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Alors que Star Wars ne sait plus trop par quel bout se développer, Star Trek innove avec un premier film de plateforme, Star Trek : Section 31 sur Paramount+ ! Michelle Yeoh – qui aurait très bien pu snober la franchise après avoir remporté l’Oscar de la Meilleure actrice pour pour Everything Everywhere All at Once – est donc de retour en Philippa Georgiou, un rôle qu’elle tient depuis la saison 1 de Star Trek : Discovery en 2017. Sans transition, après Marvel et Indiana Jones et avant Star Wars et DC Comics, James Mangold s’offre une petite incursion dans l’Univers Cinématographique de Bob Dylan, avec le biopic Un parfait inconnu, qui permet à Timothée Chalamet de devenir le plus jeune double-nommé aux Oscars depuis James Dean (#LisanAlGaib !). Alors, y a-t-il des fans du Rimbaud du Rock dans la salle ? Dans tous les cas, à vos claviers et très belle semaine à tous !
L’Impératrice Philippa Georgiou intègre une division secrète de Starfleet, dédiée à la protection de la Fédération des Planètes Unies, tout en étant confrontée aux fantômes de son passé.
La question est plutôt : est-ce que Michelle Yeoh n’a pas eu de meilleures propositions malgré son Oscar ?
Le rôle d’une vie ?
On pourrait même faire un parallèle avec Mangold, obligé maintenant de nous refaire le coup de « Walk the Line » (Johnny Cash apparaît même dans ce nouveau film)…
Tandis que les longs efforts de Chalamet pour se mettre dans la peau de Bob Dylan ne semblent pas encore couronnés de grands succès.
Vu :
– Toujours la spéciale adaptations des comics DC (et peut-être au delà, plus tard), avec encore la série télé « Batman » – de 1968, troisième saison.
Et une nette amélioration, grâce à une personne : Yvonne Craig en Batgirl.
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– Fin de la mini-série « Rivages »…
Cette histoire de Jonathan Rio et Monica Rattazzi, inspirée d’un événement triste avec une orque, se développe sur fond d’histoire mélangeant Écologie – le contact tragique avec une espèce sous-marine inconnue – et Économie – les pêcheurs de Fécamp, qui ne peuvent survivre sans leur travail…
Mais le point central, qui lie toutes les histoires et empêche la série de trop se disperser vu qu’on a aussi un mystère possiblement surnaturel, un enfant malentendant, un flirt trompeur avec un gendarme, un maire à la Amity (Éric « Daniel Craig » Herson-Macarel), une référence évidente à « Abyss » (les lumières violettes, les incidents malheureux se multiplient, les militaires s’incrustent, eux et les marins qui perdent progressivement patience)… on l’a dans le dernier tiers de l’histoire :
C’est avant tout une histoire de deuil difficile entre une mère qui a fui, et une autre qui ne le veut pas. Chacune devant accepter l’échec, et laisser le temps guérir les blessures, même quand elles viennent involontairement d’autrui. Ça vaut aussi pour plusieurs autres personnages.
Et au milieu de quelques archétypes pas bien originaux (l’enfant « prescient », le vieux sage, le prof tête en l’air, la geekette multi tâches), l’ensemble du casting reste incarné par des visages dont on connait bien l’efficacité.
La sensibilité intense de Fleur Geffrier, la justesse de Guillaume Labbé, la solidité de Thierry Godard, la douceur de Jean-Marc Barr (encore un clin d’œil aquatique évident), la pugnacité de Olivia Côte, le bourru Christophe Perez…
Rien de révolutionnaire, ni de trop spectaculaire… Mais le peu qu’on se est déjà satisfaisant, y compris au niveau de l’émotion.
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Lu :
– Intégrales Flash Gordon de 1951 à 1961…
Mars et toutes les autres planètes, de plus en plus de méchantes cupides, l’apparition des bulles de dialogue (7 Juin 1953), le retour sur une Terre désormais futuriste, des tas de colonies dans l’espace, une Dale Arden encore plus intrépide (mais imprudente aussi), des petits contes moraux, la participation au scénario de Harvey Kurtzman, Robert Kanigher ou Bill Finger…
Et toujours Dan Barry, sur les dessins efficaces de Marc Raboy.
– Jason Aaron arrive sur Action Comics, avec le petit arc Moi, Bizarro…
Superman mis en difficulté comme jamais, dans une histoire qui parle un peu d’estime de soi. Un tantinet précipité (y avait du crossover juste après), mais intéressant.
– Nightwing : Une histoire de famille…
Diptyque qui nous rappelle la force morale du héros – et en backup Le Fils de Gray, dont on ne sait si c’est un mini Elseworld ou une aventure passée canonique.
– Batman : Sombres prisons…
Encore un Batman remplaçant plus extrême, en attendant la contre-attaque du vrai héros.
– Début de Wonder Woman : Sacrifice…
Une mise à l’épreuve qui emmène l’héroïne aux bords de la folie – très bon angle d’approche.
– Green Lantern : War Journal…
Philipp Kennedy Johnson continue à développer son intrigue liée aux mythologies cachées du Warworld, sans citer une seule fois la tribu Indigo ou les Black Lanterns (alors qu’il y a de quoi).
– Pendant que sur la série principale Green Lantern, Jeremy Adams éclaire les choses sur la situation du Corps, Hal Jordan et… Créé des liens entre le Spectre de la Volonté et la Sève (sans citer une seule fois le Green Lantern New 52 de Terre 2). Quitte à utiliser n’importe comment un vieil ami ?
