Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !
Hier Aquaman dans Smallville et Hawk dans Titans, demain Batman dans l’Univers Cinématographique DC Comics ? Alors que l’armoire à glace préférée d’Hollywood, Alan Ritchson, semble avoir trouvé plus fort que lui dans la nouvelle saison de Reacher sur Prime Video, certains l’imaginent déjà bastonner du vilain à Gotham. Il se trouve que le principal intéressé n’est pas contre : « J’adorerais jouer Batman. Voilà, c’est dit, ok ? Je vais le crier sur tous les toits : ‘Je veux être Bruce Wayne !' » Alors, seriez-vous partant ? Sans transition, il sera possible de revivre la conclusion de L’Attaque des Titans au cinéma, mais seulement ce week-end. Donc bonne séance de ‘Tatakae’ aux fans de l’anime et surtout, belle semaine à tous !
Dans cette adaptation du roman « Ne pardonne jamais » de Lee Child, Reacher se retrouve au cœur d’une effrayante opération criminelle de grande envergure, alors qu’il tente de sauver un informateur de la DEA sous couverture dont le temps est compté. Il découvre alors un monde de secrets et de violence, et se trouve confronté à de vieilles histoires ressurgies de son passé.
J’avais adoré la S1. La S2 était bien moins kiffante donc à voir ce que va donner cette S3.
Je trouve qu’il a le charisme pour incarner Bruce Wayne/Batman 😊.
Pour le moment la saison est bien meilleure que la 2. On revient à une enquête « classique ».
Excellent manga « L’attaque des Titans », une vraie claque en lecture de tous les tomes à la suite il y a quelques années ! Au point de vouloir regarder son adaptation en anime dans la foulée (ce qui ne m’arrive jamais, je lis les mangas mais j’en regarde peu en séries d’animation).
Ce film arrive trop tard, déjà diffusé sous forme d’épisodes début 2023 puis fin 2023… Il méritait à ce moment-là d’être projeté au cinéma, quel dommage ! Et la sortie très limitée (seulement deux jours) ajoute de la frustration. J’essaierai peut-être de le voir samedi même si un peu peur de la fanbase qui risque de foutre le bordel en salles…
En tout cas je conseille vraiment la lecture des mangas, c’est une grande œuvre, nihiliste, passionnante, singulière, imprévisible, du grand Art !
J’ai pas lu le manga mais vu l’animé, et je suis bien d’accords. Je recommande aussi 🙂
Non, Ritchson n’a pas le côté calculateur et bouillonnant qu’il faut à Batman.
Vu :
— Suite des adaptations de comics DC, années 70.
– Fin de la série « Wonder Woman » (1975) :
– Saison 1…
Clairement, cette série (dont la production va évoluer au fur et à mesure)’repose en grande partie sur l’actrice Lynda Carter.
Même conçue par le producteur Stanley Ralph Ross, qui avait travaillé sur le « Batman » de 66, c’est à dire avec une routine pour chaque épisode, un côté ultra léger – générique animé avec une (vraie) chanson, guest stars plus ou moins connus, grande confiance envers la technologie avancée, personnages gentils et naïfs, pas trop de puissance (elle est étrangement vulnérable au gaz, et complètement dissociée entre sa version humaine et amazone), un joli sourire pour finir chaque épisode… Jamais de critiques, jamais de morts, bien peu de drama…
Sur ce dernier point, on a une reconstitution des années 40 qui est bien peu poussée ni sophistiquée (on reste beaucoup aux USA, à traquer des espions nazis), qui fait qu’on a quand-même l’impression d’être dans les années 70, c’est flagrant. Par rapport à « Batman 66 », on ressent plus le manque de moyens, pour une série qui veut tellement éviter le Kitsch et le Camp qu’elle se retrouve en mal de couleurs vives, dénuée du moindre super vilain des comics – une petite poignée au début, Etta Candy en comique de service, une origin story très respectée (l’atterrissage de Steve Trevor, le tournoi sur l’île etc), l’avion invisible, la création de la transformation tournoyante (avec ensuite un éclair) qui sera reprise dans les comics.
Mais zéro menace mythologique, un peu de SF (des extraterrestres qui auraient aussi pu être des kryptoniens), et une Wonder Girl alternative… c’est un peu abuser, mais ça reste suffisamment efficace.
Grâce à Lynda donc, la boussole de la série, incarnant la princesse (et son double à lunettes, cette Diana Prince faussement timorée) avec suffisamment de grâce, de candeur – ses sourires de poupée – et un peu d’implication physique. Pas énorme (elle pousse des trucs, ne cogne pas trop), le gros de l’action étant assuré par la cascadeuse Jeannie Epper, et c’est aussi un bon point pour la série, les sauts notamment.
Quant à Steve Trevor, Lyle Waggoner endosse ce difficile rôle, qui doit rester viril et actif tout en n’étant pas le héros principal. Capturé souvent, puis plus du tout quand on arrive à la fin de la première saison – avec un seul épisode sans nazis, dans une ambiance western (avec Roy Rogers, des enfants de diverses nationalités, un costume alternatif pour Diana) qui permettra un instant de bousculer les habitudes.
– Saison 2…
Fin des années 40, on passe à l’époque contemporaine, un peu comme dans le téléfilm originel avec Cathy Lee Crosby.
Et aussi comme un reboot – avec une autre chaîne, un nouveau titre, un nouveau costume, bientôt un nouveau générique plus du tout animé. Mais l’origin story est refaite à l’identique, avec Lyle Waggoner jouant son propre fils/sosie, sans jamais poser la question de l’identité de sa mère, de la survie ou non de Steve sr, du pourquoi et comment Diana est revenue sur son île (qu’on ne verra plus beaucoup), pourquoi elle décide seulement maintenant de revenir, où est passée sa petite sœur…
Comme toujours, on ne raconte rien avec ces personnages. Ils travaillent pour le bien des citoyens, et c’est tout.
Soldant les années 40 dès le début (côté nazis, puis le Japon mais du côté américains et la honte des camps de concentration US).
Assumant encore plus d’être largement inspiré de « Super Jamie » – les ralentis, les sons pour figurer la super force…
De « L’Incroyable Hulk » – c’est à dire que les transformations de Diana sont comme celle de Banner : le moment où il faut un coup de boost pour régler une situation et faire avancer l’intrigue… sans que personne ne reconnaisse l’héroïne, alors qu’il n’y a pas de différence majeure entre les deux identités, même par rapport à Clark Kent/Superman.
Et de « Drôles de dames » – une Diana décontractée en super espionne contre des terroristes et même ses gangsters, jeune femme de son temps, plus du tout secrétaire, totalement indépendante (plus besoin du ridicule avion invisible, l’organisation IADC paye tous ses frais). Ce qui fait qu’avec Steve Trevor jr, non seulement il n’y aura pas le moindre flirt indirect, mais en plus il ne sera bientôt plus sur le terrain et deviendra un rond de cuir. Un peu comme Bosley et Charlie – pour ce qui des voix dans des haut-parleurs, on aura le super ordinateur I.R.A.C qui fera les voix ironiques, quelque peu navrantes. Les robots parlants dans les séries américaines des années 70-80, c’était quelque chose..!
Assez relou, moyen – la VF fait revenir incessamment des Bernard Lanneau ou Hervé Bellon – mais les cascades sont toujours bien cools, tout comme les nombreux tournages en extérieur et les amusants costumes variants.
Et Lynda Carter éternellement charmante et sexy.
– Saison 3…
Pareil que la précédente, sans grandes améliorations.
Toujours des intrigues à base de gangsters, de vol d’inventions dangereuses, avec quelques récurrences extraterrestres (réelles ou non)… Et un générique qui abandonne sa chanson, tandis que l’île du Paradis est abonnée absente.
Au moins on a progressivement une Diana qui est de plus en plus mise en danger, qui s’autorise enfin à se battre en donnant des coups de poings (un peu plus de brutalité, de vitres cassées), Steve qui revient sur le terrain dans quelques épisodes, une légère touche horrifique à certains moments, des personnages qui ont un impact sur l’héroïne…
Et quelques épisodes un peu plus ambitieux, dont un double qui vient conclure la série en prenant la place d’un autre qui devait servir de transition avant un déménagement de Diana à Los Angeles – avec une toute nouvelle équipe complètement improbable.
Tant mieux, ce diptyque avec des frères plus ou moins séparés par un drame, un parc d’attraction (de futures productions DC s’en souviendront), et une impressionnante cascade du haut d’un grand immeuble, se révélera plutôt touchant, une belle façon de finir la série.
Et ensuite rideau ! Place à l’ère Christopher Reeve sur grand écran, avec plus d’ampleur et de noblesse – du moins au début.
Même la CW n’arrivera pas à faire remettre son costume à Lynda Carter.
