Le bar de Galactus #227 : Wish ~ Family Switch

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Bienvenue dans le bar de Galactus : chaque lundi, une nouvelle page est à votre disposition pour discuter cinéma, télévision et comics au sens large, loin des univers Marvel et DC Comics !

Pour fêter comme il se doit son 100e anniversaire, Disney ne pouvait pas finir l’année sans sortir un nouveau film d’animation… Ce sera chose faite avec Wish, un conte de fées qui verra Ariana DeBose (Kraven the Hunter) donner la réplique à Chris Pine (Wonder Woman). Tiens, quel est le premier Disney que vous avez vu au cinéma ? Blanche-Neige et les Sept Nains ou Zootopie ? (Autant voir large, il y a peut-être un ou deux centenaires sur ce site.) Pour ma part, je viens de finir Cataclysme de Lydia Kang, qui n’est autre que le dernier roman adulte de la Phase II de La Haute République. On passe toujours un bon moment, surtout quand un siège de Waco version Star Wars se déchaîne, mais qu’est-ce que les Jedi peuvent être bêtes… Vous me direz, c’est au moins raccord avec la Prélogie ! Alors, qu’avez-vous vu/lu/bu dernièrement ? A vos claviers, très belle semaine à tous et surtout, surtout, ne mangez pas d’un coup tous les chocolats de votre calendrier de l’Avent !

Asha, jeune fille de 17 ans à l’esprit vif et dévouée à ses proches, vit à Rosas, un royaume où tous les souhaits peuvent littéralement s’exaucer. Dans un moment de désespoir, elle adresse un vœu aux étoiles auquel va répondre une force cosmique : une petite boule d’énergie infinie prénommée Star. Ensemble, Star et Asha vont affronter le plus redoutable des ennemis et prouver que le souhait d’une personne déterminée, allié à la magie des étoiles, peut produire des miracles…

44 COMMENTAIRES

  1. Moi, c’était Tarzan 🙂

    Et pour rester dans la thématique du Bar de Galactus, j’ai vu l’épisode spécial de DOCTOR WHO. C’est redevenu une bonne série, c’est top 🙂

  2. De souvenir… La Belle et la Bête. Première et dernière fois où il y avait des vendeurs de pop-corn et bonbon qui passaient dans la salle pendant la séance.
    Puis présent pour tous les Disney de Noel qui ont suivi jusqu’à Mulan inclus. Ah… Merveilleux age d’Or de Disney

  3. Je suis en train de me refaire la saga Hunger games avant d’aller voir le préquel : j’en avais un bon souvenir, et au revisionnage je me rends compte que c’est en fait une excellente saga.
    La mise en scène, les émotions, la BO, les sfx, le jeu d’acteur (ils ont vraiment trouvé une perle à l’époque avec Jennifer Lawrence, aujourd’hui c’est une évidence, mais déjà à l’époque elle avait « quelque chose »). J’apprécie tellement que si mon quotidien me le permettait, j’aurais tout enchainé. J’espère que le préquel est à la hauteur.

    Ah et j’ai failli oublié : épisode 4 de Invincible. Wow, la menace vient de prendre une sacré ampleur d’un coup.

    @Boossssssssssssssssssssssssssssssssss, à quand un article hebdomadaire à la sortie des épisodes de Invincible ???

  4. SCOTT PILGRIM TAKES OFF ( Netflix )

    Une claque visuel et scénaristique qui monte en puissance.
    En s’appuyant sur l’adaptation cinématographique, la série propose une vision alternative qui joue sur la connaissance de l’oeuvre original mais pour mieux la déconstruire et créer sa propre histoire.
    Ingénieux au possible.
    La série propose aussi suffisamment d’idées pour convertir le non initié !
    Une S2 ? A voir car on peut imaginer parfaitement des variations autour des personnages secondaires.

  5. SPOILER SPOILER SPOILER !!!!!!!!!!!

    ATTENTION SPOILER !!!!!!!!

    Je viens de finir le premier spécial de Doctor Who et j’ai un peu de mal avec la conclusion de Docteur Donna, c’est du niveau de Carina Smyth dans Pirate des Caraïbes 5 et c’est je trouve limite une facilité scénaristique, j’espère vraiment pas que cela devienne récurent dans les dialogues des futurs épisodes.
    Aussi le faite qu’il y a des plans que j’ai trouvé insistant sur l’ethnie d’un policier de l’Unit je trouve vraiment que ca manque de subtilité. A voir ce que vont donnez les épisodes spéciaux suivant.