Pour Michelle Yeoh, c’est surtout que le projet SECTION 31 est en gestation depuis 2020, donc avant qu’elle ne remporte son Oscar. Maintenant, j’ai aussi la naïveté de croire que c’est un peu comme Samuel L. Jackson avec le Marvel Cinematic Universe : elle s’amuse dans l’Univers STAR TREK, alors autant en profiter tant qu’on lui propose. Et pour le coup, vu comment elle cabotine dans le téléfilm, on doit pas lui donner beaucoup de directives, c’est peut être agréable pour elle.
Bon, bein c’est fait … je crois … c’est officiel, j’ai complètement terminé Elden Ring et son DLC Shadow of the Erdtree … j’ai beau fouillé partout partout, je ne trouve plus de catacombes ou de tombes ou de grottes ou de geôles a fouiller, plus aucun nouveau boss a battre, plus aucun manuel a découvrir. La fin d’une magnifique époque se termine !! Un chef d’oeuvre extraordinaire ou j’aurai passé environ 355h dessus (Jeu+DLC) … quel pied ce jeu !! Quelle leçon de maître sur le level design !! Et quelle direction artistique renversante ! Je suis très content de l’avoir tenté … et fini ! (et un « petit » merci a Ayorsaint pour ses précieux conseils ! :D)
Maintenant je me tâte pour faire Demon’s Souls Remake (sorti en 2020) ou Dark Souls 3 😀 … J’aurai trop de mal a faire Dark Souls 1 et 2 tellement ils ont vieillit graphiquement (et au niveau des animations du personnage) … ce qui ne m’a pas empêché de regarder un full let’s play de DS1 par contre (je regarderai le 2 plus tard)
Je conseille vraiment ce jeu a tous ceux qui rêvent d’aventure, de dépaysement, d’une très longue balade (et bataille) dans le monde de l’entre-terre … et qui rêvent aussi de challenges, sans être pris par la main toutes les minutes ! 😀
Un must have.
C’est pas fini ! Elden Ring Night Reign pour cette année =D
En espérant que le jeu puisse se jouer en solo, vu que je ne joue jamais en multijoueur !! haha 😛
Alors perso j’ai pas kiffé Section 31.
Trop foufou. Je m’attendais a quelque chose de plus sérieux.
J’aimais bien la section 31 de Deep Space Nine.
A quand un Star Trek sur les voyageurs temporelles donnant suite au retour du fils Crusher à la fin de saison deux de Picard.
Je pensais qu’il y aurait un lien puisqu’à la fin de son parcours dans Discovery, la Gergious avait traversé un portail particulier.
Et avec cette fin n’y a t-il pas un risque du retour de la maladie?
Il y aussi le passage ouvert, toujours à la fin de Picard saison 2 qui n’a pas été résolu (avec Queen Borg 2.0).
Il reste Strange New World que j’ai adoré et La nouvelle academy qui arrive.
Sur Max je suis tombé sur Sambre (le violeur) une mini série française vraiment bien faite. L’histoire s’étale sur 30 ans, les acteurs sont les mêmes, le maquillage est vraiment bien fait.
Section 31 c’est un mélange de Suicide Squad et de Mission impossible ; j’ai trouvé pas mal et pas besoin d’avoir vu toutes les séries Star Trek pour comprendre l’histoire !!!
J’ai SECTION 31 samedi et je regrette d’avoir insisté pour qu’on en parle ici, je suis désolé mdr.
Petite précision : Michelle Yeoh incarne Philippa Georgiou depuis 2017. Mais effectivement, sa version « Mirror Universe » apparait à la mi-saison de DISCOVERY, donc en janvier 2018 🙂
Severance (Apple tv) Saison 2 :
autant le 1er épisode était un peu en-dessous j’ai trouvé, vis-à-vis de la fin de la saison 1, autant le 2e épisode m’ a nouveau donné l’impression de master class qu’est cette série. Quelle qualité d’écriture, de mise en scène, d’idée créative, d’approfondissement de l’univers, d’intelligence, et de photographie.
Vivement la suite
Présumé innocent (Apple tv, avec Jake Gyllenhaal) :
Vu les 2 premiers épisodes pour l’instant. Pas mal du tout pour le moment. Le casting est très bon, l’histoire bien écrite et un show qui prend son temps pour poser les relations et les enjeux, et chaque fin d’épisodes te donne envie de poursuivre. Il manque ptete un ptit quelque chose niveau réalisation pour faire décoller un peu le show en terme de qualité, mais ça reste un bon cru pour le moment.
Silo (encore Apple tv 🙂 saison 1
1er épisode, excellent, dans l’ambiance, l’univers, l’écriture des personnages, le mystère
Un p’tit tuc en plus
Sympa, bonne vibe, touchant par moment (j’aime beaucoup l’explication du titre), mais le film tombe dans un dernier acte d’une naïveté qui entache l’ensemble.
3/5
Je me suis refait les James Bond de Pierce Brosnan, ayant grandi avec, je voulais les revoir avec mon œil adulte et bien… ouch..
Qu’est-ce ça a mal vieilli, en terme d’écriture (ce côté macho et coureur de jupon était très gênant par moment, je sais que ça fait partie du perso, mais ils sont allés loin avec cette version je trouve) ou même d’effets visuels (Meurs un autre jour, une honte visuelle) et de rythme. Même Goldeneye m’a paru assez fade. Le pire c’est que, après ces visionnages, je trouve que Demain meurt un autre jour est le meilleur des 4.
