Le bar de Galactus #204 : Elémentaire ~ The Walking Dead – Dead City ~ The Bear

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Le MCU et le DCEU ne sont pas les seuls à connaître un passage à vide… Depuis la mise à disposition des films sur Disney+, les productions Pixar ne font plus vraiment recette. Après En avant, Soul, Luca, Alerte rouge et Buzz l’Eclair, voici donc un non-événement de plus avec Elémentaire. Et une nouvelle fois, le mème de la formule Pixar prend vie : « Et si les ________ avaient des sentiments ? » Pour ceux qui goûtent à des divertissements plus sanglants, on signalera bien sûr le lancement du spin-off The Walking Dead : Dead City sur la chaîne AMC. Autre destination possible ? Les cuisines de The Bear, qui revient jeudi sur Hulu. Et peut-être comptez-vous les jours avant la sortie de Final Fantasy XVI ? Dans tous les cas, n’hésitez pas à partager vos derniers coups de coeur dans les commentaires et très belle semaine orageuse à tous !

Dans la ville d’Element City, le feu, l’eau, la terre et l’air vivent dans la plus parfaite harmonie. C’est ici que résident Flam, une jeune femme intrépide et vive d’esprit, au caractère bien trempé, et Flack, un garçon sentimental et amusant, plutôt suiveur dans l’âme. L’amitié qu’ils se portent remet en question les croyances de Flam sur le monde dans lequel ils vivent…

36 COMMENTAIRES

  1. Vu le documentaire sur Stan Lee.
    Instructif (sa vie, méthode improvisée puis gardée pour sortir des comics en masse, les dessinateurs…).
    Il y a à la fin une partie consacrée sur les désaccords sur la notion de « paternité » de Spiderman entre Stan Lee et Steve Dickto via une conversation téléphonique sur une radio, au départ aimable à plus crispée.
    Le créateur est celui qui a l’idée ou celui qui l’a développe avec le temps ?

    DC prend une petite pique avec un de ses responsables lors d’une émission.

  2. Mérité pour Pixar honnêtement, il leur faut peut-être ça pour se reprendre en main, car depuis Monstres Academy je n’ai aimé aucun de leurs films, et leur dernier chef d’œuvre date même selon moi de Toy Story 3

    • Hein ? Coco ? Vice-Versa ? Soul ?
      Il y a aussi Luca, Toy Story 4, Cars 3 qui sans être exceptionnel sont excellents selon moi.
      Après oui je suis d’accord Alerte Rouge, Le Voyage D’Arlo et En Avant ne sont pas digne d’un studio tel que Pixar.

      • J’ai trouvé le voyage d’Arlo très touchant et assez réussi pour ma part.
        En revanche oui, Alerte Rouge n’est vraiment pas digne d’eux

        Ah et d’ailleurs, vu cette semaine Buzz l’éclair. Pas terrible dans l’ensemble. il y avait matière à faire bien mieux.

        • Pour Buzz, j’ai été pris en dépourvu sur le premier tiers, beaucoup plus adulte que je pensais, même si l’influence d’Interstellar est un trop forte et pour le retournement de situation du méchant.
          Un peu complexe pour les plus jeunes.

          Voyage d’Arlo a souffert du graphisme lors de sa sortie, mais l’histoire est plaisante.

      • Pas digne, le mot est fort.
        Il y a toujours une scène poignante ou intelligente qui te fait dire que c’est un Pixar.

        Après il y a le départ progressif de poids lourds.
        C’est comme Ghibli.

    • Après quand je dis que le dernier film que j’ai aimé c’est Monstres Academy, ça veut pas dire que y’a rien eu d’un minimum sympathique depuis, juste selon moi trop caricatural et pas à la hauteur. C’était de la vanne au dépit du scénario, alors effectivement dans un ensemble très qualitatif parfois, mais sans intérêt selon moi. Je veux dire pour donner un exemple, Soul c’était sympathique, mais tout le film repose sur la mort cartoonesque du personnage, et la fin n’ose clairement pas aller au bout des choses. Coco tout pareil, beaucoup trop cartoonesque, Pixar n’avait jamais eu besoin d’avoir de telle caricature de personnage avant, celui de la grand-mère c’est juste pas possible par-exemple, au-delà du réel et du bon sens. Dans Ratatouille y’avait pas de personnage cliché français, donc ils peuvent faire un film culturel sans rentrer dans la caricature, après le vrai problème de Pixar étant sûrement la nouvelle direction qu’a prise Disney depuis maintenant plus de 10 ans, qui les force sûrement à faire avant tout des films pour les enfants, le problème étant que maintenant qu’ils se sont mis à dos le public adulte, c’est pas les enfants qui vont aller eux mêmes au cinéma surtout depuis l’émergence du SVOD et compagnie. Pixar est peut-être déjà mort, et c’est la seule raison de la sortie prochaine de Toy Story 5 (la bonne vanne) et Vice-versa 2…

