Skeleton Crew : Votre avis sur l’épisode ‘Can’t Say I Remember No At Attin’ [1×04] !

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Mais c’est que le mystère s’épaissit ! Avec cette histoire de planète-miroir, Skeleton Crew continue de repousser les limites habituelles de l’univers Star Wars (#StarTrek). L’épisode de la semaine est réalisé par Daniel Kwan et Daniel Scheinert (Everything Everywhere All at Once, Swiss Army Man) et on peut dire qu’il est assez chargé, bien que toujours trop court : on passe en un instant de la révélation At Attin/At Achrann – ne manque plus qu’At Lantis ! – aux horreurs de la guerre du point de vue d’enfants soldats. Et punaise, le chef de la tribu des Troiks n’est pas un Matthieu Kassovitz de l’espace… c’est bel et bien Matthieu Kassovitz ! Les Joyaux de l’Ancienne République sont-ils une expérience sociétale à grande échelle, façon Fallout ? Avec son courage et sa trompe, Neel arrivera-t-il à vaincre à lui tout seul l’autre Schtroumpf du moment, j’ai nommé le Grand Amiral Thrawn ? Et surtout, qu’avez-vous pensé de cet épisode ? A vos datapads !

Skeleton Crew – Saison 1 – Episode 4 – ‘Can’t Say I Remember No At Attin’ : Nos héros découvrent un univers familier et surprenant.

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La série Skeleton Crew est diffusée chaque mercredi sur Disney+, avec Jude Law (Jod Na Nawood), Ravi Cabot-Conyers (Wim), Ryan Kiera Armstrong (Fern), Kyriana Kratter (KB), Robert Timothy Smith (Neel) et Nick Frost (SM-33).

11 COMMENTAIRES

  1. Mes enfants adorent. Moi je trouve ça très sympa (décors, visuel), ça me rappelle comme bcp évidement les goonies. Mais bien trop court… La fin c’est abusif.

  2. Haha, l’apparition de cet acteur bien de chez nous, voilà une belle surprise !
    Et en parlant d’acteur, cet épisode est l’occasion de saluer la performance de Nick Frost 😉
    Perso, je suis séduit, et c’était pas gagné après l’énorme déception de The Acolyte : comme quoi des gamins peuvent être bien dirigés (bim !)

  3. Toujours attachant. Le cinéma Amblin des 80’s fonctionne, les aventures des Goonies de l’espace se regarde avec plaisir. Un peu de nostalgie bienveillante, quand elle est bien menée, ne peut pas faire de mal.

    J’espère toutefois qu’on ne va avoir ce type de scénario un peu systématique qui nous mène d’une planète à l’autre pour ne conserver que 20mn d’explications dans l’épisode final. Même si c’est un peu l’essence de Star Wars, ce schéma répétitif pourrait lasser.

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