Et je gardais un excellent souvenir de Sophie Marceau, pensant même que c’était la meilleure james bond girl, et bien je revois grandement mon avis après revisionnage.
Goldeneye 3-3.5/5
Demain ne meurt jamais 3.5/5
Le monde ne suffit pas 2-2.5/5
Meurt un autre jour 2/5
Demain ne meurt jamais est celui qui s’est bonifié avec le temps: de l’action en effets pratiques sans que ce soit mou, des thèmes toujours d’actualité (sans jeu de mots), un méchant qui s’apparenterait à un pré-Elon Musk, une Michelle Yeoh au top de sa forme.
C’est une saga qui a mal vieillie. Au point de devenir une parodie de lui-même du film d’espionnage. Je peux accepter l’extravagance et tout et tout quand il faut débrancher le cerveau mais des fois… (je suis aussi de la génération Brosnan)
Heureusement qu’ils ont réussi à moderniser tout cela avec Daniel Craig.
« Goldeneye » je suis toujours fan
« Meurs un autre jour » est ridicule mais il a un début marquant (Bond torturé encore et encore et encore en Corée du Nord, avant d’être échangé car on pense qu’il a cédé et trahi, c’était quand même quelque chose d’osé)
@Dennis
Oui les scènes d’actions sont vraiment très divertissantes, et le final satisfaisant, avec pas mal de moments cultes durant le film. Michelle Yeoh est tellemnt jeune dans ce film, ça m’a fait bizarre sur le coup.
@Pirail
je te rejoins
@WeaponX
Oui Meurs un autre jour a un début vraiment intéressant, mais le reste tombe tellement bas à côté…
Vous avez vraiment découvert Michelle Yeoh avec ce James Bond? 😱
J’aimerais les revoir aussi mais il y a certains films, je pense, qui appartiennent à leur époque et ne sont plus regardables aujourd’hui. Malgré la classe hallucinante qu’avait Pierce Brosnan, je vais le laisser à mes bons souvenirs.
@Garyus
Non je n’ai pas découvert Michelle Yeoh avec James Bond ^^
Mais depuis le temps qu’on la connait, ça faisait bizarre de la revoir aussi jeune dans ce rôle
Je te rejoins pour la classe de Brosnan, mais l’écriture de son perso appartient effectivement à une autre époque
Ca nous rajeunit pas ^^
Vu Kraven the hunter pour me faire mon propre avis.
Ben franchement je languis les notes du super classement Boss 😉
Je vais me faire plaisir… Pas grand chose à sauver si ce n’est les abdos de ATJ
Sinon commencé The Punisher Netflix pour me mettre en bouche avant Born Again. Je ne m’attendais pas à un truc aussi « espionnage » mais c’est quand même fort agréable à suivre.
The Punisher saison 1 est ma favorite de toutes les séries Defenders Netflix. Suivi de très près par les 3 saisons de DD certes, mais Punisher je ne sais pas, il y a un truc spécial.
Le jeu de Jon Bernthal sûrement… Il avait porté DD au firmament également
@ayorsaint: Tu penses que Kraven est pire que Thor Love and Thunder, The Flash ou Venom 2?
C’est dans la même catégorie pour moi.
Le pire étant que Black Panther dans Civil War me semble mieux « animé » que ce Kraven dont les déplacements semblent étranges sur=tout sur les mur et parois.
Tu es dur ^^
Perso, j’ai trouvé ce film passable et ennuyeux mais pas aussi mauvais que les trois films que j’ai cités. Je n’ai pas eu autant de facepalm et d’envie de quitter la salle avec Kraven que pour ces films là.
Mais je comprends que Kraven déçoive.
En fait le film se prend au sérieux contrairement aux trois autres que tu cites. Mais c’est peut-être encore plus navrant du coup par instants…
J’ai accroché pendant 30 minutes je dirais puis ce fut la descente aux enfers chaque perso étant plus maltraité que le précédent.
Les goûts et les couleurs… Mais j’ai détesté Love and Thunder aussi je te rassure. Quand à Flash je crois que je l’ai carrément erase data 😉
The Flash est tellement mieux que Kraven. Franchement The Flash, si on lui met des effets spéciaux potables et qu’on enlève la parenthèse multiversielle inutile, on a un bon film
La scène d’intro dans la prison était efficace et puis après on se fait bien chier et les personnages très mal écrits. D’ailleurs Thor 4 et Kraven ont en commun un Russell Crowe complètement aux fraises avec un accent débile mais débile.
@WeaponX: Comme dit ayorsaint, les gouts et les couleurs… J’aimerais oublier ce film tellement je l’ai détesté, oublier aussi Batleck et son nez patate, le surjeu de Keaton, les spaghettis et l’insupportable Ezra Miller.
https://www.youtube.com/watch?v=zU9iYVatnP8
Désolé de t’empêcher de l’oublier mais je tente mon coup. Elle est pas belle comme scène ?
J’avais complètement oublié cette scène 😅
Mon dieu, qu’Ezra Miller joue mal. Même Superboy dépressif.ve je l’avais oublié.e. Quand iel s’envole avec Flash dans ses bras, oui c’est vraiment beau mais ce ne sera pas suffisant pour me faire oublier à quel point je déteste ce film.