      • Au contraire les derniers Pixar laissent grandement de côté les enfants … Trouves moi un gosse qui comprend vraiment Vice-Versa, Alerte Rouge, Soul, Coco ?

        • J’ai pas dit que les films n’avaient plus de messages cachés, ça change rien au fait que leurs films soient désormais plus que jamais destiné aux enfants qu’autre chose

  3. Ah les Final Fantasy, les jeux qui passent de « ça va être trop bien » à « non en fait c’est pas terrible… ». J’ai jamais joué à un de ces jeux… et ça ne m’attire toujours pas. Depuis le 7, y a t’il un épisode qui a marqué de manière positif les joueurs ?

    TMNT 2007 : Profitant de la lecture des Tortues Ninja : The Last Ronin (très novateur au passage), et me préparant pour Mayhem, j’ai décidé de regarder ce long-métrage.
    Si la trame principale est très anecdotique (point de Schredder ou d’ennemi connu, osé comme choix) et totalement cliché, la relation fraternelle brisée entre Léo et Ralph est interessante (bien que l’absence d’une année de Léo reste flou).
    Le graphisme a mal vieilli. Et c’est toujours marrant pour la ville qui ne dort jamais de voir les quartiers bien vides.

    DC Vampires Tome 2 : déçu… le problème vient de la forme. Les 2/3 du tome est un spin-off, ce qui fait que la numérotation « tome 2 » est un peu mensongère. Le spin-off se lit mais j’attendais beaucoup plus de retrouver les intrigues laissées par le 1er tome.

    • A part Final Fantasy VII bien sûre qu’il y en a d’autres qui ont marqué les esprits, le VI,VIII,IX,X,XI,XII, XIV et le XV qui avait un potentiel de malade mais dont la production a été calamiteuses 🙂

      • C’est pas vraiment un avis. Plutôt un constat (voire une impression) que je remarque à chaque fois qu’un nouvel épisode sort.

        Et avec la notoriété du 7, j’ai l’impression qu’il y a que cet épisode, alors que je sais que c’est faux.

    • A titre personnel, FFVII, FFVIII et FFX sont des bijous que je me refait de temps en temps, même en version d’origine. Chaque histoire est tellement construite, fouillée, les personnages sont d’une ampleur incroyable (RedXIII et son clan, quelle histoire…). Sans compter les heures et les heures et les heures nécessaires pour vraiment finir le jeu à 100%. Et je parle même pas des graphismes qui avaient 10 ans d’avance à chaque sortie originelle. Et la musique, ah, la musique…

      Après, le XII et le XIII sont bien, mais en dessous pour moi. Et j’ai jamais joué au IX.

      • Je me rappelle qu’à l’époque, le FF X avait été accueilli fraîchement par la critique.
        Et avec le temps, c’est un des meilleurs, un des plus équilibrés.

        Mes préférés sont le VIII (mais progression douloureuse dans le level up), X et VII.
        Je devrais me faire le remake du VII, car quand j’ai joué, je n’avais pas apprécié le côté personnage SD qui se déplaçait (même si je suis du collège fou fou fou).

  4. Je reposte ce message, peut-être que davantage de gens le verront ici. J’ai commencé à m’intéresser à l’univers Valiant et je voulais commencer à partir du reboot de 2016 à lire les éditions publiées par Bliss Comics. Le problème, c’est que c’est le schmil-blik et je ne sais pas par où commencer. Si quelqu’un a un ordre de lecture à partager…

    • https://www.senscritique.com/liste/guide_ordre_de_lecture_valiant/1010272
      J’ai passé un excellent moment à les lire en particulier Harbinger et bloodshot, the valiant est vraiment bien
      après je suis plus mitigé
      bonne lecture