    Après je suis peut être trop sévère sur les points évoqués, j’ai pas revue la période Tennant/RTD depuis un moment

    Sinon je conseille vivement Lesson In Chemistry sur Apple TV avec Brie Larson, j’en suis qu’a l’épisode 3 ou 4 et on y suis Elizabeth Zott, une technicienne dans un labo de chimie devenant animatrice d’une émission de cuisine par la force des choses, c’est amené une bonne façon je trouve et montre les difficulté (voir pire) que peut avoir une femme durant la période années 50 (il me semble) au USA, en particulier une femme scientifique. Ca aborde aussi la parentalité, la difficulté que c’est contrairement au mythe bisounours que certains peuvent avoir.

    J’ai vu aussi Napoléon au ciné, et j’ai trouvé que le film passait rapidement sur la vie de Napoléon, je sais que le film se concentre sur la relation Napoléon-Joséphine mais certains moment célèbres sont baclés dans le sens ou j’aurais aimé plus de développement (aucun point de vue sur l’apport de Napoléon envers la France, ce qui le pousse a devenir Consul et ensuite Empereur) et bizarrement aucune mention de son rapport à l’esclavage, pour un film anglo-saxon c’est limite bizarre.
    Après je suis d’accord que Napoléon ne tiendra jamais dans un film tellement son histoire est riche. Il faudra que je me mette a lire des livres sur lui. Par contre représenté le couple Joséphine-Napoléon de façon limite toxique faudra que je voie si c’est une pure invention ou si c’est valide historiquement.

    Et pour ce qui est de mon premier Disney au cinéma j’en ai aucun souvenir.

  6. Aladdin et j’ai eu la Megadrive avec le jeu au noel qui a suivi, on roulait pas sur l’or a l’époque mais les darons était encore jeune donc ca nous a fait un cadeau commun pour la famille avec Terminator pour mon père et Alex Kidd pour ma mère. Ce doit etre la nostalgie qui fait son effet, mais encore aujourd’hui, malgré les playstation 1, 2 la wii etc… La megadrive est la seule console retro que je continue d’allumer régulièrement et les disney des années 90 sont les seuls qui trouve encore grace a mes yeux.

  7. Vu le nouvel episode de Doctor Who.

    J’avais des réserves sur le fait de revoir Tennant et la bande de la saison 4, sur le fait que cette histoire soit une adaptation d’une BD/BF (j’aurais vraiment préféré qu’elle soit originale pour ne pas supplanter/remplacer/effacer l’original).
    J’ai cependant apprécié que le 14 mentionne à plusieurs reprises le fait qu’il était très troublé par cette « nouvelle » incarnation. Le mari de Donna était assez drôle, mais j’aurais aimé qu’il soit plus qu’un simple comic relief, et la mère de Donna était toujours aussi délicieusement abrasive. Donna… était Donna. Rose, la nouvelle venue, était plutôt cool. La nouvelle dynamique familiale était suffisamment différente de celle de la S4 pour qu’il soit intéressant de la revoir (même si, depuis le papier psychique du début, 14 se considérant toujours comme une femme, j’ai haussé un sourcil à la fin, quand Donna et Rose se sont présentées comme « comme un homme ». Ce passage m’a semblé étrange (NGL).

    J’aime bien le nouveau décor intérieur du TARDIS, mais je ne suis pas du tout fan de l’aspect clinique. Et *encore* un manque d’accessoires et de choses avec lesquels les personnages peuvent interagir quand ils ne sont pas en train de voler. Ça ressemble pas à une maison, et c’est vraiment dommage. L’intérieur des 7eme/8eme/12eme docteurs reste le meilleur. (Les 4eme et 5eme obtiennent des mentions honorables pour nous avoir au moins montré des pièces différentes, y compris une vraie chambre 🙏🏻 )
    Ma seule vraie et grosse bête noire est le fait que Donna, ne soit pas morte à la fin.
    On a l’impression qu’il y a un manque évident de conséquences pour les personnages qui essaient d’être/agir comme le Docteur depuis Clara, et c’est vraiment dommage. Au moins, Donna a renoncé à tout ça et va vivre une vie normale, extraordinairement ordinaire (comme la plupart des humains devraient le faire) avec une famille aimante et adorable.