Je risque pas de l’oublier j’avais adoré Supergirl dans le film et cette scène en écho du sauvetage de Kara par Barry était vraiment belle (point d’orgue du film à mes yeux)
Le choix de Sasha Calle était ultra malin. Une Supergirl de qualité mais, en même temps, vu le contexte Flashpoint du personnage et le physique atypique pour Kara, elle ne pouvait pas faire de l’ombre à la Supergirl « classique » à venir.
Je n’ai rien personnellement contre Sasha Calle que je trouve très talentueuse en plus d’être très jolie. Par contre le fait de l’avoir appelée Kara Zor-el, je ne suis pas d’accord.
Ca aurait très pu être Cir-el ou Claire Kent que ça n’aurait rien changé au schmilblick mais il a fallu une petite polémique pour casser les couilles aux fans. C’est tellement un passage obligé.
J’ai vu hier Nosferatu d’Eggers. Je vais être transparent, je suis plutôt sensible sur les films d’horreur et c’est la raison pour laquelle j’évite d’aller les voir sur grand écran, enfin en tout cas pour les films contenant des jumpscares. Je suis beaucoup plus porté par les films d’horreur psychologiques où l’ambiance et l’atmosphères laissent parfois place au contemplatif et autant dire que j’ai été envoûté par le film d’Eggers.
Vraiment de très belles références et citations aux précédentes versions. Photographie impeccable, décors somptueux (tout le premier tiers au château d’Orlok était savoureux – un parfait alter ego à Reeves et Oldman du Dracula de Coppola), musique entêtante et évidemment costumes et maquillages bluffants. Côté scénario, on retrouve tout de l’art du vampyrisme et au niveau de la distribution… bon là je suis un peu plus mitigé. Car d’un côté on a une performance exceptionnelle du duo principal (Depp/Skarsgard) et de l’autre des seconds rôles vraiment inégaux. En particulier ces deux gugusses que sont Nicholas Hoult et Aaron Taylor-Johnson, les deux ex super-anti-héros, taillés pour RIEN, dans aucun de leurs films. Vraiment Universal a réussi à me réunir les 2 acteurs qui me sortent par les yeux. Heureusement que Willem Dafoe est là pour nous rappeler à quoi ressemble une prestation engagée.
Bref incroyable. Et je ne comprends toujours pas pourquoi Robert Eggers est autant sous-estimé, tous ses films ont une patte unique et reconnaissable et ils sont tous extrêmement divertissants, mais aussi bien écrits. Sans déconner, on adule Ari Aster, alors pourquoi pas lui ?
Ensuite, je poursuis toujours mon marathon MCU pour faire découvrir l’intégralité à l’un de mes amis. Nous avons fini la Saga de l’Infini. Il a pleuré à la fin d’ENDGAME et a été surpris d’apprendre que c’était Spidey 2 qui bouclait la saga. Il adore toujours autant Tom Holland (je le hais toujours autant) mais il n’a pas non plus accroché plus que ça sur Far From Home. Il était au courant de la news que Dr Doom serait incarné par Downey Jr, il ne comprend pas après avoir vu Endgame, et bah mon vieux j’ai envie de te dire nous non plus 😅
Nous débutons très bientôt la Saga du Multivers, et nous allons le faire au complet donc en incluant les séries Disney et les films dans l’ordre de sortie. Exceptionnellement, je lui ferai découvrir Deadpool 1 et 2 avant le visionnage du 3 pour qu’il ne soit pas largué mais je pense que je vais le laisser regarder dans son coin la saga des Defenders sur Netflix pour se mettre à jour sur Daredevil et par extension découvrir une putain de série ! Bref, les 3 prochaines étapes seront : WandaVision, Falcon, Loki. Je n’ai pas hâte de me retaper la seconde 😅
Ça va il est pas trop fatigué ? Je dis ça dans le sens où quand je me refais la saga Star Wars (un jour, un épisode) en général quand j’arrive au 6, j’ai hâte que ça se termine (oui j’ai dit 6, pas 9 😜)
Bah écoute on se fait 2 voire 3 soir par semaine ce marathon, composé essentiellement de 2 films sauf si gros film genre IW ou ENDGAME. Pour lui c’est la découverte donc il adore. Après faut dire qu’il a un long arrêt maladie donc ça compense aussi le temps où il est obligé de rester chez lui, ça permet de penser à autre chose.
Mais même moi je dois dire que je trouve ça cool de tout se refaire (je crois que le pire c’était vraiment de se taper Thor 2 à nouveau), ça me permet aussi de me mettre à jour et visualiser les clins d’oeils et indices dissimulés un peu partout pour la suite. Notre objectif est d’être à jour avant la sortie de Captain America 4.
Vu Nosferatu hier, comme j’avais déjà vu les deux précédents Nosferatu et le Dracula de Coppola, honnêtement j’ai pas du tout accroché à cette version 2024 malgré ses indéniables qualités esthétiques ^^
Attends Thor 2 est un chef d’œuvre comparé à Thor 4 😉
… sans les séries « Agents of Shield », Netflix etc ?
Ni même ce qui vient de Fox et Sony (maintenant liés au MCU) ?