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– « Captain America: Brave New World », analyse complète sur la page consacrée…
Un film plus intéressant que ce qui a été dit – à l’identique un peu partout, sans voir plus loin, sans chercher à comprendre.
Addendum :
On commence quand-même en mettant de côté la fanfare Marvel. Pas la première fois qu’elle se fait détourner (Ryan Reynolds l’an dernier, qui se prenait pour Ralph Wiggum au début du film des Simpson)… Là Julius Onah – ou les équipes chargés du générique – ont pu arracher à Kevin Feige le droit de limiter le visuel à ces rectangles de lumière, faisant penser surtout au générique de « X-Men : Le Commencement » (les deux films ont droit à une séquence inspirée de la Crise des missiles Cubains), et raccord avec le dispositif de Samuel Sterns pour hypnotiser ses victimes – comme Evelyn Deavor dans « Les Indestructibles 2 » donc.
Déjà pas très original – curieux, y a personne qui en parle pourtant.
Déjà une volonté de pas en faire des caisses, en témoigne l’introduction :
C’est Harrison Ford la grande vedette, même en étant supposé être un personnage secondaire. Et Anthony Mackie déboule à l’écran d’une manière encore plus légère qu’à ses débuts dans le MCU. Une photo à l’écran, et c’est bon c’est Captain America.
On est dans un bar, il voit ça tranquille, pépouze, le propriétaire lui offre un verre… et personne ne remet ça en question. Pas de « pas mon Captain ». Pas de bagarre, alors que encore une fois, on est dans un bar !?
Ok, cet homme est responsable, sympa. Mais comment ça se fait que tout les civils le soient ?
Bon mais ça, c’est Sam en civil. En costume par contre, là il a une intro qui tabasse, comme toujours en fait (voir toutes ses apparitions précédentes en Falcon). L’homme est très ordinaire, banal. Mais les icônes qu’il incarne, elles le rehaussent. Il est respecté, y compris des militaires – Dennis Dunphy, alias D-Man dans les comics, a un joli rôle secondaire.
Après, le problème des antagonistes de Captain America : tous les meilleurs sont déjà passés à l’écran. À moins de faire revenir Zola en robot géant, ou Zemo (on se le garde pour « Thunderbolts* ») ou bien ceux exilés ou morts, qu’est-ce qui reste ? Baron Blood ? Ça aurait été pas mal pour introduire les vampires, mais volant la vedette à Blade. Nuke ? Pour tout ce qui a trait aux vétérans, c’est bien, avec ou sans référence à la série « Jessica Jones ». La Société du Serpent passe en vitesse, et c’est pas sûr qu’on les voit un jour convoiter la Couronne du Serpent. Mais sinon, pas beaucoup de vilains inédits, et ceux que Sam a affronté spécifiquement dans les comics, ils ne sont pas nombreux.
Donc Hulk rouge, mais en fait le Leader. Récupérer des vilains d’autres franchises, c’est un des avantages des univers connectés, il n’y a qu’à se rappeler des films « Ant-Man ». D’ailleurs Samuel Sterns est plus terre-à-terre qu’un MODOK, alors quitte à avoir un méchant à grosse tête…
Ce qu’il y a, c’est que une fois annoncé les acteurs, il ne pouvait y avoir aucun suspense. Le Rulk était attendu depuis longtemps, sa transformation était une évidence. Seule l’apparence physique de Sterns sera conservée dans l’ombre, mais il n’y aura pas d’autres surprises renversantes derrière…
Par rapport aux cameos du dernier Marvel Studios avec Deadpool (tous spoilés très tôt), on y gagne en virant les apparitions gadgets – sauf celle de Bucky…
Mais ainsi, ce qui reste se retourne contre Marvel Studios, appuyant l’idée selon laquelle leurs films reposent sur les apparitions de personnages, moins sur la complexité du scénario.
Qui n’est pas si simplicite que ça : des dirigeants mondiaux qui sont prêts à s’écharper, ou (pire ?) à s’allier pour annexer le Céleste Tiamut et ses ressources formidables ? Remplacez ça par l’Ukraine, ou autres lubies concernant Gaza, le Groenland, le Canada, et vous vous rendez compte que Marvel Studios a vu loin, mais que malheureusement, la Réalité est plus surréaliste que la Fiction.
Ne pouvant rivaliser avec ça, ni se prendre sur le dos une cible, le film veut se faire plus vertueux et à peine subtil.
À une époque où les antihéros passent pour être unanimement plus excitants. Vince Gilligan dit quelque chose de plus ou moins pertinent à ce propos :
https://www.premiere.fr/Series/News-Series/On-a-rendu-les-mechants-trop-sexy-le-createur-de-Breaking-Bad-appelle-a-un-changement
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Lu :
– Captain America : Truth…
Une expérience presque traumatisante : la xénophobie américaine en temps de Guerre (Mondiale), lancée à la figure du lecteur des années 2000 (et au delà), époque où Marvel tentait des paris radicaux, quitte à partir souvent dans le n’importe quoi.
Et là, quand-même : avec des expérimentations inhumaines, une tonne d’insultes ethniques à faire pâlir d’hypocrisie un troll, quelques scènes se voulant provocatrices (caricatures, apparition en burqa), mais tout ça dessiné par Kyle Baker dans un style cartoonesque hypertrophié…
Il faut au moins la précision d’écriture du scénariste, le regretté Robert Morales. Même en en faisant un événement canonique, même avec quelques scènes d’action clichées, même en précipitant certains événements (la disparition express de divers protagonistes, pas très bien amenée), et où Steve Rogers lui-même va mettre son grain de sel pour essayer de faire payer les responsables – pour ce que ça vaut.
Ne pas rater les nombreuses références citées dans la postface, qui donnent tout son sens à cet œuvre très particulière.
– Intégrale Silver Surfer 1988…
Norrin-Radd en duo sexy avec Frankie Raye, pour les beaux yeux (carrés) d’un Galactus plus du tout pestiféré. La suite d’une longue intrigue avec encore des manœuvres Skrull contre Kree, plus les manigances des Doyens de l’univers et de l’Intermédiaire.
– Fantastic Four : Qu’est-il arrivé aux Quatre Fantastiques ?
Ryan North a des idées qui peuvent être intéressantes, mais qui ne semblent pas très abouties :
Faire revenir les 4F dans un rôle de parias (à cause d’un plan trop bizarre, conçu par un Reed de plus en plus insensible).
Quitte à les séparer, mais ça ne dure pas longtemps.
En donnant à Fatalis une unique apparition dans un épisode plus long, mais sa réaction sonne comme du réchauffé.
Faire du road trip en famille, dans des aventures plutôt bienveillantes, mais avec un peu trop de mauvaises coïncidences pour être honnête (franchement, ils devraient être poursuivis par plein de salauds, plutôt que tomber par hasard sur des événements SF que eux seuls peuvent gérer).
Alicia Masters, parfait « cinquième Beatles ».
Ça tient plus ou moins bien la route, les dessins de Iban Coello ou Ivan Fiorelli sont clairs, mais mention spéciale à l’épisode dessiné par Leandro Fernández qui fait de la pure SF philosophique matinée avec du film horrifique en huis clos.
Bref, c’est un énième retour, par la petite porte et avec un objectif final à atteindre.
– Captain America continue de « défier le Démon ».
– Thor en famille, continue de défier le Néant.
– Fin de Spectacular Spider-Men : Arachnobatiques…
Une histoire qui n’avance pas bien vite, rajoutant perpétuellement des antagonistes.
Énième fin du Superior Spider-Man – comme d’habitude, Otto Octavius a un plan (et un ego) trop grand pour ne pas se retourner contre lui. Ça se résout peut-être trop vite.
Spider-Boy cherche encore à reconstruire sa vie, mais le Spider-Verse n’a pas dit son dernier mot.
Et dans Venom & Carnage : Symbiosis Necrosis, père, fils et frères se bastonnent, mais Cletus Kasady garde l’avantage.
Pour rappel, le métier d’Alan Ritchson est acteur ! Donc je vois pas en quoi il serait incapable d’incarner un tel rôle…
Remember tout le patacaisse qu’avait générer la « nomination » de Ben Affleck..
Lequel Affleck n’a pas convaincu parce que… ben il ne sait pas jouer les mecs calculateurs et bouillonnants. Il avait tout le temps l’air perdu, à se faire facilement manipuler par Lex Luthor, à recruter nonchalamment la Ligue, à se faire décontenancer par Wonder Woman, à prévenir mollement Flash… au lieu d’être plus sec, plus interventionniste, et tant pis si c’est désagréable. Une fois enlevées les (très bonnes) scènes d’action, y a plus personne, et on sent trop le Affleck glandeur de l’époque Kevin Smith, comme s’il n’était jamais parti.
Acteur ne veut pas dire être compétent en tout, il y en a qui sont plus limités et confinés dans leurs emplois habituels – quand est-ce que Ryan Reynolds fera autre chose que le gentil clown ?