    J’ai aimé la bande-son et les effets visuels, un travail brillant. Les accessoires et la diversité du casting ont été un plus indéniable ! Mais j’aurais aimé que ce soit une « nouvelle » histoire et non une adaptation, et cela me donne encore plus envie de voir le Docteur de Gatwa.

    Au final un épisode moyen – a mes yeux. Rien ne différencie ce 14eme Docteur du 10eme Docteur, Tennant joue son personnage comme il le jouait a l’époque. L’alchimie avec Donna fonctionne encore très bien, mais… Bah y a encore cette sale impression que RTD veut juste faire ce qu’il faisait en 2008, et perso c’était clairement pas l’époque bénie que les fans (et hélas les détracteurs de l’ère Chibnall bien trop souvent) disent que c’etait. Le prime de RTD c’etait avec Eccleston, celui de Moffat avec Capaldi.
    Je ne sais pas quel etait l’intention derriere, si c’etait de toucher la fibre nostalgique d’une poignee de fan hardcore de Tennant ? De vouloir surfer sur le Docteur le plus populaire, confirmant le fait que Tennant est le Tom Baker de l’ere moderne, et donc que tous les autres sont inferieurs et pourquoi s’emmerder a vouloir faire autres choses qu’utiliser les plus populaires pour faire revenir des spectateurs ?

    Gatwa arrive, et c’est bien la seule chose qui m’interesse dans DW aujourd’hui, parce que cette « nostalgie » d’une ere pre-2010… je suppose que je suis trop jeune pour trouver ca interessant ou pertinent, mais je trouve meme ca carrement honteux, et ENCORE plus pour une serie comme DW, au contraire tournee vers l’avenir depuis ses debuts.

    Et lire un dans des commentaires (comme un un peu plus haut) « Et pour rester dans la thématique du Bar de Galactus, j’ai vu l’épisode spécial de DOCTOR WHO. C’est redevenu une bonne série, c’est top 🙂 »…
    « C’est redevenu une bonne série ». Bordel quoi.

  8. Ben ouais, paraît que « Blanche-Neige… » en premier, sur grand écran…
    Dur de s’en souvenir, trop jeune.

    Personne pour citer ici les derniers films de genre français ? – « Mars Express » en ce moment.

    Vu :

    – « Lady in the fog/Scotlant Yard Inspector » (les deux titres sont valables)…
    Pour une fois que Cesar Romero joue un enquêteur plutôt qu’un gros séducteur ou un fourbe, il faut que ça soit un rigolo qui se prend tout le temps les pieds dans le tapis – en même temps, c’est un civil.
    Certes le film de Sam Newfield reste un polar classique (une femme a besoin d’aide pour élucider la mort de son frère),, assez divertissant, mâtiné d’espionnage avec d’ailleurs la présence de la future Moneypenny Lois Maxwell.. et plus le mystère s’épaissit, plus ça devient sérieux.
    Mais le nombre de gags qu’on doit enchaîner avant, qu’ils soient cartoonesques (Romero confectionne des boissons explosives qui ne servent à rien), ou récurrents (un vendeur de billets d’avion qui s’arrache les cheveux), font passer ce film pour du Hitchcock mal équilibré.
    _