        • Oui ça j’avais vu, mais c’est pas forcément plus clair. Je sais pas par lequel commencer. Là, ils y sont tous. Et j’ai l’ordre de lecture peut-être pour les premiers :
          1- The Valiant
          2- Ninjak
          3- X-O Manowar
          4- Bloodshot
          5- Bloodshot reborn
          6- Harbinger

          Mais après pour la suite, je sais pas…

  5. Fini la saison 1 de Severance :
    Une pépite. La mise en scène est parfaite, l’écriture intelligente, formidablement interprété, et les idées hyper bien pensées. Les 2 derniers épisodes ont fait monter la pression de façon très efficaces. Et la fin du dernier est juste parfaite. Hâte de voir la suite. Je pense me refaire la saison 1 dans quelques temps, avant que la 2 ne sorte.
    J’ai lu qu’il y avait une brouille entre les 2 show-runner. J’espère que la qualité n’en sera pas impactée. Mais comme à priori ils ont recruté le créateur de house of cards (et scénariste de andor), je reste serein.
    Je conseille chaudement cette série.
    Et je serai heureux d’en discuter avec quelqu’un ici (dommage que je ne l’ai pas suivi en même temps que beaucoup, pour en discuter à l’époque).

    Fini la saison 1 de Your Honor (avec Bryan Cranston). Ba vraiment pas ouf. L’écriture est assez bancale avec des ellipses incompréhensibles d’un épisode à l’autre ou même au sien d’un épisode. Le dénouement est bidon et très mal amené. Je ne regarderai pas la saison 2.
    On sent que c’est fait avec soin mais ça manque de talent.

  6. Bien aimé le premier épisode de Dead City, on y retrouve certes une histoire convenue mais la dynamique Negan/Maggie fonctionne, la réal est correcte, j’ai trouvé la DA plus soignée que sur les séries précédentes avec une petite (j’insiste petite) vibe « New York 1997 », hâte de voir la suite.

    En parallèle la dernière saison de Fear the WD est vraiment chiante, heureusement que c’est bientôt terminé !

    • Je te rejoins.
      Etonnamment le pilote de Dead City est pas dégueu.
      Plus léché visuellement, une bonne dynamique de duo qui s’installe, franchement sur les 5 autres épisodes sont comme ça, on aura la meilleure saison de Walking dead depuis… la saison 1 ? (haha…)

      FTWD ouais, vivement la fin… C’est long pour rien, comme d’hab. Peut-être juste l’épisode focus sur Morgan qui retourne chez lui qui était le plus « intéressant ». Il permettait de boucler les choses pour ce perso.

      • Pour Fear, me manque celui du jour à voir mais j’ai pas vraiment d’espoir… C’est très frustrant cette série car elle a montré des choses que je trouvais pertinentes par rapport à la série-mère (survie en bateau, dans un stade, en haut d’un immeuble/hôtel, etc.) sans jamais exploiter réellement le truc. Puis l’explosion nucléaire, bunker, etc. c’était chouette ! Si on avait enlevé tout ce qui n’allait pas dans TWD et mis ce que Fear avait de plus audacieux/original dedans on aurait eu la « fusion » pour une série parfaite ^^

        Quant à Dead City, j’ai quand même tiqué sur le mec qui tombe en courant, les insectes en CGI et quelques autres trucs mais au global c’est assez solide. Pour du 6 x 42 minutes en série limitée je pense qu’ils soignent davantage que le reste des prod (à l’exception des deux autres futures spin-off sur Daryl et Rick/Michonne).

        Malgré tout les défauts de ces fictions je suis attaché à l’univers, un des premiers que j’ai découvert en comics, une des dernières séries TV que je suivais religieusement depuis la saison 1 au rythme de sa diffusion hebdo durant presque 12 ans, les jeux vidéo, etc. Bref ^^

  7. Très injuste pour Pixar… Mis à part par exemple « Buzz L’éclair » (qui a beau n’avoir aucun lien avec Toy Story, il reste un divertissement qui tient bien la route avec le temps), tous les derniers films sont des champs d’expérimentation incroyable, qui demandent une exigence plus forte au visionnage, moins facile qu’il y a quinze, vingt ans.
    Pas leur faute si ces productions ont dû se terminer difficilement à cause de la Pandémie…
    Ni si les analystes ont baissé en qualité (d’attention)… Parce-que une fois qu’on a détecté quels sont les parti-pris de ces films, c’est d’une inventivité surprenante. Et souvent générateur d’émotions terrassantes.
    Et Disney les a un peu suivi là dessus.
    Analyses complètes aux Bars # 199 à 201