Salut Boss ! J’ai 2 petites questions pour toi :
– Sais tu pourquoi Marvel Legends s’est terminé ? C’était quand même bien pratique pour se remettre à jour ^^
-Sur le planning à venir de Marvel Studios, il est mentionné un film pour février 2026 si je ne me trompe pas, tu penses vraiment qu’il y en aura un ou la date va être supprimé du calendrier ?
=> Pour Marvel Legends, ils ont du faire le tour et/ou personne ne regardait ?
=> Vu qu’on est bientôt en février – donc seulement un an avant la date en question -, ce sera très probablement supprimé discrétos lors de la prochaine mise à jour du calendrier Disney.
Vu et joué Cyberpunk 2077 et Cyberpunk Edgerunners.
Je suis content d’avoir attendu autant de temps pour me lancer dans cette aventure. Les nombreuses mises à jour ont rendu ce jeu quasi parfait.
Quelle aventure mes amis! Quel univers! Quelle écriture!
Je n’ai pas envie de quitter cette ville folle qu’est Night City (j’en suis au DLC).
En regardant plusieurs vidéos sur Youtube, je me rends compte à quel point ce jeu et cet anime ont bouleversé ceux qui y ont joué dans le monde entier.
Et pour l’anime, j’en fais clairement partie. 10 épisodes d’une intensité folle avec des émotions si fortes.
Le jeu s’est vu attribuer ces derniers jours, l’évaluation d’Extrêmement positive sur Steam malgré un départ si chaotique.
Nul doute que ce jeu devenu culte fera l’objet un jour d’une adaptation live tant cet univers est passionnant.
Et je dois ajouter qu’il s’agit du jeu le plus woke que j’ai pu voir mais tout colle tellement à cet univers que ce n’est en aucun cas dérangeant. Au lieu de reprendre des licences qu’on adore pour les woke-washiser, les studios feraient bien de développer une histoire originale dans cet univers si propice à cette idéologie. Tout le monde sera content.
Sinon en vrac,
– Sakamoto Days: Sympa mais rien de nouveau sous le soleil.
– Solo Leveling Saison 2: J’adore. L’écriture coréenne et le talent japonais. J’espère que l’anime aura autre chose à proposer que cette histoire d’Isekaï inversé. Mais qu’on ne me spoile pas par pitié.
– Dexter Original Sin: Ma série préférée, qui se déroule maintenant dans mes années 90, avec le générique original et qui revient aux sources de la série originale: Miami la belle, serial killers, Miami Metro et ce casting de fou furieux. Mon bonbon de la semaine.
– (re)Vu: Independance Day. OMG comment j’ai pu aimer ce film à l’époque? Rien n’est bon! Et c’est looong! Une vraie torture. Même les daubes du MCU, du DCEU et du SSU sont des chefs d’œuvre à côté^^
Il faut que je me mette à Solo Leveling d’urgence c’est une honte !!!!!
Adoré aussi Cyberpunk, dont la rejouabilité est pertinente (mais pas encore faite). J’ai eu énormément de mal à rentrer dedans (même failli abandonné), mais faut persévérer en effet ! Le DLC apporte une nouvelle dimension. Au final, une de mes plus grandes expériences du genre, malgré la répétitivité de tâches secondaires.
Si tu veux poursuivre Garyus, il y a un roman et une dizaine de comics (chacun étant un récit complet indépendant). La qualité est variable.
Je me suis procuré le jeu de plateau/figurine ce weekend, pas encore joué mais ça a l’air bien chouette !
@ayorsaint: Oui honte à toi en effet ^^
@Thomas: Pour les quêtes secondaires, je pense que tu veux parler des petites missions à côté parce que les vraies quêtes secondaires, c’est juste de la folie. Entre l’enquête sur le gamin enlevé et celle du politicien manipulé par les grosses entreprises, je n’ai jamais vu de quêtes secondaires aussi bien écrites dans un jeu!
Et merci pour le roman et les comics, je vais tenter ça. Cet univers est juste fou et je refuse de le quitter.
Quant au jeu de plateau, j’aimerais mais j’ai personne pour y jouer. 😅
@LTH : Qu’as-tu pensé de la série Batman, Caped Crusader ? As-tu accroché ?
Pourquoi la série n’a pas été diffusée sur Max ?
Vu il y a quelques mois, passé un bon moment sans plus, car on baigne déjà dans du Batman H24. Mais pour des enfants qui découvrent le personnage, ça ne pourra qu’être génial. Si Max n’en a pas voulu, la raison est forcément économique, donc c’est sans doute que ça rapportait plus de la vendre à Prime Video que de le garder. Et faut croire que David Zaslav a peut-être une dent contre l’animation.
– « Vol à haut risque »
Aujourd’hui, dans la catégorie « Mais qu’est-ce que t’as encore foutu !? »…
On devrait le savoir depuis temps, Mel Gibson est quelqu’un qui ne va pas bien, qui est un dépressif chronique depuis des années. Il le cachait bien grâce à un côté séducteur, exalté, voir même à un humour débile (soit la définition complète de Martin Riggs). Jusqu’à verser dans les pires travers quand il a la tête en vrac (avec ou sans alcool et stupéfiants)… et régurgiter les pensées les plus étroites que lui a inculqué son père, histoire de blesser ses pseudos adversaires. Toujours verbalement, mais c’est déjà trop.
La réalisation de films arrive à mieux le canaliser, tandis que pour l’acteur… plus beaucoup de grands rôles au cinéma, les quelques amis qui lui filent un coup de main de temps en temps (Robert Downey Jr, Jodie Foster…) n’arrivent pas à faire déborder leur aura rassurante sur lui.