    – « Le Prisonnier de Zenda »…
    La version de Richard Thorpe de 1952… Et quel film !
    Appartenant au sous-genre romanesque du Double (puisque Dumas ou Mark Twain l’ont aussi exploré, jusqu’à Chaplin et Dupontel), cette histoire d’Anthony Hope trouve un nouvel écrin en Technicolor, absolument splendide.
    Les couleurs bien sûr, la technique évidemment (on a des interactions vraiment bien fichues entre un même acteur dédoublé), le rythme…
    Mais avant tout ça, il y a les acteurs.
    Et quand-même, qu’est-ce qu’il est bon dans les films d’époque colorisé Stewart Granger. Il sortait à peine du chef d’oeuvre « Scaramouche », et ça se voit : dans un film qui repose beaucoup sur les dialogues à fleurets mouchetés, où Deborah Kerr est fidèle à elle-même (d’une classe et d’une dignité totale) et où James Mason est si formidable qu’il bouffe l’écran et vole la vedette à celui qui est censé être l’antagoniste principal (Robert Douglas, coincé)… on s’attend à ce qu’il y ait tout de même de l’action rocambolesque.
    Il y en a quelques-unes assez brèves, mais à la fin on arrive à une prise de château et là ça explose ! et puis après s’être envoyé plein de trucs à la figure, Granger et Mason se saisissent enfin d’épées et ça s’envole ! On a des plans-séquences (doublés ou non) qui durent sans avoir à bouger la caméra ! Et en plus il faut faire baisser un pont-levis !
    Et puis il y a des romances qui ne peuvent pas résister à la raison d’État ! Le Romanesque est total.
    Moins de une heure quarante, rien de superflu, que du bonheur !
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    – Début d’une partie de la filmographie de Phil Karlson…
    Un bon artisan dont vous ne retiendrez jamais le nom. Mais au moins à l’époque, ça n’était pas une raison pour se montrer méprisant envers ce genre de réalisateurs.
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    – « Hunger Games : La Ballade du serpent et de l’oiseau chanteur »… Analyse complète sur la page dédiée, au Bar # 225…
    En fin de compte, Snow et Lucy-Gray correspondent aussi bien l’un et l’autre à la fois au Serpent, et à l’Oiseau (baratineur). Pas mal du tout.
    Le film va exactement là où on s’y attend, et puis ensuite là où on ne l’y attend pas.
    Et puisque ça a plutôt bien marché, est-ce qu’on ne devrait pas imaginer une histoire ultérieure (pas une suite) qui prendrait le point de vue de Tigris Snow ? Et tous ceux à Panem présentant une identité modifiée, et faisant partie d’un milieu underground, dans une ambiance de Polar ?

    – « 10 000″… Débile ?
    Séparé de Dean Devlin, Roland Emmerich croit avoir trouvé un nouvel acolyte avec… le compositeur Harald Kloser ? Pour que ça soit pertinent, il aurait fallu que la mise en scène de cette « Guerre du feu avec des images de synthèse » soit calée sur une musicalité trépidante. Même avec un tas d’inexactitudes historiques.
    Non seulement ce n’est pas le cas (rien d’inoubliable à l’oreille), mais en plus l’image est d’une telle laideur que ça trahit une production fauchée : acteurs discount et trop lisses, filmés devant des fonds verts horribles – ou des teintes bleues/blanches/marrons qui ne fonctionnent pas à l’écran… Animaux dont l’utilité narrative est ratée (le tigre à dents de sabre est expédié trop vite)…
    Et puis le film prend un chouia son envol en changeant d’hémisphère (!), devenant ainsi à la fois un « Conan » microscopique, et un spin-off officieux de « Stargate ».
    Le tout narré joliment par Omar Sharif, très bon qu’il soit visible (dans une fin alternative) ou non.
    Inabouti, pas trop honteux.
    _

    – Fin de la première saison de « Master Crimes »…
    Dérivé léger de l’américaine « Murder », pas très aidé par une caractérisation proche de la caricature, que ce soit le fil rouge meurtrier avec le père de Mia, ou bien les étudiants – Samuel est trop gentillet, Boris est limite catastrophique ( Nordine Ganso le joue humoristiquement comme un autiste récitant, sans jamais que ça ne soit explicite). Les filles s’en sortent mieux, Thaïs Vauquières étant plutôt drôle dans son rôle de vraie-fausse idiote.
    Ce qui manque aussi, c’est de voir les actrices principales faire ce qu’on attend le plus d’elles. Muriel Robin, plus coquette, fait ses mimiques et onomatopées cartoon à la de Funès… mais c’est aussi quand elle (et lui) joue les personnages cassants et odieux avec les autres qu’on est content. C’est pas très correct, mais c’est ça qui est bon, et ça manque un peu ici.
    Et Anne Le Nen, très sportive, n’a pas beaucoup de scènes d’action.
    Par contre, s’il devait y avoir un futur rapprochement sentimental entre les deux personnages, ça aura le mérite d’être bien préparé à l’avance.
    _