    Vu ou revu :

    – Toujours les Douglas Sirk, période Universal…
    Affinage de son style, ses couleurs (« Tout ce que le ciel permet » explose sa mise en scène), ses histoires aux rebondissements imprévisibles…
    Sa critique de l’hypocrisie de la Société, et son traitement ironique de tout ce qui a trait au Divin, notamment en l’associant à une obsession (« Le Secret magnifique » ou « Le Signe du païen »).
    Et un génial détournement du film de Cape et d’épée avec « Captain Mystère ».

    – « Nous finirons ensemble »…
    Décidément, quand il faut voir des films de gens un peu mâtures en vacances, on n’a jamais fait mieux que chez Sautet ou Yves Robert : avec des darons à moustaches, bien sapés, qui parlent sans ponctuer tout le temps leurs phrases de « p#tzin ! »…
    Et qui donnent ainsi l’impression de toujours bosser, même quand ils ne font rien.
    Certes c’est un peu un modèle paternel, pour les gens nés dans les années 70 à 80 (ou au delà), en mal d’hommes virils mais réconfortants.
    À partir des « Bronzés font du ski », ça s’est gâté, le côté beauf et affreux digne de la comédie italienne versant un peu dans le cartoonesque.
    Et ce n’est pas Guillaume Canet qui va réussir à égaler aussi bien le Splendid que leurs aînés.

    Pourtant « Les petits mouchoirs » était à peu près acceptable, assumant son contexte petit bourgeois dans une histoire assez méchante et morbide. Tout en injectant de petits moments cinématographiques.
    Et ici tout n’est que redite, toujours un peu méta pour une partie du casting (il aime bien transformer Marion en gueularde), mais en déplaçant le curseur d’un ami mourrant et abandonné, vers un autre dans la panade mais refusant toutes aides. Ce qui est moins fort, c’est sûr.
    Des acteurs un peu trop âgés pour être encore immatures ou pathétiques, mais pas non plus assez vieux pour créer de la tendresse… Avec des séquences, qui s’enchaînent au montage, sans le moindre rythme. Et des moments périlleux qui sont plaqués dans l’histoire, juste pour créer un petit enjeu qui permette à un ou deux d’évoluer – les deux tiers d’entre eux n’ont aucun gros problème à résoudre, donc ils ne servent pas le récit.
    Ça se laisse voir, pour les acteurs, sans plus.

    – « The Flash »…
    Analyse complète sur la page consacrée…
    Allez, pour être optimiste, disons que c’est une comédie d’action parodique, avec un petit enjeu dramatique émouvant… C’est juste que ça pèse une tonne, que son sentimentalisme est tout le temps gâché, et que c’est comme ça avec les super-héros DC au cinéma depuis 2013.
    Bonne décennie à tous !

    – « Envole-moi »…
    Après les choristes, le corps triste… Christophe Barratier laisse un peu de côté ses films Rétro pour adapter une histoire allemande (vraie, puis déjà filmée). Au côté entre-autre du duo Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, et on aurait pu croire que ça irait aussi loin que leur film « Le meilleur reste à venir »…
    Pas tant que ça, même s’il plane de temps en temps une ambiance tout aussi morbide (on évoque clairement des enfants décédés). Ça reste surtout une histoire de grand et petit frère, qui se découvrent et s’entraident. Même si un peu trop en se reposant sur l’argent.
    Légèrement amer, plus optimiste.

    Lu ou relu :

    – Sandman tome 6 – Les Bienveillantes…
    Fin de Morphée, en attendant de longs épilogues… Une histoire de femmes en colère contre un homme abusif malgré lui, et bien trop fermé sentimentalement.
    Mais Lyta Hall n’en demeure pas moins un personnage détestable (malgré elle aussi), qui s’est laissée manipuler sans peine.
    Et il faudra faire aussi avec les dessins presque abstraits de Marc Hempel.

    – Du DC Infinite avec la fin du troisième tome de Superman – la saga du Warworld…
    En mode John Carter, le grand S ne renonce jamais.
    Et début du second tome de Superman : Son of Kal El – Le droit chemin…
    Sensible, écolo, bien soutenu par Nightwing… un bon gars.