Il est plus « radioactif » que jamais, et malheureusement il a l’air de se complaire dans ce rôle de petit martyr, sans se prendre non plus pour Jésus Lui-même, ouf !
Renforcé par la perte de sa voix française historique, le comédien Jacques Frantz – ça n’a l’air de rien, mais pour les acteurs américains chevronnés, c’est souvent le début de la fin…
Résultat, même en tant qu’acteur il se fiche un peu d’être là, il a pris de l’âge, enchaînant les Séries B aux sorties limitées (DVD ou VOD pour le reste du monde), dont certaines peuvent être thématiquement d’un goût douteux au vu de sa réputation – mais joue-t-il justement là dessus, de façon blagueuse ?
Et qui aurait cru que lui aussi dirigerait une Série B, simple et sans fioritures, mais qui grâce à sa présence à la réalisation peut se permettre de sortir sur plus d’écrans dans le monde..? Alors qu’on est très loin de ses projets habituels depuis « Braveheart », ces fresques égotiques et spectaculaires qui explorent la violence dont est capable l’humanité – laquelle violence n’est plus aussi supportable aujourd’hui, c’est un fait.
Est-ce qu’on va être orphelins d’un réalisateur comme il n’en existe que très peu ? Sachant que son comparse George Miller n’a pas immédiatement convaincu avec son « Furiosa » – mais lui montre beaucoup des individus qui accèdent à la stature de mythes, dans un monde rude et fantasmatique. Ce n’est pas le même cinéma que Gibson, très légèrement iconoclaste (malgré sa boîte de prod du nom de Icon), et pour qui les mythes peuvent exister via les personnages les plus triviaux, imparfaits, dans un monde plus réaliste.
Ce que représentent complètement les protagonistes de ce « Vol à haut risque », dont la facture de Thriller, tel qu’il nous est vendu, est peut-être une autre manipulation goguenarde de la part de Mel Gibson. Parce que d’une certaine façon, le film qu’il nous présente n’est rien d’autre… qu’une Comédie.
Mais une comédie méchante, grossière, sale, couillonne… L’humour tel que l’envisage Gibson depuis longtemps : agressif, assez macho. Enrobé d’un peu d’action, de péripéties et d’archétypes polardeux ultra rebattus…
Le témoin, la flic, le tueur, le huis clos, les autres personnages qui n’existent que via la radio (prétexte à créer du suspense parano), l’avion à faire poser même si on ne sait pas piloter etc… On a déjà vu tout ça ailleurs, surtout dans les années 90. Il y avait même un peu de ça dans le récent film « On the Line » dans lequel il jouait (et qui était très faux derche).
Gibson réutilise donc tous les codes du genre, mais sans trop les détourner… par exemple, subtiliser des lunettes. Pour crocheter une serrure, comme son pote RDJ dans « US Marshals » ? Non, pour limer des lanières comme un forcené… sans que personne ne le remarque.
Incohérences en pagaille ? Oui et non, le dispositif du film étant en quasi temps réel (le temps d’une traversée, avant de manquer de carburant), dans un avion où il faut souvent un casque pour s’entendre et se parler, avec uniquement des situations de stress… on peut alors accepter que les personnages oublient ou loupent un paquet de trucs se déroulant dans leur dos – et que le spectateur, lui, ne loupe pas.
Mais l’autre raison est justement que nos trois protagonistes sont clairement identifiés comme… des idiots ordinaires – d’où Comédie.
D’ailleurs c’est sur une comédie grasse et banale, « Very Bad Dads 2 », que Gibson et Mark Wahlberg se sont rencontrés, ont sympathisé (tous les deux cathos et avec quelques casseroles aux fesses)…
L’acteur n’a certes pas les épaules pour incarner le type de psychopathe qu’on devrait s’attendre à voir dans un Thriller au dessus du lot. C’est à dire sans vrai patronyme, mytho, le mal absolu rien que par la parole… et pouvant pousser les protagonistes les uns contre les autres, renforçant la partie Survival de l’histoire, où l’entraide se retrouverait sur le même plan que l’autopréservation (à un moment donné, il va peut-être falloir faire un sacrifice). Sur ce point précis, hélas, Gibson n’explore pas ce potentiel, et tout au plus la performance de Wahlberg peut se rapprocher des premiers rôles de Richard Widmark – des dingos pervers qui ne s’arrêtent pas de rire.
Sinon, sa grotesquerie est surtout raccord avec des gros méchants de comédie ricaine. Tout ce côté très Mascu, sadique, obsédé par la prison, finalement mis de côté dans la narration et bien pathétique (la calvitie gadget), ça pourrait aussi bien être Ian McShane dans « Hot Rod ».
Mais également une représentation de Gibson (encore une fois c’est son humour, son masochisme) ainsi qu’une critique des droitards virilistes en vogue, qui sont assez proches du cinéaste – encore une manipulation de sa part ? Alors que publiquement, Gibson tombe lui-même trop souvent dans le complotisme ?
Et du côté de Michelle Dockery (qui a déjà été coincée dans les airs dans une Série B, « Non Stop ») et Topher Grace, c’est presque dans « Midnight Run » qu’on est… là aussi une comédie policière en forme d’escorte, avec un compte à rebours :
La flic en noir, assez droite, mais qui est elle-même une grosse poissarde, n’ayant plus confiance en elle-même. Ses gaffes, ses énormités et ses tronches apeurées l’empêchent d’être une héroïne immaculée, utilisant bien le manque d’expérience de l’actrice dans le domaine de l’action.
