les sentiments qu’ils expriment, la logique du fonctionnement de la musique, par rapport à la longueur des cordes, quintes, tierces, je ne sais même pas ce que ça veut dire, c’est un truc de malade… et tout ça, ce sont des ondes (mécaniques, et non électromagnétiques comme je l’ai écrit au départ, honte à moi !), donc ça manifeste un transfert d’énergie (c’est le principe d’une onde) causé ici par une déformation (mécanique), donc ça a du sens d’un point de vue physique, et donc d’un point de vue cosmique LOL… Tu verras… Dédé, il va t’ouvrir les chakras ! 😀

            https://www.youtube.com/playlist?list=PLxnDljAfgLI8zvTV_rG36yMd8Jri7o7wM

          • @the_Ghost
            Merci beaucoup pour ton partage. Effectivement il a l’air de partir loin ^^
            Mais ça peut être très intéressant, notamment par l’approche artistique/émotionnel qu’il semble aborder.
            J’irai regarder, merci encore 😉

  11. Plus sérieusement, j’ai d’excellentes nouvelles de Jeremy Renner :
    https://www.lindependant.fr/2023/03/27/accident-de-jeremy-renner-trois-mois-apres-avoir-ete-ecrase-par-sa-deneigeuse-lacteur-des-avengers-remarche-pour-la-premiere-fois-11092230.php

  12. (re)Vu Blade II. Wow, quelle claque finalement. Ce film donne une leçon à tous les films MCU et ses clones récents des autres studios.
    De la pure testostérone, des combats dantesques (bien meilleurs que le premier), un casting de fou (Daryl Dixon toujours aussi pouilleux, Ip Man toujours aussi charismatique, Hellboy toujours aussi badass, un des deux Bros toujours aussi beau gosse malgré un maquillage d’enfer).
    Une bande originale vraiment originale mêlant à l’époque le meilleur de l’electro et du hip hop.
    Un scenario banal au départ mais qui révèle son lot de surprises et de drama.
    Et enfin une réalisation aux petits oignons qui sublime les mouvements de Wesley Snipes tout en misant sur une vraie direction artistique et des effets spéciaux mettant à l’amende toute la CGI des films du genre actuel.
    Avec une touche d’horreur qu’on cherche encore dans le Sam Raimiesque Dr Strange 2.
    Reste un Snipes qui cabotine toujours autant (mais bon j’ai retrouvé le Simon Phoenix que j’aime tant), des CGI à la ramasse mais le film a plus de vingt ans et surtout un décor roumain du pauvre qui m’avait vraiment déplu à l’époque.
    54M$ de budget bordel… Shazam 2 fera même pas son score au box-office avec un budget deux voire trois fois supérieur. Et on ne parle pas des errances budgétaires récentes du MCU.
    John Wick 4 cartonne et c’est aussi de la pure testostérone avec du talent.
    Y’a pas un con pour comprendre ce qui ne va pas dans leurs films maintenant? Y’a-t-il un pilote à Hollywood?

  13. Il faut que je rattrape la saison 6 de Riverdale avant de voir la saison 7 qui je trouve est meilleure depuis la saison 5 et le bond dans le temps. Au moins on aura plus les commentaires sur le renouvellement de la série et non pas tel ou tel série. Alors que c’est CW qui choisi, Netflix est juste le diffuseur international il me semble.

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