Donc Ritchson…
Faudrait ptét lui donner sa chance ?
Lors d’un casting par exemple ? Et ptét pourrait-il te surprendre positivement !??
Plutôt en lui demandant d’abord de jouer des rôles dramatiques et subtils dans des films moins gros, ainsi que des fous et des méchants bien pervers… et voir ensuite s’il s’en sort – et encore, il faut bien le diriger.
Jusque là, il n’en a pas eu (« FFX » ne compte pas, il était quasi planqué. Et « Reacher » encore moins, ça reste quand-même de la bourrinade).
Tandis que Keaton et Bale, oui… C’est pour ça qu’ils sont au top des Batman : parce qu’on ne fait pas un casting de physiques comme à un défilé de mode, il faut aussi une personnalité qui en impose, dans le contexte du personnage.
@Flo, mec ; comment on peut te faire comprendre que, ce gars a potentiellement autre chose que des muscles à faire valloir ? A te lire et parce qu’il n’a fait que des films et séries « bourrins », il ne sait donc rien faire d’autre !
Enfin bref…
Et comment faire comprendre que le potentiel d’un acteur n’est pas automatique, et doit tout de même se voir.
Car les acteurs ne savent pas forcément tout jouer. Robert de Niro, lui-même désigné comme l’un des plus grands acteurs des années 80-90, était connu à cette époque pour ses rôles intenses, mais pas pour être capable de jouer également des personnages plus ordinaires ou romantiques (il y a juste eu « Falling in love », mais c’est parce qu’il voulait tourner à nouveau avec Meryl Streep et Ulu Grosbard, et parce que c’est le remake du classique « Brève Rencontre »).
Quasi aucun spectateur ne s’est dit que Ritchson avait « un petit truc en plus » qui lui permettrait de jouer plus de choses. Lui qui n’a de notable que des gros costauds pas commodes en presque 20 ans de carrière (Arthur Curry, Raphaël des Tortues Ninja, Hawk, Reacher et bien d’autres), et dont aucun producteurs ne lui a offert des rôles plus denses et subtils…
Même Dave Bautista a mis moins de temps que ça pour avoir quelques rôles plus dramatiques, peut-être à cause d’une certaine douceur dans son visage. Ou bien juste parce qu’il sait parler à des réalisateurs, leur montrer qu’il ne peut pas se limiter à Drax.
Bref, si ça n’a pas eu lieu avant pour Ritchson, c’est qu’il y a bien une raison non ?
Toujours les faits et les preuves… en l’absence de ceux-ci, c’est comme s’il n’y avait rien pour l’instant.
L’Attaque des Titans. Comme Thomas, j’ai pris une claque monumentale aussi. Une des oeuvres majeures de la décennie en ce qui me concerne.
Le système de diffusion de la dernière saison a tué un peu ma hype à l’époque. Une saison en trois parties, sérieux…
Et ce film c’est juste les épisodes de l’anime au cinéma ou est-ce un vrai film avec une animation améliorée? Le cas échéant, j’irais probablement le voir aussi dimanche, pour l’expérience. En craignant évidemment les fans.
Sinon j’ai essayé de voir Batman Ninja. Je m’y suis repris trois fois et je n’ai pas dépassé la fin. Batman au pays des samouraïs, soit. Mais alors les mechas de partout, les dialogues débiles et l’histoire bien naze, c’était trop pour moi. J’ai arrêté quand j’ai vu un petit singe.
Et j’ai vu Bref 2 à cause de tous les retours dithyrambiques ici. J’étais pas prêt. C’était juste excellent. Khojandi a un putain de talent d’écriture. Tout est bien amené. On sourit pour la nostalgie, on rit parfois de bon cœur mais on est souvent triste et on réfléchit toujours sur notre propre condition. Chapeau! J’ai adoré de bout en bout.
J’attends Bref 3 quand « Je » aura 50 ans!
Ca change des séries nazes de Disney+. Quand l’inclusion est aussi bien amenée, aussi bien écrite, on ne peut qu’applaudir.
Vu et terminé Dexter Original Sin. C’était vraiment très bon même si là encore on tire sur la corde nostalgie. Patrick Gibson qui joue le jeune Dexter a un très gros potentiel. J’aimerais bien le revoir ailleurs.
Du coup je vais me remettre à l’intégrale de Dexter en attenant Dexter Resurrection en juin! ^^
Pressé de voir la saison 3 de Reacher aussi, en espérant qu’elle soit mieux que la saison 2 et se recentre sur le personnage principal au lieu de mettre en avant la « Team » Reacher.
Batman Ninja faut le regarder juste pour la qualité de la direction artistique
« ce film c’est juste les épisodes de l’anime au cinéma ou est-ce un vrai film avec une animation améliorée? Le cas échéant, j’irais probablement le voir aussi dimanche, pour l’expérience. En craignant évidemment les fans. »
Franchement ça a l’air d’être banalement les épisodes mis bout à bout (qui eux-mêmes étaient scindés en deux parties [1h et 1h25]) qui forment 2h25, soit la durée du film… Donc à part redécouvrir tout ça sur grand écran, je n’ai pas l’impression qu’il y aura des choses inédites à voir/découvrir. Les deux options me vont mais la logistique déplacement/cinéma + ambiance me freinent un peu ^^
Pour « Bref 2 » ne pas oublier Navo à la co-écriture ! Je te rejoins, c’était excellent. Quelques défauts mineurs à mes yeux mais je ferme volontairement les yeux dessus tant l’introspection est forte avec un grand huit des émotions en effet.
J’ai adoré aussi « Dexter Original Sin » même si y a plein de grosses ficelles et improbabilités (ça fait partie de l’ADN de « Dexter » cela dit), ça ne sert absolument à rien mais c’est tellement kiffant ! Le casting est particulièrement bon et juste, envie de me refaire juste la première saison de la série initiale héhé (mais on a commencé « A la maison blanche ») ^^
En plus, une fois lancée la première saison tu vas forcément enchaîner avec la seconde qui est encore meilleure !;)
J’avoue qu’artistiquement Batman Ninja était très beau mais le concept des mechas dans un Japon médiéval, j’y arrive vraiment pas.
Pour SnK, je viens de voir que la salle était déjà quasi-pleine pour la séance unique de dimanche, ce qui est impressionnant. Pour Captain BNW, j’étais le seul à avoir réservé.
J’avais oublié que les deux derniers épisodes duraient aussi longtemps, donc je te rejoins, il ne doit pas y avoir de scènes exceptionnelles en plus. L’intérêt est donc limité à revivre l’expérience au cinéma avec le côté hystérie collective.
Je me tâte mais d’ici à ce que je sois décidé, il n’y aura plus une place 😅
+1 pour Navo et +1000 pour Dexter^^
Je vais évidemment me faire SnK au ciné ce weekend pour le plaisir de voir tout ça sur grand écran et avec du gros son, mais je sais d’avance que ce ne sera pas une séance tranquille malheureusement… En temps normal je serais allé sur une petite séance où personne ne va mais évidemment pas possible cette fois. Cette politique de distribution nous permet d’avoir au ciné des films qu’on n’aurait pas eu sans elle et c’est cool, mais le revers de la médaille fait mal. 😞
J’avais adoré le spectacle Pulsions de Khojandi et Navo et je viens tout juste de découvrir Une Bonne Soirée que j’ai trouvé top également. Moins profond peut-être, moins touchant, mais tout aussi bien construit. Je le conseille à ceux qui aiment le style Khojandi/Navo.
Alors je n’étais paus au courant pour SNK et put…. ça me donne trop envie je vais voir si ça passe près de chez moi ! J’ai adoré l’animé dans un premier temps puis trop pressé de savoir la fin j’ai acheté l’édition colossale en manga. C’est l’œuvre de la dernière décennie pour moi. La fin ne pouvait pas contenter tout le monde on le savait d’avance mais mon dieu quel voyage épique. Merci maître Isayama.
Reacher 3 je vais regarder c’est certain et j’epère qu’on retrouvera la vibe de la saison 1. L’ambiance New York et team collait pas trop avec la série. Une petite ville d’un trou du cul du monde des USA me plairait beaucoup mieux. La saison 1 m’avait fait penser à Road House en beaucoup mieux. Je fais partie de ceux qui ne souhaiteraient pas trop voir l’acteur en Bruce Wayne. Le mec a la carrure de Hulk sérieux 😉
Vu The Gentlemen la série. C’est presque aussi bon que le film et du très chouette Guy Ritchie. Après Arthur ça m’a fait du bien de retrouver ce bon vieux Ritchie dans ce qu’il sait vraiment faire.
En plein visionnage de Original Sin Dexter. J’attends la suite avec impatience mais Michael C Hall et Jennifer Carpenter me manquent. J’avais préféré New Blood qui était top jusqu’à son dénouement trop expéditif. On se refait la série du début du coup en attendant la suite cet été comme beaucoup de monde actuellement.