    – « Hôtel Rwanda »…
    L’un des rares rôles en tête d’affiche de Don Cheadle, le film de Terry George étant proche d’un « … Schindler » – non pas le récit d’un Génocide, mais celui d’un large sauvetage Pendant qu’a lieu un Génocide (souvent hors-champ)… donc on peut mettre tous les rebondissements et faire tous les travellings qu’on veut là dedans.
    La mise en scène n’est pas nécessairement prodigieuse ici, surtout occupée à décrire ruées et peurs, sans aller dans la pleurnicherie heureusement.
    Sans non plus décrire l’ambiguïté d’un homme tiraillé entre la protection de sa famille, et celle de réfugiés Tutsis traqués par les Hutus, tout en restant dans son rôle de directeur d’hôtel devant lécher des bottes sans donner l’air de se soumettre. D’où Cheadle, acteur à la discrétion proverbiale.
    Un personnage controversé, y compris les années qui ont suivi le film… dont il a été consultant, tout est donc raconté selon son point de vue.
    Surtout on y critique la responsabilité des occidentaux (français notamment), les absurdités diplomatiques, la propagande qui échauffe les esprits sanglants… Terrible, mais jamais vain.
    _

    Lu :

    – Captain Marvel : Le dernier Marvel…
    Une aventure basique, sans la moindre composition graphique, reposant seulement sur l’action et les cross-overs… qui arrive quand-même à être plus palpitante que le dernier film ?

    – Ms Marvel : Justice au poings…
    Pareil que le précédent, mais avec un peu plus d’enthousiasme, de drôlerie.

    – Captain America : Sentinelle de la Liberté tome 2…
    Difficile de savoir si cette énième intrigue rétroactive (des vilains de l’ombre que personne, même l’HYDRA, ne connait ?), prenant pour base le bouclier (!?) apporte à l’histoire de Steve Rogers.
    Finalement, ce sont les mêmes maux et les mêmes méthodes qu’il ne cesse de combattre, tandis que Bucky Barnes se durcit à nouveau.

    – Le Thor de Torunn Grønbekk perd en originalité et en qualités graphiques.

    – Le Spider-Man de Zeb Wells fout un peu la honte entre un intermède supposé comique, mais mal dessiné par Terry Dodson… Et une aventure rétrospective improbable qui repose sur un obscur vilain facultatif, avec trop de Surnaturel pour être intéressant.
    Les épisodes du Bouffon Doré ne sont pas non plus palpitants.
    Et Cody Ziglar reprend Miles Morales pour une histoire reposant sur la notion de privilège, de libre-arbitre, mais qu’il ne traite pas car trop occupé à faire du Pif Paf Pouf !, sur des dessins un peu fouillis de Federico Vincentini.

    – Ambiance rétro pour Iron Man, Gerry Duggan raffolant d’inclure Emma Frost dans les coulisses des aventures passées des héros Marvel.

    – Destiny of X 20 et 21…
    Finis les Maraudeurs et X-Terminators ennuyeux ou peu subtils, tandis que les albums ont de l’avance sur la parution VF de Captain Marvel, que le Fauve déshumanisé sort à son tour de l’échiquier Krakoa, que les conséquences de Sins of Sinister se font enfin sentir…
    Et que Ororo rappelle à tout le monde pourquoi elle est incroyable.

  9. https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Disney-2023-annus-horribilis-

    Pas nouveau que la firme subisse une mauvaise passe, avec des films soit indigents, soit inaboutis, soit incompris.
    Rien qu’avec les films d’animation, qu’on se rappelle d’avant Katzenberg et « La Petite Sirène ». Ou d’avant la nomination de John Lasseter.
    Et donc le studio a toujours pu rebondir et reconsolider sa marque pour de nouvelles générations… tandis que ceux annonçant leur fin resteront toujours anonymes et comme deux ronds de flans.
    C’est certes un privilège de riches…

  10. Le premier Disney au ciné je ne sais plus, mais à jamais je me souviendrai de ma première claque Pixar. Le premier vu c’était Monstres et compagnie mais il ne m’avait pas marqué à l’époque, par contre, Le Monde de Nemo… wouah. J’ai encore la fibre nostalgique de ce moment en compagnie de mes parents, dans la salle numéro 2 du cinéma de quartier de ma petite ville picarde d’origine. J’avais 10 ans et à chaque fois que les premières notes du t hème musical de Thomas Newman résonnent, je repense comme une Madeleine de Proust à cet instant précis.