    – Detective Comics Annual 21…
    Encore Dick Grayson en vedette, avec son optimisme à toute épreuve – et les comics de Batman qui s’attaquent enfin en profondeur à la santé mentale.

    – Fin de Wonder Woman Infinite tome 2 – À travers le miroir…
    Pas un grand antagoniste, et une énième remise en question à venir pour les Amazones.

    – Fin de Flash Infinite tome 2 – Sur un autre monde…
    Encore un autre grand optimiste (pourtant, il revient de loin Wally).

    – Fin de Justice League Incarnate…
    Avec un peu trop d’explications didactiques, un excès de logique. Pour finir en queue de poisson, prélude à d’autres bouleversements – dont l’un n’est pas des moindres : la possibilité de sentimentalisme chez Darkseid ??

    – Fin de Deathstroke Inc. avant Shadow War…
    De plus en plus antihéros, mais toujours impitoyable – et à la gâchette facile.

    – Nou3…
    Le petit chef-d’œuvre animaliste de Morrison/Quitely, qui réussit en dix fois mieux ce que James Gunn a fait récemment, en mode tire-larmes. Cette variation de « L’Incroyable voyage » couplé à L’Arme X, est ce que l’on peut voir de plus clairvoyant sur la folie technologique. Avec un sursaut de compassion et d’humanité, qui surgit au bon moment au milieu de toute cette violence malheureuse (personne ne la désire là dedans, et pourtant elle est inéluctable).
    Et on ne peut pas mettre en doute la sincérité de l’auteur de jadis Animal Man.
    Ni le talent immense de composition et de détaillage de Frank Quitely.

  8. J’ai testé la démo de FF16. J’attendais de me faire une opinion sur ce jeu, étant un grand fan des FF. Savoir si je le prendrai Day One ou si j’attendais de lire quelques critiques. Eh bien, je vais attendre un peu lol
    La démo ne m’a pas enthousiasmé sur pas mal de points.
    Déjà la VF est a chier, c’est surjoué (« regardez, lui, c’est mon frèèèèère » … mais taaaagueuuuule le mioche, qu’on le tue svp !!). J’ai appris qu’ils ont été beaucoup inspiré par Game Of Thrones … et j’ai pouffé de rire ! Ceux qui ont adoré la série, je vous conseille de voir comment une prod qui fait du RPG fait un jeu a la Game of Thrones ! C’est juste nul et très mal exécuté. Les dialogues (dans la démo, qui est en fait le début du jeu) sont ringards et/ou has-been, les situations sont ultra classiques (donc vu et revu « pour prouver ma valeur, père veut que j’aille tuer des goblins dangereux » … euuuuh sérieux !!?? On a déjà vu ça dans FF7, FF8, FF9, FF10), la caméra fait parfois des siennes, etc
    Le problème majeure est dans les graphismes, et notamment la modélisation des visages des héros et autres personnages. c’est quand même daté ! Uncharted4, TLOU1 et 2, God of War … tous sur PS4 … font mieux ! Et FF16 est un jeu next gen !! Ca fait mal.
    Niveau action, il faudra un temps d’adaptation. Mais marteler le bouton carré la plupart du temps (notamment au départ), switcher entre l’attaque et l’esquive, parer et lancer des grosses attaques toutes puissantes avec L2 … j’aurais aimé avoir plus d’inspiration dans cette démo.
    Donc avis mitigé pour l’instant, j’attend les premiers retours.
    Et j’attendrai surtout FF7 Rebirth !!!!! Gros fan du jeu original (que je me refais a l’occasion), j’ai vu le trailer et grosses émotions lorsqu’on voit la version 2023 de Cosmo Canyon ! J’ai hâte !!
    FF8 reste pour moi mon FF préféré ! (Haaaaa le dernier boss du jeu, Ultimecia, et ses 55 min de baston non stop au risque de mourir et de devoir recommencer :P)

  9. Je suis passé voir Elemental

    Et l’histoire d’amour est très mignonne, très simple

    Et toujours de très bonnes idées sur l’interraction des spécificités des personnages entre eux ou leur environnement

    Le seul Bémol que j’ai en tête c’est l’inspiration historique un peu trop réelle/trop située de l’immigration européenne aux US