Vu Alita. C’est pas pire pour une adaptation de manga mais comme d’hab l’original est bien au dessus que ce soit en animé ou en manga.
J’ai beaucoup aimé Alita. Le fait qu’il se soit écoulé une bonne vingtaine d’années entre ma lecture du manga et le visionnage du film a aidé à ce que je ne sois pas trop exigeant.
Michael C. Hall est là dans Original Sin. Le fait qu’il joue la voix off apporte un énorme plus pour moi.
Bien sûr la voix off mais sa présence physique me manque quand même
Pour moi, Alan Ritchson n’a aucune charisme.
Du coup, il serait dans la continuité de Keaton, Kilmer, Clooney et Affleck.
Keaton a son regard super inquisiteur, Kilmer le côté cool et arrogant, Clooney c’est Tyrone Power croisé avec Cary Grant…
C’est déjà pas mal, ça correspond bien à Batman ou à Bruce.
Affleck et Pattinson, ils sont un peu trop passifs peut-être..?
En phase (pour une fois ^^) !
Affleck un côté passif mais dans le sens « je n’y crois plus » là où Pattinson c’est davantage un côté « je me cherche/je ne vais pas bien ». En somme les deux reproches qui ont été faits à ces versions de Batman haha
… Adam West et Christian Bale sont carrément hors concours, chacun dans sa propre catégorie.
The Batman puis The Dark Knight (le lendemain)
Sur le fond, le scénario est un peu similaire. Un vilain s’en prend au gratin de Gotham. Confrontation interrogatoire en prime.
Bien que l’un sème le chao dans une Gotham motivée d’être meilleur, l’autre veut faire justice en révélant la corruption engrenée.
Ce qui frappe c’est la forme. La patte Nolan enchaine les scènes frénétiquement et efficacement. Reeves, lui, prend son temps. Battison fait les cents pas sur les scènes de crime alors que Batbale repère direct.
Mais The Batman a un style visuel et une mise en scène très réussis. Un jeu d’ombre, de lumière, de fumée, dans une ambiance sombre sous des pluies battantes. Un excellent point. Et la lenteur des scènes apporte de l’immersion.
Ok, le plan du Riddler peut paraitre alambiqué au vue de l’objectif final. Là où le Joker semble construire son plan au fur et à mesure de la situation. Et je n’incombe pas la faute à Batisson de se tromper en espagnol. Ce qui le rend plus humain.
Au final, les deux se valent.
Severance ép 6 :
toujours un pur plaisir cette série. Quel talent dans l’écriture et dans la mise en scène (je savoure chaque plan, avec notamment celui en mouvement de Milchick qui se métamorphose dans le miroir).
Et que dire de l’interprétation.. Brit Lower est bluffante dans double interprétation (pas évident vu que les personnalité ne sont pas exagérément différente à l’écran)
Et les questionnements que la série arrive (ENCORE !) à poser.. (SPOILLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL
SPOIL
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j’aime beaucoup celui qui semble arriver concernant les sentiments pouvant être ressenti pour un inter alors que le personnage est marié à l’exter justement)
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=> Que ceux qui n’ont toujours pas passé le cap, donnez sa chance à cette masterclass
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_Sinon, je me refais la S1 d’Andor avant le S2
et c’est presque encore meilleure que le 1er visionnage pour l’instant
_et je poursuis Bref S2
après 2 premiers épisodes vraiment savoureux et incroyablement ingénieux/profond, l’ép 3 m’a un peu déçu (pour moi ils n’auraient pas dû poursuivre sur le peronnage central, la fin du 2 était parfaite et méritait de passer à autre chose sur l’ép suivant : sur l’après, et non le « pendant »), mais le 4 est bien reparti
_et pour Reacher, j’avais beaucoup aimé la S1 (sauf le final), mais la S2 m’a perdu (la perte du trio de la S1 et du ptit bled qui prend l’arrivée de Reacher de plein fouet). Selon vos retours, je donnerai ptete sa chance à la S3
Pour Severance, meme si ça n’avance pas beaucoup, ils explorent toujours le concept de la dissociation identitaire intelligemment.
Je pense faire pareil pour Andor, bingewatch la S1 par contre je vais skip la rencontre avec le groupe de rebelles dans la forêt. Je trouvais ça inutilement long
Ah moi je trouve la série avance grandement avec cette S2. Ils vont beaucoup plus loi et creuse encore davantage cet univers/entreprise/concept.
Je viens de voir l’ep 7 : une masterclass. Un montage exemplaire et hyper créatif, un sens de l’émotion très efficace et des acteurs bluffants (de vrais caméléon)
Un chef d’œuvre cette série.
Je te comprends pour Andor et le passage dans la forêt, j’avais eu un peu le même sentiment de mémoire. Mais là le 2e visionnage c’est vraiment top. Et c’est beaucoup entremêlé avec d’autres intrigues, donc ça passe très bien.
En fait, quand j’avais écrit mon message, je venais de voir les 2 derniers épisodes et je parlais que de ces épisodes là, je trouvais que le fil rouge n’avançait pas beaucoup depuis la scène où Marc a tenté la ‘tu sais quoi’. Mais je réitère ce que j’ai dit, ils creusent toujours le concept de la dissociation de façon interessante, ce n’est pas redondant, c’est des nouveaux sujets qui sont assez pertinents.
Atta, t’as déjà recommencé Andor ? Il me semble que la S2 sort fin avril 😅 perso, si je la remate, ça sera en avril.
Même sans avoir recommencé j’ai déjà hâte d’être aux derniers arcs de cette saison 🤤
J’ai regardé le 1er épisode de la S3 de Reacher, c’était très bon ! Ceux qui ont aimé la S1, vont retrouver le 1er crush avec la série
Le Bar permettant d’élargir un peu les sujets, je me permets un post que je gardais sous le pied depuis quelques semaines. Bon, vous me connaissez, c’est avant tout pour la déconne, hein ! 😁 Mais pas que. On va dire que c’est aussi une petite revanche personnelle. 😉
https://www.decideurs-magazine.com/politique-societe/60587-wokisme-revirement-complet-chez-disney.html
Le retour de Donald a la blanche masure, et le revirement de Mickey marqueront-ils le début d’un retour à la normale, à une diversité et à une inclusion moins forcées, plus naturelles, apportant une vraie valeur ajoutée aux scenarii ? Espérons-le, et espérons aussi comme le souhaite l’auteur de l’article, que l’on aille bien vers un juste milieu et non un extrémisme inverse. ⚖️ 🤷♂️
Bon, pourquoi est-ce que je vous écris ça ? 🤗
Peut-être l’aviez-vous oublié, mais il y a quelques mois, ici-même, un étrange personnage, un être venu des limbes, un être éthéré, luminescent, intriguant, inquiétant même, mais également fascinant et plein de charme 👻, vous disait que seule une décision politique prise par une nouvelle administration à la Maison Blanche, pourrait mettre fin à toutes ces dérives Okistes. Puisqu’il s’agissait bien alors de règlementations touchant les universités, les entreprises, l’éducation, etc, et qui venaient du haut. C’était donc bien politique, et seul le politique pouvait enclencher un mouvement inverse. Ce qui n’empêchera pas le mouvement Oke, tout à fait sympathique et légitime à la base, de poursuivre son combat pour l’éveil des consciences, mais sans imposer l’agenda de ses plus radicaux à tout le monde, sans demander l’avis de ceux que ça touchait.
Cet être mystérieux, éthéré, flottant dans les ténèbres 👻, fut à l’époque un peu moqué pour ses déclarations, que d’aucuns jugèrent à côté de la plaque. Mais il avait raison, comme souvent. 😁😁😁😁😁😁👻👻👻👻👻👻
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Je n’aurais jamais cru un jour que Donald fasse plier Mickey. Bravo à toi d’y avoir cru.
Et alors tous ces revirements de veste subits, j’en suis moi-même étonné. Si l’industrie du divertissement pouvait se recentrer sur son objectif premier, divertir, ça serait une bonne chose.
On va encore se manger quelques projets déjà en cours et tout ça sera bientôt oublié en espérant qu’il en ressorte quelque chose de bon. Je ne veux pas d’un John Wayne en Gengis Khan. Juste quelque chose de cohérent avec ce qui existe déjà et de bien écrit.
L’industrie du jeu vidéo en occident va elle avoir beaucoup plus de mal à s’en remettre, les projets étant préparés depuis bien plus longtemps et avec des couts de production extrêmement élevés.
Les gamers étant plus « sélectifs » que le grand public, quand ils disent non à un produit trop wokisé, le studio perd des milliards, licencie à tour de bras et parfois même ferme.
Comme tu le dis, ça partait d’un bon sentiment mais le résultat a été catastrophique.