  11. La Belle et le Clochard, je pense… et en deuxième position, les Aristochats, ou Bernard et Bianca, l’un des deux… C’est déjà loin… Et premier film, Superman II, ça, ça s’oublie pas ! 🙂

  12. Aladdin pour le tout premier film au cinéma, c’était avec l’école, et j’avais 4 ans! Et du coup je me rends compte que c’était il y a tout juste 30 ans 😂😅 Et c’est mon préféré. Comme quoi le premier nous marque.

  13. J’ai voulu voir à quelle sauce on va être mangé pendant les six mois où les films hollywoodiens vont se raréfier. Si côté chinois ou coréen je sais à peu prês à quoi m’attendre. Mais j’ai visionné des trailers de blockbusters indiens pour voir et l’on a
    – des films d’action à côté desquels Fast and furious c’est les bisounours et en plus il y a l’air d’y avoir un scénario.
    – de la fantasy inspiré de la mythologie hindoue.
    – et des films de super héros. Et là franchement ça fait envie. Le peu que j’ai vu. Ouaah.

      • Voilà quelques trailer de films de super :
        Adhira :
        https://www.youtube.com/watch?v=HBzMXYgb-m8

        Brahmastra ( et oui ils transforment le dieu Brahma en super héros)
        https://www.youtube.com/watch?v=BUjXzrgntcY

        Hanuman
        https://www.youtube.com/watch?v=OyD5fIWN318
        https://www.youtube.com/watch?v=3zMuz0CD9eI

        The immortal. Ashwattama
        https://www.youtube.com/watch?v=9CDonbHTiCM&t=60s

        Sinon les films de super héros à venir annoncés ici.
        https://www.youtube.com/shorts/l-PBy5x-U9c
        J’ai du mal à trouver une chaîne d’actus sur leurs films en anglais ou avec des sous titres anglais. J’aimerais bien pourtant.

        Ça promet du lourd.

        • On se plaint souvent des VFX du MCU mais là il faut vraiment s’accrocher pour ces films. ^^
          Bon après je trouve ça cool que d’autres pays s’investissent dans le genre SH/fantasy. Et perso si le scénar est au rdv je pardonne facilement des vfx pas terribles.

          • Par contre la photographie est très propre et il y a une vraie esthétique. Ce qui prouve que les indiens ont énormément évolué et que leur cinéma a bien gagné en créativité en tout cas par rapport aux extraits qui circulaient il y a dix ans.

          • Oui effectivement. Je pensais l’avoir mentionné mais je vois que non. On sent qu’il y a une vrai recherche au niveau de l’image, c’est plaisant à voir.

        • @Archer: Adhira! Tu retrouves pas le côté iconique d’un Snyder? On est loin d’un MCU avec ses blagues et son idéologie, non?

          @Fabien: Bordel Brahmastra!!! 😍😍😍
          Je surkiffe! et Alia Bhatt, je craque à fond! J’ai mille fois plus de hype pour ce film que pour n’importe quel prochain MCU/DCU
          Hanuman: Ces prises de vues, ces grands plans!! Ils sont où les fonds verts du MCU/DCEU?? Ils font pitié à côté!
          Par contre, je suis pas fan du Thierry la Fronde ^^

          Franchement, ça promet du très lourd. Ca me rappelle mes souvenirs d’enfance quand je lisais des comics sur les dieux indiens.
          Merci à toi pour cette playlist! Hype over 9000!!

          • C’est stylé, c’est sûr. Après concernant l’humour faudrait voir le film, si ça se trouve y a plein de gags éclatés dedans. ^^

            Wait and see.

          • Indrani qui vient de sortir là bas. Un équivalent de Supergirl.
            https://www.youtube.com/watch?v=rBl37af3dt4

            Plus classique mais ça envoie quand même du lourd.

          • @Archer: Des quelques films bollywoodiens que j’ai vu, je n’y ait pas vu d’humour lourdingue à la MCU. Après, c’est une autre culture, un autre humour. C’est un peu comme l’humour japonais, ça passe pas chez certains.