    Fallait peut être diluer tout ça

    • Même si c’est aussi la force du film d’aborder les thématiques d’immigration, de ségrégation, de racisme, de multicultutalisme etc aussi frontalement

  10. J’irai voir Elemental car Pixar mais c’est vrai qu’il ne me tente pas spécialement. Sinon toujours sur Diablo 4, on approche doucement du level 70 et le Tourment 4, ce jeu est trop prenant c’est chiant. (ou pas)

  11. Vu black Mirror saison 6 …
    Je pleure encore… snifffff A part l’épisode 3 , bien que trop long , le reste oscille entre bof (ep1) et catastrophiquement nul (ep4)

    • Arf..
      Je ne l’ai pas encore regardé, mais je n’en entend pas spécialement du bien.
      Déjà que la dernière saison était en dessous des précédentes. Cette série semble en plein déclin. Chnif

  12. Vu Shot Caller (L’Executeur) un drame de 2017 sur la prison de avec Nikolaj Coster-Waldau (Jaime Lannister), Jon Bernthal (Punisher) et Lake Bell. J’en avais entendu du bien et je ne savais pas à quoi m’attendre.
    Ca fait longtemps que je n’avais pas été scotché par un film comme ça et pourtant il y a peu d’action. Nikolaj Coster-Waldau y livre une prestation magistrale et vraiment touchante. Jon Bernthal est comme à son habitude, excellent et fidèle à lui-même.
    Le film ne révolutionne rien mais je le conseille pour son côté dramatique (la descente aux enfers d’un monsieur tout le monde), ses décors criants de vérité et sa musique prenante.

    Sinon je me suis remis aux épisodes de Cobra, le dessin animé des années 80 et c’est toujours aussi bon, aussi bien doublé. Une vraie madeleine de Proust.

  13. « Elle ne ment pas, et ne va pas se taire… »

    Comment mieux résumer ici, l’alliance difficile de deux types de périodes particulières de Pixar ?
    Au début, des recherches pour anthropomorphiser des concepts dans la droite ligne de Disney, faire des contes modernes, rassurants et poétiques, apprendre à maîtriser les éléments naturels, en images de synthèse proches du réalisme…
    Plus tard, conceptualiser et expérimenter encore plus (marque de Pete Docter, directeur actuel), assumer de raconter des histoires plus personnelles pour leurs cinéastes (globalement américains, mais avec un rapport ambivalent avec leur pays)… Et qui osent jouer sur la stratégie de l’échec dans leur narration, ainsi que l’égoïsme revendiqué de ses protagonistes. L’angoissante scène de l’incinérateur dans « Toy Story 3 » étant le premier gros point de rupture au sein du studio, commençant à cesser de tout le temps caresser le public dans le sens du poil.
    Point commun entre l’avant Pixar (un film par an, maxi) et l’après (plus de rendement, et de complications contextuelles)… Le sceau du Deuil et/ou du Lâcher prise.

    Objectif fût pris de raconter une vraie histoire d’amour, sur des opposés qui s’attirent, une des rares fois avec « WALL-E » (ça a failli encore arriver pour « Toy Story 4 »)… Bref, quelque chose de simple et classique, comme le Pixar d’avant.
    Et le faire à la façon de « Vice-versa », en humanisant des forces primaires, qui deviennent les métaphores des divisions sociétales… Sauf que Disney Animation a déjà une sacrée avance avec son « Zootopie », nous montrant une métropole adaptée aux diverses morphologies, mais pas à certaines.
    Idem leur « Vayana », pour ce qui est de la personnification d’éléments Eau, Feu et Terre… sans avoir à les faire parler, rien qu’en utilisant une gestuelle (splendide).
    Il y a aussi une obligation de rythme comique, avec gags souvent éculés (le gamin dragueur, on l’a vu plein de fois ailleurs) et des répétitions de situations qui sont inutiles à la compréhension (combien de fois le père va tousser et la fille exploser ?!).
    Et des images de synthèse pseudo réalistes. là où le trait élégant de la 2D aurait pu suffire pour l’ensemble du film – là, c’est souvent bizarre, des fois moche.
    Avec un titre de film simple (la « simplexité » chère à Pixar), une V.O. avec des quasi inconnus et une V.F. bien adaptée aux tempéraments des personnages, Thomas Newman à la musique, ou un générique de fin en 2D continuant le film et agrémenté de détails esthétiques… On est en terrain conquis, le savoir-faire est toujours là, mais il n’y a aucune grande surprise.