Et le sempiternel « comptable qu’il faut protéger », sans atteindre tout de suite la bonhommie de Charles Grodin…. d’abord il sera uniquement dans une posture de boulet geignard, comme Topher Grace nous a trop habitué (première scène du film, suivie régulièrement de plein d’autres… il se fait facilement dessus). Une espèce de « demoiselle en détresse »… et ensuite quelque chose va émerger chez ce Winston, une sensibilité qui le rend un peu touchant, partageant ainsi ses regrets personnels avec l’agent Madelyn Harris, qui fera de même de son côté.
À travers ses personnages, Mel Gibson créé donc aussi une petite ode aux losers, ceux qui ont essayé d’être bons et qui se sont plantés pitoyablement. Emprisonnés dans leurs erreurs – étant connu pour son ampleur, le cinéma de Gibson est néanmoins aussi composé d’enfermements, d’atmosphères oppressantes (prisons, jungle, trous, caserne). Ici aussi on n’a pas qu’un seul lieu restreint, comme le chalet au tout début, et enfin dans le tout dernier plan du film –
Des personnages non héroïques, tentant maintenant d’accéder à une nouvelle chance, de se racheter en faisant quelque chose de pas trop mal avant de mourir… on pense bien-sûr aux éternels mea culpa de Mel Gibson, dont on peut se demander s’ils ont encore assez de sincérité.
Évidemment ça n’est pas bien subtil et, comédie ou pas, Gibson ne peut que décevoir en restant dans les clous de sa narration, en ne la poussant pas dans ses retranchements pour la faire exploser en mille morceaux – les 5 dernières minutes nous font fantasmer un grand ramdam jouissif, avec même une grosse relance de l’action… et non, on en sera quitte pour une référence évidente à « Piège de cristal », plutôt que d’égaler le final rocambolesque des « Ailes de l’enfer » (génial film de beaufs pourtant).
1 heure et demi bien tassées, le rythme très bien tenu, la gestion de l’espace itou, les effets spéciaux pas trop moches malgré tout, avec même une touche supplémentaire de bienveillance (le pilote à la radio – où Gibson se retient de créer de l’ironie avec ses origines ethniques)…
Vraiment comme un bon « Bis » des 90’s, du boulot d’artisan honorable… et ressemblant presque à un premier film, une carte de visite.
Comme si c’était une remise à zéro pour un Mel Gibson un peu plus humble (sur les écrans au moins).
Ou bien un petit exercice pour ne pas perdre la forme, avant de revenir aux choses sérieuses… et qui fâchent.
De toute façon, avec un artiste aussi bourré de contradictions, il faut s’attendre à tout.
Plane Fatal 🛩️
Je ne pensais pas voir une critique aussi longue du dernier Mel Gibson lol Mais je suis d’accord avec la plupart de ce que tu as dis.
Je rajouterais que pour moi le film à vraiment l’air d’être un « test » grandeur nature. Un galop d’essai au thriller/comédie sur fond de corruption/trahison dans la police avant d’entamer sa promesse de réaliser l’Arme Fatale 5 qu’il a promis a Richard Donner avant son décès. Après tout, le bonhomme est tellement pas habitué au genre qu’il fallait tester 2-3 trucs avant sur un film petit budget.
Je ne m’attendais pas à voir un vrai huit clos ceci-dit, les possibilités étaient très réduites et, même si pas mal d’éléments sont très classiques ou un peu maladroits, je trouve qu’il s’en sort très honorablement pour une 1è tentative. Il n’a pas fait l’erreur d’étirer son film sur 2h non plus, 1h30 bien suffisante ou chaque ligne de dialogue fait avancer l’intrigue, quitte à voir les ficelles grossières du scénario.
On passe quand même un bon moment, si vous avez la carte illimité et 1h30 a tuer, je recommande quand même.
Deux paragraphes contextuels ainsi que la précision de détails et références…
Il faut ce qu’il faut pour essayer de comprendre une œuvre – surtout quand on se rend compte que les huis clos ont de temps en temps été au cœur de ses films.
Après, « La Résurrection » sera a priori son projet suivant. Celui-là, c’est peut-être le pote Wahlberg qui lui a mis sous le nez, acceptant d’être sa grosse tête d’affiche grâce à son aura encore bien populaire – alors que son personnage de tueur n’est pas si central.
« L’Arme Fatale 5 », ça se ferait sans avoir une opposition/complémentarité comme au début – Gibson et Glover sont tous deux âgés maintenant, ça sera évidemment plus pareil.
@LTH : Agatha All Along n’aura pas de saison 2. Cela te surprend ?
WandaVision, Falcon et le Soldat de l’Hiver, Hawkeye, Moon Knight, Ms. Marvel, She-Hulk, Secret Invasion et Echo non plus… donc non, ça surprend qui ? C’est une mini-série, il n’a jamais été sérieusement question d’un renouvellement. Ce n’est visiblement pas le modèle Marvel Television/Disney+. En revanche, on a bien un WandaVerse avec WandaVision (saison 1), Agatha All Along (saison 2), Vision Quest (saison 3), Wiccan (saison 4 ?), etc.
… et le deuxième « Dr Strange ».