            @Fabien: J’aime moins Indrani. Les effets spéciaux, en mode comics, ça passe pas pour moi. Et j’ai pas compris le délire de mettre Supergirl à la fin du trailer. Cross over?

          • « Indrani qui vient de sortir là bas. Un équivalent de Supergirl. »

            Attends… Tu veux dire que c’est pas un fan made ce truc ??? Genre c’est un vrai film de studio ? Et c’est Captain Facebook vers la fin du trailer ? xD

          • Messieurs, bonjour ! 😀 Brahmastra pourrait vraiment me plaire ! Mais alors, Garyus, « the power of love » ? 🙄 Tu n’es pas sérieux ! Et en plus, tu oses tromper Brie Larson et Melisa Benoist ! 😱 😱 😱 Avec une fille au teint mat !!! 😱 😱 😱 Tu vas t’attirer des problèmes, mon vieux ! 🤣 🤣 🤣

            Il y a quelques années, j’avais vu Mantera, vendu comme un Iron Man malaisien. Bon, euh… comment dire…? 🙄

            https://youtu.be/ytfPHHkcbfE

  14. Elon Musk à Bob Iger qui fait du chantage sur X en voulant retirer les pubs Disney: « Go f##k yourself! GO F##k YOURSELF (…)Hey Bob! » 🤣🤣🤣

    https://x.com/ClayTravis/status/1730003479698039156?s=20

    Et dans le même temps…La Walt Disney Company dans leur rapport annuel à la SEC, a tacitement admis que son idéologie politique avait nui à la fois à ses activités et à la réputation de la marque.

    Voilà. A ceux qui disaient que l’idéologie wookie n’existait pas, à ceux qui traitaient les fans de racistes, de sexistes, et autres, la défaite est là, juste devant vos yeux.

    • Ça a nui à la réputation d’Hollywood en entier. À cause des déclarations de Rachel Ziegler, les starlettes hollywoodiennes ne sont plus considérées comme fiables par l’industrie du luxe. Résultat aujourd’hui les ambassadrices des marques sont des actrices chinoises ou des chanteuses de Kpop.
      À fashion week de Paris et à celle de Milan, on avait des stars chinoises et coréennes mais les stars hollywoodiennes se faisaient. rares.

    • Je viens de lire quelques passages du rapport en question. Je suis tombé sur celui-ci :

       » Further, consumers’ perceptions of our position on matters of public interest, including our efforts to achieve certain of our environmental and social goals, often differ widely and present risks to our reputation and brands.” »

      En gros si on lit entre les lignes, ces « risques » sont dus au fait qu’il y a encore trop de trucistes et machinphobes dans le monde. Ca me semble plutôt apporter de l’eau au moulin des personnes auxquelles tu fais référence. ^^

      • En fait toute la pop culture américaine s’est mobilisée contre Trump sauf les milieux les plus conservateurs. Certains l’ont fait correctement d’autres de manière lourdement didactique et militante.
        C’est pas pour rien par exemple qu’un éditeur comme Tor s’est fait dépasser par Orbit. Tor a fait du militantisme et ils se sont plantés lourdement sur des titres alors qiu’Orbit a été tout aussi inclusif mais sans militantisme prosélyte. Résultat ils gagnent.
        On peut faire le même comparatif entre Disney et Warner.

        • @Archer: Je lis comme toi mais j’en déduis autre chose: les vilains sont de plus en plus nombreux et c’est à cause d’eux que notre stratégie ne marche pas.
          Donc pour moi, ça veut dire changer de stratégie parce qu’on ne peut rien faire contre les fachos comme Garyus, Archer ou The Ghost.

  15. « – Pffou !
    -Ça y est, tu as fait ton voeu ?
    – Ouich ! »