    Surtout le film a quelques problèmes de structure narrative, contenant un faux enjeu à suspense, histoire d’avoir une grosse scène d’action finale (le barrage, si étonnamment fragile qu’on dirait là aussi une métaphore).
    Ou bien des révélations non préparées, qui tombent comme un cheveu sur la soupe pour bien compliquer l’évolution de l’héroïne forte et impétueuse, avant la fin…
    D’ailleurs ça a beau être une romance à deux, le réalisateur Peter Sohn s’identifie clairement à Ember/Flam, et lui donne donc toute son attention dès le début. Tandis que son Wave/Flack (et sa famille) est trop propre sur lui – encore cet archétype moderne de jeune homme sensible et inoffensif, bien que Sohn se revendique lui-même comme tel.
    En même temps, dans « West Side Story » Maria est plus intéressante que Tony… Et dans « Monstres et cie », on suit plus Sully que Mike/Bob (et inversement dans le prequel). Ça n’a rien d’inhabituel qu’un duo cinématographique ait un personnage dominant. C’est aussi le signe d’un réalisateur ayant un point de vue précis.
    Et pas complétement universel.

    Si on prend son premier film, le sous-estimé « Voyage d’Arlo », déjà il y a des choix qui challengent la patience du public… Et une fabrication douloureuse qui s’infuse dans le scénario, aussi bien en allant dans son sens que… en allant à contre-courant.
    Il y avait alors la perte d’un réalisateur Et d’un père dinosaure, avec un jeunot devant faire très vite ses preuves. Mais aussi un tournage relativement rapide (2 ans !), alors que la mise en scène y multiplie les instants contemplatifs.
    Pour « Élémentaire », c’est un film qui s’adresse toujours en priorité aux enfants en apprentissage, mais sa conception s’est par contre faite sur une longue période de 8 ans, charriant dans son évolution la perte des parents de Sohn, l’éternelle immigration en quête d’une meilleure vie et les hausses de la xénophobie ordinaire, la tension et le repli sur soi accentués par la pandémie… alors que son récit, lui, va très vite, court le plus possible en quête de l’alchimie évidente (donc élémentaire) entre ses deux protagonistes.
    Lorsque celle-ci se manifeste enfin, de façon carrément concrète… il est possible qu’il soit trop tard, qu’on s’en soit désintéressé. C’est un risque.

    De toute façon, ce qui résume bien le propos du film, c’est le Tiraillement :
    Entre raconter une histoire entièrement communautaire, seule contre toute (d’où le long prologue), aux sonorités visiblement orientales et moyen-orientales… et montrer au contraire des liens se créant avec d’autres communautés.
    Entre présenter des êtres ordinaires et faillibles, dans leur quotidien… et montrer qu’ils ont des capacités protéiformes qui les rendraient aussi invincibles que des cartoons, dans un univers dont on peine à comprendre tout le fonctionnement (qu’est-ce qui fait qu’un élément peut être humanisé ou non ?).
    Entre le soucis de Sohn de toucher à l’émotion la plus juste… et sa drôle d’obsession pour les personnages réagissant de manière hystérique et ridicule à la moindre petite contrariété (le garçon et sa famille sont aussi facilement pleurnicheurs que Arlo – comme Sohn ?), même en y trouvant une étonnante utilité au récit.
    Entre le respect des traditions, des sacrifices faits par ses aînés… et l’envie de s’en émanciper sans être irrespectueux.
    Entre les spectateurs qui ne vont pas aimer un Pixar si modeste et calibré, qui en plus les renvoie à toutes ces interrogations politiques pas très rassurantes, malgré quelques jolies scènes… et ceux qui vont aimer être un peu bousculé (y compris dans leurs certitudes), malgré quelques fausses notes et beaucoup de bons sentiments.

    Mais il existe une façon plus optimiste pour exprimer qu’on est tiraillé entre des sentiments contradictoires. C’est « être partagé ».
    En tout cas, c’est tout sauf de l’eau tiède.
    Donc précieux.

  14. J’ai vu ce matin Élémentaire juste après Indy 5. Bon bah c’est la formule classique de Disney Pixar depuis de nombreuses années. Ça fait le boulot mais c’est pas le nouvel événement indispensable, on est loin de Toy Story, Wall E ou Coco

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