Spider-man: après l’alter égo handicapé dans Thor, le héros qui ressemble à ses fans.
C’est le concept incroyablement génial de Stan Lee et qui n’a jamais été égalé depuis.
Créer un héros de 15 ans qui ne soit pas un side kick à la Robin ou Bucky, et qui porte le nom de « Man ».
Un nerd qui devient geek, c’est à dire se décoinçant au fur et à mesure, apprenant le métier de héros sur le tas en faisant bourdes sur bourdes, en se mettant à dos presque tout le monde mais en ne renonçant jamais quoiqu’il arrive (ou bien juste le temps d’un ou deux épisodes).
Un « Peter Pan » qui se bat contre des adultes grotesques (Le Bouffon, Octopus, Jameson…) et les tourne en dérision, qui garde toujours sa bonne humeur et un esprit souvent acerbe, qui peut aussi douter sans être cyclothymique, et qui attire les catastrophes malgré lui (et les nanas sans s’en rendre compte).
Un personnage limite « cartoonesque », avec son costume intégrale ne laissant aucun centimètre carré de peau et des yeux énormes, l’obligeant à être tout le temps en mouvement et en réplique drôles.
Un type dont les galères dans sa vie « normale » de tout les jours (et la notre aussi donc) sont autant d’aventures passionnantes qu’une bagarre mensuel contre un nouveau vilain.
Tout ça et bien d’autres chose à la fois FONT l’intérêt et l’essence de Spider-man depuis 50 ans non stop.
Merci à lui !
Spider-man: après l’alter égo handicapé dans Thor, le héros qui ressemble à ses fans.
C’est le concept incroyablement génial de Stan Lee et qui n’a jamais été égalé depuis.
Créer un héros de 15 ans qui ne soit pas un side kick à la Robin ou Bucky, et qui porte le nom de « Man ».
Un nerd qui devient geek, c’est à dire se décoinçant au fur et à mesure, apprenant le métier de héros sur le tas en faisant bourdes sur bourdes, en se mettant à dos presque tout le monde mais en ne renonçant jamais quoiqu’il arrive (ou bien juste le temps d’un ou deux épisodes).
Un « Peter Pan » qui se bat contre des adultes grotesques (Le Bouffon, Octopus, Jameson…) et les tourne en dérision, qui garde toujours sa bonne humeur et un esprit souvent acerbe, qui peut aussi douter sans être cyclothymique, et qui attire les catastrophes malgré lui (et les nanas sans s’en rendre compte).
Un personnage limite « cartoonesque », avec son costume intégrale ne laissant aucun centimètre carré de peau et des yeux énormes, l’obligeant à être tout le temps en mouvement et en réplique drôles.
Un type dont les galères dans sa vie « normale » de tout les jours (et la notre aussi donc) sont autant d’aventures passionnantes qu’une bagarre mensuel contre un nouveau vilain.
Tout ça et bien d’autres chose à la fois FONT l’intérêt et l’essence de Spider-man depuis 50 ans non stop.
Merci à lui !