    Qu’on soit bien clair, le nouveau film d’animation Disney suit la même logique que les derniers du studio : montrer un microcosme (un royaume isolé notamment) qui est une métaphore d’un monde en paix accueillant tous types de gens… mais entre les lignes, métaphore également de la maison Disney, et de la façon dont on y gère la création artistique… et comment, dans les deux situations, il y a risque de créer une stimulation qui ne bénéficie à personne si ce n’est aux dirigeants.
    Film événement cela dit, pour le centenaire du studio (mais pas celui des longs-métrages – on verra dans 14 ans). Mais on y retrouve l’équipe de « La Reine des neiges » (et son esthétique délicate), les habituels animaux parlants, la Magie, les chansons, Alan Tudyk qui double une bestiole délirante, des stars dans la VF qui viennent s’amuser ou faire leur plan média (Isabelle Adjani ?)… Et une héroïne adolescente un peu maladroite, très bavarde, qui passe à l’âge adulte en révélant des secrets… on connaît bien tout ça.
    Elle est d’ailleurs bien jolie Asha, avec ses tâches de rousseur qui lui mangent le visage, et ses tresses qu’elle triture finement quand elle n’est pas à l’aise. Et ses sept copains sont sympas… mais ils ne vous font pas penser à quelqu’un ?

    Car oui ce film, conscient de son statut temporel, y va à fond dans les références disneyennes, d’une façon plus ou moins subtile, dans presque chaque scène. Certes leurs films ont toujours comporté des clins d’œil, insérés par des animateurs malicieux. Voire même des cameos explicites (« Ralph 2.0 », mais c’était justifiés par son contexte vidéo-ludique).
    Ici ça donne l’impression que certains des personnages cultes du studio y sont réincarnés, servant un film mélangeant la 2D traditionnelle avec les normes actuelles 3D, donnant un look de « Légende à l’aquarelle »… étonnant, ressemblant un peu à une animation de jeu vidéo, mais on s’y fait très vite.
    Pour une histoire originale mais inspirée de contes adaptés jadis par Disney – étrangement, rien pour Aladdin ou le Génie, malgré la thématique des vœux (pas de panique, presque tous ceux qu’on ne voit pas ne seront pas oubliés dans le générique de fin).

    Le genre de conte avec des châteaux, de la grosse sorcellerie verte, et bonne nouvelle ! : le studio nous redonne un vrai méchant. Ça faisait quelques films que les vilains (explicites, ou de l’ombre) étaient remplacés par des individus blessés, ayant pris de mauvaises décisions, avec leurs propres raisons plausibles.
    Il y a encore un peu de ça chez le roi Magnifico, mais très vite le personnage dévisse et évite de passer pour une victime : c’est bien un connard vociférant, rendu fou par le pouvoir.
    Politiquement, un populiste. Et dans la métaphore cinématographique, c’est l’équivalent d’un « maître », un entertainer révéré.
    Dans les deux cas, un personnage qui contrôlent les gens en les flattant tout en leur vidant l’esprit de leur rêves, leur promettant beaucoup d’ambition, alors qu’en fait il limite leur capacité de réflexion (en ce moment, on a des films de trois heures qui ont perdu la science du montage, et ne font plus confiance au public). Comme un Walt Disney version extrême, pourquoi pas ? Ou bien un commentaire sociétal (les derniers Disney en font beaucoup) de la scénariste/productrice en chef Jennifer Lee sur le mythe du Sauveur providentiel, sur la masculinité toxique, et la nécessité de voir la jeunesse ne pas se soumettre à un Système et amorcer la rébellion contre ces abus d’un autre temps.

    En même temps, pas trop de Méta, pas trop de modernisme (la petite étoile qui ressemble à un emoji), et surtout pas trop de (auto) critique. Sinon ça aurait été un film subversif et il y aurait eu déséquilibre.
    Car ça ce n’est pas dans l’identité du studio, qui suit depuis des décennies le même crédo consistant à apporter de la joie, de la fantaisie, de la bonne humeur… Et de temps en temps des images fortes et impressionnantes, ce qui n’est pas trop le cas ici même si on a quelques beaux instants flirtant avec la Science la plus pointue – les boules de vœux qui prennent la forme d’hélices ADN, le fait que nous soyons faits de poussière d’étoiles, on peut extrapoler tout ce qu’on veut de ça.
    Alors il faut faire avec le développement restreint de certains personnages secondaires intéressants, sacrifiés sur l’autel du rythme et de l’action finale. Comme cette reine, dont les discours encourageants sont souvent à double sens. Ou bien ce protagoniste qui trahit et qui semble affligé d’une sévère pathologie.

    Au final, sans être un opus grandiloquent, « Wish… » reste honorable et a l’élégance de la modestie.
    « Je suis satisfait de cette Asha ».
    🌠

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