En même temps, même hors de Disney+, la showrunner Jac Schaeffer n’aime pas trop les « saisons 2 etc ».
Vu Section 31: alors je sais pas quoi trop en pensée, j’ai commencé les Star trek récemment et je trouve Section 31 comme un film fait à la vas vite pour compenser le faite que ce ne soit pas une série.
N’ayant pas vus Discovery je vais pas trop critiqué le personnage de Georgiou (même si pour moi ce film ressemble plus a une conclusion de son arc Impératrice), je trouve par contre que les autres personnages manquent de développement, on avance trop vite dans leurs évolution (le Lt Garrett et le chef de l’équipe en priorité).
J’aurais aimé avoir plus de temps pour m’y attaché, ça aurait amélioré l’intrigue et les évènement du film (NoSpoiler) je pense.
Il y a aussi une scène d’action que j’ai trouvé peu lisible (celle sur les plateformes), je sais pas si c’est du a la qualité vidéo du stream (vu sur Paramount+) ou si c’est le film en lui même.
Conclusion: je n’ai pas détesté le film en soit, même si j’aurais préféré je pense que ce soit une série plutôt qu’un film
Arrêt maladie = Visionnage
SQUID GAME S2 (Netflix)
Claque épisode 2 ! SQUID GAME reviens dans une saison entre relecture de la S1 et renouveau. Les parti pris scénaristiques marchent assurément. Mieux encore, l’histoire joue habillement avec notre connaissance du jeu macabre pour le triturer. Le parfait exemple est la transition jeu 1 à 2 où certains pensent que Seung connait tous les rouages … Mauvaise pioche.
L’attente fut donc longue mais la récompense est là.
SALTBURN (Prime Vidéo)
Une phrase pour résumé le film : Barry Keoghan est un acteur de folie ! Si le film ne repose pas uniquement sur lui, sa prestation éclipse les autres et rend totalement compréhensible la hype autour de lui. Et donne juste l’envie d’avoir son Joker dans THE BATMAN II
Je retiendrai aussi que Jacob Elordi n’est pas qu’une belle gueule même si son rôle ici est une statue grecque en chair et os.
Un vrai film qui ose (impossible de ne pas avoir certaines scènes gravées dans le cerveau)
CARRY ON (Netflix)
Enfin ! Netflix prouve avec CARRY ON qu’il peuvent faire des bons films !
Si CARRY ON n’aura pas le prix de l’innovation avec des scènes oscillant entre DIE HARD 2 et MISSION IMPOSSIBLE , ce thriller d’action est suffisamment bon pour s’inscrire dans les bonnes copies. Et franchement, à l’heure où le style est en perdition au cinéma, cela fait un bien fou ! C’est peut être d’ailleurs l’atout maître de ce film : CARRY ON aurait pu être filmé dans les années 80/90 sans souci : Pas d’effets spéciaux grandiloquant bourrés au CGI, le film sent le réel (hormis quelques parties où les avions volent notamment dans l’intro). On a l’impression d’être à l’aéroport de Los Angeles et c’est oppressant à souhait. Mieux encore, Taron Egerton joue comme d’habitude : on sent qu’il a voulu faire se film en mode action hero et ça se sent à l’écran.
Bravo.
PS. Gage à Netflix de continuer ainsi et de s’appuyer sur des vraies réalisations et non des amas de CGI et/ou noms bankables.
SUPER MALES (Netflix)
Un 6 x 30mn qui passe comme une lettre à la poste. Le casting est absolument parfait pour cette destruction / reconstruction de l’homme tandis que le scénario évite les clichés du romantisme lourd pour une vérité qui peut faire mal.
A noter sans en dire trop que la fin est ouverte mais peux se voir comme fermé. Très bien joué quand on connait le N rouge…
Revu Harry un ami qui vous veut du bien.
Je l’ai perçu complètement différemment de mon premier visionnage à la vingtaine. A ce moment-là je l’avais pris premier degré et j’avais kiffé. Cette fois-ci je l’ai vu comme une grande métaphore du passage à l’âge adulte quand il faut faire une sorte de « deuil » de sa relation aux parents. Mais aussi la toxicité de certaines relations et le besoin de devoir recentrer sur soi toujours pour être heureux. Et du coup j’ai kiffé une seconde fois. Car finalement, si on le prend au premier degré le film souffre de pas mal de problèmes.
Vu The Social Network. Il était vraiment temps. Encore un chef d’œuvre à la palette de Fincher. Ce type est un génie. Quand je pense que ça fait plus de 10 ans qu’on ne l’a plus vu en salle ça me désole. Peut-être dans mon top 10 films dans la catégorie dialogues.
Vu Le fil. Sympa à regarder, on a vraiment envie de savoir qui est coupable et qui ne l’est pas. Et puis la fin arrive, et elle vous met un espèce d’uppercut au visage dont il est difficile de se relever sur le coup. Quand on pense que c’est une histoire vraie, ça fait froid dans le dos.
Vu La French. Le cinéma français est donc capable parfois… mais si rarement… Pas si loin des meilleurs films de gangster ricains, franchement je pensais pas.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Will-Smith-fait-enfin-son-Matrix–dans-un-clip-qui-evoque-ses-regrets
… réalisé par un autre duo, Adil El Arbi et Bilall Fallah.
Par contre, il a complètement zappé que Jada Pinkett, Elle, a joué dans des « Matrix » ?
Encore quelques problèmes de galanterie…