Oui, au départ, ça vient d’un bon sentiment, et rien ne dit que dans quatre ans, si les états-uniens ne sont pas satisfaits de l’administration Trump, les démocrates ne pourront pas revenir à cette politique. Tout ça, c’est un cycle. Mais ça dépendait bien du droit, en tout cas dans certains domaines.
J’y ai cru parce que c’était logique. Il y a la volonté qui part du bas, donc les assoces, les militants, tout ça, et ça compte, bien sûr, mais là on est allé beaucoup plus loin, puisque l’administration Biden avait intégré tout ça comme un agenda. Ils avaient même embauché des personnes transgenres à des postes clés, comme l’Amiral Rachel Levine, ou le Député Sam Brinton, par exemple. C’est te dire, c’est pas banal quand même.
https://www.causeur.fr/transidentite-armee-americaine-rachel-levine-216850
https://en.wikipedia.org/wiki/Sam_Brinton
Alors, bien ou pas bien, pas à moi de le dire, mais on se demandait si on les avait pris pour leurs compétences, ou pour faire quota. ça a pu choquer pas mal de monde…
Ensuite, il y a eu les circulaires pour les universités, j’y reviens souvent parce que ça me touche, tu avais des quotas à l’embauche créant indirectement des discriminations, des conférences interdites aux blancs, ce genre de trucs complètement délirants, plus l’écriture inclusive qui compliquait tout. ça a ruisselé jusqu’aux entreprises, et un tas de gens ont bien gagné leur vie grâce à ça. Aujourd’hui, c’est le retour de bâton, et ils dénoncent ça comme une atteinte à la démocratie, bien sûr. Je pense aussi aux sportifs masculins qui avaient de mauvais résultats, qui se sont fait inscrire ensuite chez les nanas, et qui ont explosé les records au détriment de leurs compétitrices. Parce que quoi qu’on en dise, un homme et une femme, c’est pas foutu pareil. Il était temps d’arrêter toutes ces niaiseries.
Les retournements de veste de Disney, Meta, et quelques autres, en revanche, me surprennent aussi, en ce qu’ils n’ont pas l’air forcés. On dirait plus une adaptation, mais ils ne se battent pas trop. Comme quoi, leur considérations Oke, c’était de l’hypocrisie, ce que toi tu as toujours dit.
En ce moment, ça épure dur dans le mammouth, et beaucoup de crasses sont révélées. Par exemple, si tu veux savoir pourquoi Trump vient de virer une bonne partie des employés de l’USAID, et de geler moult programmes de celle-ci, tu peux lire ça, même si ça date déjà de dix ans. Trump a dit qu’il était temps que les USA cessent de faire de l’ingérence partout ailleurs, et ça rentre dans ce cadre-là. L’USAID était un important vecteur d’influence sous couvert d’humanitaire. Mais bien sûr, dans nos médias, on nous présentera ça comme une atteinte, quand en France, on ferme deux chaînes de télé et que tout le monde sauf les concernés s’en fout.
https://www.ege.fr/infoguerre/2015/02/lusaid-une-ong-au-service-de-la-puissance-des-etats-unis-dans-le-monde
La réalité, c’est bien mieux que le MCU, moi je vous le dis. Les auteurs d’Anthony et d’Harrison ont pas le niveau. 🙂
S’ils se sont mis à faire de l’idéologie c’est parce qu’à Hollywood on ne sait plus écrire. Et quand c’est bien écrit l’idéologie passe bien ( CF Carnival Row).
Donc le vrai problème c’est qu’ils n’ont plus de bons scénaristes. Certains commencent à aller voir ailleurs. Vers les comics ou même la littérature. Bon nombre des auteurs du mouvement New Pulp américains sont passés par Hollywood. Mais quand ils ont vu qu’ils n’arrivaient à rien ils sont allés vers la littérature.
Donc il faudrait recruter de bons scénaristes. Mais le métier est tellement encadré avec des régles, des codes que ce n’est sans doute plus possible de bien écrire.
Les Chinois qui ont pourtant à faire à la censure le font pourtant bien. Et ils font même passer des critiques contre le régime dans des séries de fantasy. Mais c’est bien faire.
Quand on sait les séries qui ne sont pas faîtes Par exemple Lantern City cocréée par Bruce Boxleitner qui est devenu un comics – qui a juste repris le scénario du pilote), Ballistic City ou encore pire le Project 77 (une création de l’artiste Martin Deschambeau et de deux scénaristes qui a donné naissance à un artbook), on se dit que de ce n’est pas l’idéologie le problème. C’est une cause immédiate. Le mal est aileurs. On veut des créateurs qui sont issus du sérail. Et les fils de commencent à arriver ( le fils Kasdan est bien moins doué que son père).
D’un côté les bins scénaristes se barrent et de l’autres les nouveaux qui les remplacent sont mauvais.
Et on capitalise sur l’idéologie pour noyer le poisson. Parce que l’on ne sait plus rien raconter.
Il n’y a plus grand chose à raconter, tout a été fait depuis des décennies…
À part lever certains tabous. Ou bien mettre plus en avant des sujets autour de la diversité, considérés de façon péjorative (similaire à un tabou donc), sauf s’ils sont bien écrits…
Sauf que « bien », c’est relatif puisque la qualité est subjective. Et pour les plus intolérants (moralement et physiquement, le deuxième millénaire en est rempli), « bien » ça ne peut être que « excellent » et Rien d’autre.
Puisque « diversité » égale indirectement « sous-êtres » pour eux. Devant obéir à ceux qui méritent le pouvoir car ils auraient travaillé plus – c’est comme ça qu’on influence le public, et par ricochet les studios (qui ne plient pas face aux politiques), bien que ça se fasse par des méthodes encore plus fainéantes que le niveau des scénaristes d’aujourd’hui.
Donc, comme toujours les minorités sont obligées de donner 20 fois plus pour être considérés comme acceptables, voir exceptionnelles… Sinon, la seule et unique explication à leur présence médiatisée, c’est qu’ils ont été placés là pour faire joli. Pas parce qu’ils ont le droit de travailler.
Comme des bibelots – mais qui pensent vraiment à ça ? Les décideurs ? Ou plutôt les critiques qui serinent les mêmes termes, qui ne voient plus que de l’idéologie partout ? – c’est peut-être un contrecoup de la lutte contre le terrorisme, mal moderne qui se gorge d’idéologie… mais qui tue lui, salement. Alors que une personne différente qui montre sa frimousse, ça ne tue ni ne blesse personne, votre corps est intact et c’est normalement une bonne nouvelle, non ? À moins de penser que les mondes médiatiques, virtuels, semblent plus importants… et qu’on va bientôt devenir comme les gens du futur de « WALL-E ».
Les minorités jadis invisibilisées n’ont ainsi aucun droit à paraître justes, ou normales, et surtout pas à être maladroites mais prêtes à s’améliorer.
Pire encore pour les lecteurs ou spectateurs qui ne veulent que de l’exceptionnel, comme si ça équivalait à manger du caviar à chaque repas… ça crée chez eux un côté hautain, loin des choses concrètes de la vie.
Or l’exceptionnel, ben ça doit être une exception. Donc fait pour être rare, débouler au moment où on ne s’y attend pas, quelle que soit la personne qui est mise en avant.
Peut-être qu’avec une uniformisation, plus de neutralité, ça ressort mieux – en Chine ? y a pas plus homogène, peu de mélange d’ethnies, alors forcément…
Le mal qui gangrenne Hollywoode s’applelle l’auteurisme. Il faut aujourd’hui même pour une franchise populaire, avoir une démarche d’auteur pour créer de la valeur ajoutée. Les bobos du New Jersey qui veulent être encore plus snob que ceux de New York n’y sont pas étrangers.
Bref on fait appelle à Ryan Johnson sur Star Wars, à Waititi sur Marvel. Il faut des visions, des démarches personnelles même si elles sont incompatibles avec les univers en question.
On aime bien aussi ceux qui ne racontent plus mais disent. Dire c’est la valeur ajoutée. Parle de la société. Les Américains, en tout cas ceux d’Hollywood, il faut une légitimation. Et c’est pour ça que le cinéma d’auteur se taille la part du lion aux OSCARS depuis 10 ans.
Et quand on fait une série Star Wars avec l’esthétique de la Nouvelle Vague, on crie au chef d’œuvre.
L’idéologie est entièrement imputable à la vague auteuriste.
Quant à l’inclusivité, Fast and Furious est sans doute la franchise la plus inclusive du moment avec des persionnage de toutes ethnies et orientation sexuelle et pourtant ça passe. Ce qui veut bien dire que c’est l’écriture le problème.
C’est plutôt la Peur la grosse gangrène, que des fragiles de Droite (qui se plaignent trop) et de Gauche (qui ne savent même pas se défendre).
Petits auteurs, il y a… Ou en tout cas, des « personnalités », donc qui ne peuvent pas plaire à tout le monde.
Plus artistique que commercial, titillant le système de l’intérieur même si avec une roublardise souvent artificielle.
Et « FaF », ça reste beauf et bourrin, et on n’y parle Jamais des problématiques liées aux ethnies… C’est de la diversité confortable pour les plus conservateurs, parce que ça ferme sa gueule mais que ça véhicule tout de même une idéologie… libertarienne (ben oui, à Droite aussi).
Comme dit un humoriste « ce sont de grands décisionnaires, qui ont fait de grandes études, qui prennent de grandes décisions … pour faire de grandes conneries ».
Je ne comprendrais d’ailleurs jamais comment est-il possible d’être a de si hauts postes, d’être (soi-disant) les plus qualifiés pour diriger les plus grosses boites de production cinématographiques et de rester bornés a produire de la m…… ? ^^
@The Ghost: Oui je suis au courant de tout ce que tu dis. Espérons que tout rentre enfin dans l’ordre et pour ce qui nous concerne, qu’on ait enfin des produits de qualité.
@Anthony: Tant qu’ils concevront leurs films uniquement comme des produits, ça ne marchera pas.
Mettre 8 scénaristes sur Captain Sam au fur et a mesure que le film ne plaisait pas aux décisionnaires, ne pouvait que mal se terminer.
A force de ne pas vouloir prendre de risques en faisant confiance aux artistes, en étant frileux après le succès mitigé d’un Eternals par exemple, ils répèteront encore et encore les mêmes erreurs.
L’appât du gain est leur pire ennemi.
https://www.youtube.com/watch?v=1y9zk9M417w
Enfin (!) le vrai trailer de la S2 de Andor !
Bizarre le choix de la musique et le ton, j’aurais aimé quelque chose de plus solennel, d’autant que le son tranche avec ce qu’on nous montre.
Mais Trop hâte.
(ils ont bien insisté sur la reconnaissance critique de la S1 ^^ En même temps ça se comprend comme elle n’a pas eu un équivalent en terme de visualisation (si je ne dis pas de bêtise))
Vu le dernier épisode de Solo Leveling ! Quel super animé, j’accroche beaucoup !! Et enfin un animé qui ne s’encombre pas de palabres en tout genre, d’histoires d’amour sans intérêt, etc etc … il va droit au but, tout en offrant de superbes animations.
Et cerise sur le gâteau, je pense que le créateur du manga/anime est un grand fan de Hidetaka Miyazaki et de ses jeux Dark Souls, vu que le boss de ce dernier épisode a une très grande ressemblance avec Le Roi Sans Nom de Dark Souls 3 😛
Hate d’être a samedi pour voir la suite !
Je te conseil vivement de lire le Manwha, l’anime skip pas mal d’éléments important.
J’adore Solo Leveling. C’est très stylé et j’ai rarement vu un MC aussi charismatique mais faut être honnête : ça ne raconte rien.
Je viens de finir le manhwa et c’était très divertissant, mais la totalité du scénario tient sur un timbre poste, pas un seul personnage en-dehors du héros n’a droit à un développement, et Jin-Woo ne rencontrera plus aucun obstacle réel entre la fin de la saison 1 et la fin de l’histoire (j’exclue Ragnarok que je n’ai pas encore lu), si ce n’est deux adversaires dont l’un vient tout juste d’être éliminé dans l’anime… Le reste du temps il ne fait que rouler sur tous les adversaires qu’il rencontre, ce qui finit par rendre le truc lassant quand on arrive au chapitre 150… Et puis même au niveau de l’animation c’est quand même assez paresseux en-dehors d’une poignée de séquences.
Je faisais les mêmes reproches à Bleach : toute une galerie de persos over-stylés mais pauvreté narrative. Solo Leveling c’est pire : un seul personnage brille et fait de l’ombre à tous les autres, et ça raconte encore moins de choses. Beaucoup ont critiqué la Division Zero de Bleach, supposée être les big boss de la SS mais qui se faisaient éclater au premier combat, mais que dire des rangs S de Solo Leveling qui sont déjà quasi-obsolètes dès leur présentation ?
Bref, j’adore SL, je passe de très bons moments devant et c’est un plaisir de découvrir chaque nouvel épisode. Mais objectivement, non, c’est vraiment pas ouf, que ce soit au niveau de l’écriture ou de l’animation.
Si je suis d’accord sur le fait que Jin-Woo roule sur tous les boss et est overcheated, j’aime que l’anime ne se focalise que sur lui. Il va droit au but, ne s’encombre pas d’histoires annexes inutiles. Perso, ça me plait, je passe un excellent moment. Ca me fait penser un peu a Sword Art Online (j’avais aimé la saison 1)
Et puis, comme dans 95% des anime/manga, les héros sortent toujours vainqueurs même si leurs routes sont bourrées d’obstacles 😛
@Archer :
En même temps, Solo Leveling porte bien son nom.😅
Perso, quand j’ai lu et abandonné SL (je n’aimais plus et je ne suis pas maso), je lui ai trouvé quelques similitudes avec One Punch Man, sauf que celui-ci avait des personnages secondaires pouvant m’intéresser et de l’humour.🤔
OPM que j’ai arrêté temporairement car la guerre contre les monstres et le délire de Murata de redessiner des chapitres m’ont gavé.😅
@4eva
Ahah certes, mais à ce niveau ils auraient dû l’appeler Solo Existing ! 😅
Sans spoiler les autres, tu as arrêté à quel stade exactement ?
La comparaison avec One Punch Man (qui, lui, porte parfaitement son nom pour le coup ! ^^) est intéressante. J’ai développé un peu la même lassitude devant OPM que devant SL (j’ai dû arrêter à la fin du combat avec Cosmic Garou je crois), mais OPM me semble plus varié dans les événements qu’il présente. Et puis il offre aux personnages secondaires l’occasion de briller, lui ! Quand on te présente un perso stylé, généralement, c’est pas pour le faire atomiser au premier combat quoi…
Après ça raconte pas grand chose non plus et c’est assez creux également. Le héros ne rencontre aucun véritable obstacle et pour le coup il n’évolue pas d’un iota (jusqu’au stade où je me suis arrêté en tout cas).
Par contre niveau dessin c’est quand même une dinguerie, bien au-dessus de ce que propose SL. Murata c’est un titan !
@Anthony : Le principe de n’importe quelle histoire c’est de faire évoluer le (ou les) héros face à des difficultés. Ses adversaires doivent le mettre dos au mur, le pousser à remettre en question ses points de vue et valeurs, le faire évoluer dans la difficulté. Le héros doit se tromper par moments. Perdre des choses précieuses. Quand il développe de nouveaux pouvoirs ça doit avoir du sens, raconter quelque chose. Pas juste changer le skin de ses dagues et changer leurs stats. xD C’est juste la base en fait.
Quant à la comparaison avec SAO… Bof. Allez, pour le côté jeu-vidéo et over-cheated MC ok. Mais niveau animation déjà faut pas déconner, SAO c’est du très gros niveau. SL ne joue pas du tout dans la même catégorie. Et niveau narration c’est très pauvre également mais au moins ça raconte des choses, même si tout y est traité superficiellement. Perso je préfère SL, mais qualitativement SAO est au-dessus, il faut être honnête.
Prendre le temps de raconter les choses c’est pas inutile. C’est nécessaire pour donner du sens aux événements et créer des émotions plus subtiles qu’un simple « wouah le gars est trop stylé !!! ».
Après comme je disais tu peux kiffer ce genre de choses, et c’est mon cas également. Je réagis simplement au fait que tu présentes Solo Leveling comme un anime de grande qualité alors que c’est vraiment pas le cas, et je mets ça là pour les gens qui te liraient et s’attendraient à voir un chef d’œuvre de l’animation japonaise : non les gars, c’est pas le cas. SL c’est du fast food. Donc foncez si vous voulez voir un mec stylé devenir de plus en plus stylé et rouler sur tous ses ennemis avec une animation décente (et ponctuellement un peu plus que décente) sur fond de musique épique de Hiroyuki Sawano (😍). Mais passez votre chemin si vous ne supportez pas les histoires creuses et dénuées de fond. SL n’est pas pour vous…
@Archer :
Pour SL, je crois que je me suis arrêté quand le héros a marché sur le géant barbu à lunettes ou quand l’arc final a débuté avec celui qui adore cracher du feu.🤔
@Archer
« Je réagis simplement au fait que tu présentes Solo Leveling comme un anime de grande qualité »
Euuuuuuh j’ai juste dit que j’adorais, que c’est un super animé. Faut apprendre a lire hein 😜
« Quant à la comparaison avec SAO… Bof »
J’ai écrit « ca me fait penser UN PEU a SAO », et oui le speech est UN PEU du même style.
J’aime bien ce que tu as écrit mais juste faudrait se calmer un chouia hehe 😆😆
Surtout que j’ai kiffé le dernier épisode PARCE QUE le boss de cet épisode est une référence a un boss de Dark Souls 3 que je suis en train de faire 🙂
@Anthony
« Euuuuuuh j’ai juste dit que j’adorais, que c’est un super animé. Faut apprendre a lire hein »
J’ai bien lu. Est-ce que je dois vraiment expliquer que le mot « super » est synonyme de « très bon », et donc de « grande qualité » ?
« J’ai écrit « ca me fait penser UN PEU a SAO », et oui le speech est UN PEU du même style. »
On dit pitch ! BORDEL !!! (je déconne, je suis pas vraiment énervé mais je pouvais pas laisser passer ça 😅
« J’aime bien ce que tu as écrit mais juste faudrait se calmer un chouia »
J’étais tout à fait calme quand j’ai rédigé ces lignes. 🤷♂️
@Archer
Ok, on a une definition différente du mot super. Je n’ai pas parlé de chef d’oeuvre ou de monument de l’animé, ou de tuerie, etc
Ceci dit, vu comment tu m’as rédigé ton texte, en étant obligé d’expliquer aux autres de prendre avec des pincettes mes mots, je pense tout de même que tu n’étais pas content de mes propos haha
Je venais juste dire que j’aimais l’animé, c’est tout lol
« On dit pitch ! BORDEL !!! (je déconne, je suis pas vraiment énervé mais je pouvais pas laisser passer ça 😅 »
Si si tu t’énerves 😉
Oui, si tu veux « pitch ». C’est le bon mot … même si speech pourrait être utilisé également 😜
@Anthony
« on a une definition différente du mot super »
En ce qui me concerne, c’est celle du dictionnaire (le Larousse en l’occurrence : https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/super-/75409).
Alors c’est peut-être pas ce que tu voulais dire, mais c’est bien ce que tu as dit. ^^
« même si speech pourrait être utilisé également »
Hmmmm nan là non plus 😅
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/speech/74122
Sois précis Anthony !!!
@Archer
Eh beh, si j’avais su que tu tiquerais sur le mot super a ce point ….
Je suis désolé mais ce genre de conversation, c’est pas mon truc ^^
Du coup, puisque tu veux aller dans cette voie, voici les synonymes:
extraordinaire, fantastique, génial, remarquable. – Familier : chic, chouette, extra, fabuleux, formidable, magistral, sensationnel.
Tu remarqueras qu’il y a toutefois une différence, par exemple, entre les mots génial et extraordinaire ou avec les mots plus familiers tels que chouette et sensationnel.
Donc, non, le mot que j’ai employé est le bon, c’est juste toi qui s’est emballé et a tout de suite fait le rapprochement avec chef d’oeuvre 🙂
Il m’est d’ailleurs déjà arrivé de parler de chef d’oeuvres (et de l’écrire) pour d’autres oeuvres (films, jeux vidéo, livres, séries, etc) donc il faut faire la part des choses 🙂
Bref, Solo Leveling est un super animé, c’est mon avis 😛
« « même si speech pourrait être utilisé également »
Hmmmm nan là non plus 😅
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/speech/74122 »
Que c’est adorable de ta part de me mettre des liens vers larousse. Je n’y serais pas arrivé moi même haha
Dooooonc je réitère, le mot speech pourrait être également utilisé même si le bon mot est pitch. J’utilise souvent ce mot et je continuerai a le faire 😀
Allé, tu ne m’en voudras pas, j’en suis sûr, mais je vais m’arrêter ici pour ma part 😉
Bonne soirée (et sans reproches ni ombrages)
@Anthony
Ce niveau de déni et de mauvaise foi est terrifiant…
T’as pas l’air au courant qu’un synonyme ne porte pas exactement le même sens que le mot cible, mais bon je vais pas perdre plus de temps à essayer de te faire comprendre les choses.
Tu peux utiliser les mots que tu veux évidemment. Libre à toi d’être le Perceval des Toiles Héroïques. Mais si tu écris ici que ta Clio est une moto ne t’étonne pas de voir quelqu’un te corriger.
@Archer
« T’as pas l’air au courant qu’un synonyme ne porte pas exactement le même sens que le mot cible, mais bon je vais pas perdre plus de temps à essayer de te faire comprendre les choses. »
Eh beh tu vois quand tu veux !! Tu as enfin compris !! Yes !! Hallelujah, c’est pas trop tôt !!
Toujours The Pitt pour moi. Et l’épisode de vendredi m’a bouleversé. C’était vraiment dur a tanker. Mais c’est toujours aussi bien joué.
– « Looney Tunes : Daffy et Porky sauvent le monde »
« Je suis un canard, mû par un solide instinct de conservation…! »
Un non-événement, voilà ce qu’est ce film, qui est pourtant le premier long-métrage entièrement animé avec les Looney Tunes, fait pour le grand écran – après le sacrifice de « Coyote vs ACME », sous l’autel des petites économies de David Zaslav (quand-même, un film de procès à la Roger Rabbit !?).
Enfin, « les Looney Tunes », pas vraiment… Il n’y en a que deux, Porky Pig (avec sa dulcinée Petunia) et Daffy Duck, les autres étant étrangement aux abonnés absents malgré une intrigue qui concerne la Terre entière.
À moins qu’il s’agisse là d’un reboot total de la franchise, conçu d’abord par le réalisateur Pete Browngardt comme un spin-off/prequel de sa récente série « Looney Tunes Cartoons » (plus classique, dans laquelle les toons n’interagissent plus entre eux), puis repartant depuis le début avec deux des premiers personnages des cartoons de Warner Bros ?
Possible… en attendant c’est surtout un retour sur le grand écran pour des personnages qui viennent d’abord de là, fondamentalement en format court (avant les films), avant de trouver une place plus appropriée à la télé. C’est pareil pour tous les premiers cartoons de l’histoire du cinéma, rares étant ceux pouvant revenir ensuite à la tête d’un long-métrage à moins que celui-ci ne soit un pur film de genre – du film d’aventure pour la Bande à Picsou (normal, Indiana Jones s’est inspiré des comics de Carl Barks), du road movie pour la Bande à Dingo (et Max), il y a aussi eu du film de monstre (anglais) pour le passage au long de Wallace et Gromit.
Question Warner, jusque là ça a toujours joué collectif : dans le sillage de « Qui veut la peau de Roger Rabbit » et ses toons venus de plusieurs studios, les Looney étaient tous regroupés autour de personnages humains dans leurs propres films, pas mal fichus pour le premier »Space Jam » et « Les Looney Tunes passent à l’action »…
Tandis que ici, c’est comme si on avait un épisode de Daffy et Porky en version longue, ce qui ne devrait pas être approprié pour ces personnages ultra speed (comment réussir à tenir le rythme pendant 1h20 ?). Ou bien comme si c’était une mini-série reformatée en film, avec quelques rebondissements, sous l’égide d’une douzaine de scénaristes.
Mais pour justifier le grand écran, faire une parodie de films d’invasion Rétro, c’est pas vraiment une idée originale tellement ça a été fait de nombreuses fois.
D’autant que là, tout y (re)passe, de Robert Wise à « The Thing » en passant par « L’Invasion des profanateurs » et « Le Blob »… En gros, que des références connues par des spectateurs de plus de 40 ans, devenant ainsi une découverte pour les plus jeunes. Mais aussi, que des films de SF américains sortis à des époques plus conservatrices, celles que beaucoup voudraient voir revenir – d’ailleurs l’animation et le look des personnages semble aussi venir d’un autre temps, les références modernes (téléphones etc) étant rares.
Il y a une espèce d’ambiance « beauf US » là dedans, qui peut laisser croire que c’est la raison pour laquelle la Warner est prête à sortir ce film en catimini (Ketchup Entertainment le distribue en Amérique, Le Pacte en France).
Il n’y a qu’à voir le père adoptif des héros, Jim le fermier, sorte d’idéal américain à la Paul Bunyan, tellement mythologique qu’il en devient littéralement figé (à part une séquence cruciale où il est entièrement animé)…
Ou Daffy et Porky tenant plus de Dumb et Dumber, puisque plus ou moins montrés comme des handicapés mentaux, qui s’aiment à jamais, même si l’un d’entre eux est complètement ingérable et embarasse régulièrement l’autre – c’est à se demander si ce sont pas plutôt ces toons qui ont inspiré les frères Farrelly…
Ou bien une morale qui consiste à dire que l’argent résout tout, ou bien du conspirationnisme, ou bien la Terre vue du ciel mais uniquement avec le continent américain au milieu, ou bien la présence importante du chewing-gum (plus ricain tu meurs)…
Et alors que le scénario crée un retournement de situation – là aussi à cause d’un produit typiquement américain, un milkshake – le film évolue et voilà que déboulent les seules références SF un petit peu plus modernes : « Armageddon » (bonne idée, l’iconoclaste Michael Bay est fait pour réaliser un jour un film des Looney Tunes), et « Independence Day » (des clichés pour les autres pays, un atterrissage héroïque)… On peut pas faire plus borné que ça.
L’on se retrouve alors avec un film bouffant à tous les râteliers… pour certains, on aura de purs héros yankees, braves, sûrs de leur bon droit même quand ils ne sont pas très habiles.
Pour d’autres, une critique d’une Amérique bas du front, ainsi que d’une productivité se faisant au détriment de l’humain et de la créativité – « Les Temps modernes » est facilement cité, le marketing hollywoodien est en ligne de mire.
Niveau interprétations, l’une comme l’autre se valent.
Et pour ce qui est donc du rythme, il bénéficie d’une animation 2D superbement fluide, d’idées de mise en scène très amusantes, et il est bien entendu infernal d’hystérie, calibré pour retenir l’attention des plus jeunes tout en laissant quelques instants de calme pour ne pas soûler les adultes… Très efficace.
Les seuls regrets qu’on pourrait avoir, c’est le fait que le film ambitionne de raconter une histoire touchante entre deux frères, jusqu’à leur mettre un peu de plomb dans la tête… au lieu de juste se limiter à partir dans tous les sens de manière anarchique, en se préoccupant plus du plaisir foutraque que de l’émotion.
L’autre déception, c’est que quitte à faire un film d’angoisse avec des envahisseurs (sans la présence de Marvin le Martien ou de Duck Dodgers !), il aurait été plus pertinent de rendre hommage au co-créateur de Porky et Daffy, Bob Clampett.
Un génie surréaliste (on se souvient de son personnage du Do-Do), utilisant la profondeur de champ et les déformations physiques, et dont les cartoons pouvaient créer une sensation de malaise indéfinissable.
De la folie dangereuse, hargneuse, que le film touche du doigt (Daffy) mais sans réussir à l’égaler.
https://www.cartoonbrew.com/cartoon-study/bob-clampett-fifteen-freakouts-looney-tunes-228642.html
« Eh Th Th Th Th That’s fine folks ! »
@LTH : Que penses-tu départ à venir de Kathleen Kennedy de Lucasfilm d’ici la fin de l’année 2025 ?
Tu es un grand fan de Star Wars : tu penses que cela peut annoncer du positif pour la franchise ? Filoni ou Favreau pour la remplacer à ton avis ?
Bye bye Kathleen Kennedy ^^
Vive Dave Filoni!
*Si* c’est confirmé, je concède qu’on pourra difficilement la regretter, étant donné qu’actuellement, c’est un peu le désert : zéro film depuis six ans et une seule série cette année. Mais il faudrait juste rappeler – étant donné que c’est la Postlogie qui semble peser le plus lourd dans son ‘dossier’ – que c’est Bob Iger qui a fait le forcing pour sortir au plus vite SW7 en 2015, avec l’absence de plan d’ensemble que cela a entraîné. En revanche, j’ai l’impression qu’elle a complètement sous-estimée la mine d’or qu’était l’Univers Etendu + sa notoriété auprès des fans, au point d’avoir dit il y a quelques années que la différence entre Star Wars et d’autres franchises célèbres, c’était qu’il n’y avait pas de livres/personnages à adapter. Or depuis, il y a un virage avec la mise en avant d’Ahsoka, Thrawn et peut-être bientôt Mara Jade. Mais ça a mis du teeeeeeeeeeeeeemps.
Pour le remplacement, producteur et créatif sont généralement deux boulots distincts. Filoni et Favreau sont quand même très marqués créatifs. Pareil pour James Gunn (vitrine), d’où l’adjonction de Peter Safran (coulisses) à la tête de DC Studios. Bref, un ticket producteur de métier + Dave Filoni le Padawan officiel de George Lucas, ce serait pas bête.
On peut aussi rappeler que c’est une femme de 71 ans qui as plus de 40 ans de carrière derrière elle, et qu’elle a peut-être juste envie de profiter de sa retraite…
Pas vraiment…
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Avant-son-depart-Kathleen-Kennedy-fait-le-point-sur-les-7-films-Star-Wars-a-venir
Oui c’est purement et simplement incroyable. Avec l’univers étendu, Disney avait une autoroute devant lui afin de contenter les fans sans aucun effort. Il fallait quand même avoir un sacré melon pour penser qu’ils allaient pouvoir faire mieux que l’UE avec ce que la postlogie avait en réalité sous le coude… mais bien entendu, pour cela, il aurait fallu prendre le temps de se renseigner ou alors d’embaucher des vrais connaisseurs.
Est-ce qu’on peut arrêter de faire comme si l’Univers Étendu était un tout cohérent dans lequel rien ne se contrediser et où tout était de qualité ?
Parce que c’était clairement pas le cas…
Qui a dit ça ? Tu es vraiment idiot c’est fou à ce point ou alors tu fais exprès ?
Rien à voir mais Ororo a décidé de me punir pour tous mes trolls. Garance va nous nettoyer demain. Ca va piquer.
Force et honneur !
Merci l’ami!
Bon, ce soir, avec les copains ectoplasmés, on doit passer boire un coup chez les vampires. Je ferai un bisou pour vous à l’âme de Michelle Trachtenberg. 🙁
J’étais choqué d’apprendre la nouvelle…
Moi aussi, ça m’a scié. Et maintenant, Gene Hackman… ça fait beaucoup d’un coup, là… 😭😭😭
Vu les les trois premiers épisodes de Reacher saison 3
On retrouve la vibe de la saison 1 en ce qui me concerne avec la petite ville et l’ambiance plus intimiste. Et Reacher est à nouveau le centre de gravité du programme.
Le début de l’épisode 1 est vraiment bien foutu ainsi que sa construction globale. Difficile d’en dire plus sans spoiler et ce serait dommage.
Pour le reste je ne me suis pas ennuyé une seconde. On retrouve les punchlines et les moments bien testostéronés. Le gars tue tous les méchants sans sourciller et sans que ça pose le moindre problème moral à quiconque et bordel ça fait du bien! Non pas que je sois un apôtre de la violence ou de la vengeance et autres peines de mort. Mais c’est de la fiction, et on est aussi là pour voir des choses qui ne sauraient être acceptables « en vrai » car l’être humain a besoin de ça. Il a besoin de vivre tout ce qui est transgressif ou interdit au travers de fictions pour sa construction, c’est comme ça depuis les contes pour enfants.
Bref, ça fait du bien de voir ce type de programme en 2025, ça évite de se refaire les mêmes films et séries des 80’s et 90’s pour la xième fois
Ah! Ca donne envie. La saison 2 avait refroidi pas mal de monde.
Gene Hackman nous a quitté. R.I.P.
Quel acteur ( que je n’aimais pas forcément) à la looonnngue carrière. Un charisme de fou et qui jouait tous types de rôles. Une énorme figure d’Hollywood ( encore une ) s’en va…
Putain! Lex Luthor quoi! RIP à cet énorme acteur.
Inoubliable dans ce rôle. Je l’avais découvert dans French Connection…
@ Garyus : Je suis dégoûté… 😭😭😭 Comment ça va, chez toi ? L’ouragan, je veux dire…
@Jyps50: Enorme classique French Connection!
@The Ghost: Ouragan c’est pour l’Atlantique ^^
Chez moi, c’est cyclone mais merci de demander. On se prépare, on fait rentrer les bêtes, on ressort les vieux jeux de société, on écrit ses dernières conneries sur LTH et on serre les fesses. 😅
On pense fort à toi et aux tiens ainsi qu’à tous ceux qui vont subir ça
Je viens tout juste de rattraper mon retard sur House of the Dragon, suite aux suggesions de Garyus & ayorsaint (de mémoire).
En résumé, j’ai vraiment apprécié la saison 1, avec des personnages intéressants à suivre, des dialogues percutants et une intrigue complexe.
Pour ce qui est de la saison 2, j’ai aussi aimé le début, mais je dois avouer que vers la fin, l’aspect « Power Rangers chevaucheurs de dragons de la diversité » m’a semblé un peu trop exagéré à mon goût. Cela enlève un peu de la profondeur qu’on avait dans la première saison.
A voir pour la saison 3, j’attendrai les retours de l’intégral de la saison.
Concernant l’idée du casting de Ritchson en Bruce Wayne, je reste un peu réservé. Même si j’apprécie beaucoup l’acteur et que l’idée peut être intéressante.
Je ne suis pas spécialement convaincu de sa capacité à incarner la facette inquiétante et psychotique de Bruce. Jusqu’ici, j’avais trouvé l’acteur plutôt unidimensionnel dans ses rôles précédents. Cela dit, je ne l’ai vu que dans 3 rôles et ce n’est qu’un avis, il pourrait très bien réussir à maîtriser le rôle.
https://www.premiere.fr/People/News-People/Mort-de-Gene-Hackman-Les-hommages-de-Clint-Eastwood-F-F-Coppola-Mel-Brooks-Robert-Duvall
👍